RĂ©ponse(1 sur 6) : Absolument pas. Je suis au QuĂ©bec et c’est ma patrie. Les États Unis sont au pĂŽle opposĂ© de ma philosophie de vie et de sociĂ©tĂ©. Mon opinion est que les États Unis sont une lumiĂšre phare pour les narcissist de ce monde Ă  moins d’ĂȘtre un rĂ©fugiĂ© Ă©conomique ou politique.

PubliĂ© le 13 aoĂ»t 2015 Ă  1706Mis Ă  jour le 1 oct. 2015 Ă  1202La nature Ă©tant mal faite ou la communication efficace, on retient plus facilement la rĂ©ussite, qui Ă©clabousse de ses gros titres, que l'expĂ©rience infructueuse des nombreux entrepreneurs Ă  s’ĂȘtre cassĂ©s les dents sur le rĂȘve amĂ©ricain...Force est nĂ©anmoins de constater que les Français ont la cote Outre-Atlantique. Toutes les sociĂ©tĂ©s stars de la “Valley” affichent au sein de leur top 20 » au moins deux Français. Mais attention, les Ă©cueils sont nombreux. Voici donc quelques points Ă  bien cogiter avant de partir Ă  la conquĂȘte du rĂȘve amĂ©ricain 1. La langue et la cultureLes jeunes Français sont plus Ă  l’aise en anglais que leurs aĂźnĂ©s, et si l’accent se rĂ©vĂšle toujours aussi charmant, cela pĂȘche encore parfois en matiĂšre d’efficacitĂ©. Et pour cause, la culture US est aux antipodes de la nĂŽtre. Le fait d’avoir regardĂ© House of Cards sur Netflix ne permet pas une acculturation immĂ©diate du start-upper français ! Ils sont directs, nous sommes ronds ». Ils sont trĂšs analytiques, nous sommes un peu romantiques. Ils sont habituĂ©s Ă  des pitchs incarnĂ©s avec brio, qui se concentrent sur le “pourquoi” de leur projet, de leur produit, etc.. MarquĂ©s par notre “culture d’ingĂ©nieur”, nous adorons discourir sur le comment », avec de surcroit un talent oratoire souvent La vitesseNous nous plaignons de la lenteur française, mais nous l’avons souvent dans nos gĂȘnes. Et face aux Ferrari d’IsraĂ«l ou des US, nous avons un peu de mal Ă  passer la seconde. Pour revoir, refaire, rĂ©viser nos business plans, il y a rien de plus pĂ©nible pour un amĂ©ricain, de voir que le rythme ne suit pas. Cela nous est souvent reprochĂ©. Les deux associĂ©s français de GenyMobile, start-up spĂ©cialisĂ©e sur AndroĂŻd, ont dĂ» ainsi filer vivre en Californie pour suivre leurs investisseurs et clients. Idem pour Oscaro, le spĂ©cialiste des piĂšces dĂ©tachĂ©es auto, qui a installĂ© sa R&D Ă  Palo Alto pour accĂ©lĂ©rer son L’implantationSuite logique au point 2 un investisseur amĂ©ricain vous voudra prĂšs de lui, pour vous voir Ă©voluer et vous suivre. RĂȘver des US sans habiter sur place is just an illusion » ! Les associĂ©s de CritĂ©o ont dĂ» ainsi se fondre dans l’écosytĂšme new-yorkais. Idem pour Bruno LevĂšque de Prestashop, qui s’est installĂ© Ă  Miami avant de rejoindre San Francisco. La fondatrice de ToDoToday, StĂ©phanie Cardot, vient d’arriver Ă  Washington DC afin de piloter son dĂ©veloppement amĂ©ricain. Et qui sait si Michel et Augustin ne devront pas aller au plus prĂšs de leur collaboration avec Starbucks en traversant Ă  leur tour l’Atlantique
4. L’adaptation du produitNul besoin de rappeler que mĂȘme les meilleurs s’y piquent. De Carrefour dans les annĂ©es 90 Ă  VentePrivĂ©e plus rĂ©cemment, tout nous rappelle que les Ricains » ne nous ont pas attendus. Le marchĂ© est trĂšs spĂ©cifique, et penser qu’une solution est universelle est souvent une grossiĂšre erreur de jugement, pour aborder le marchĂ© et les investisseurs amĂ©ricains. Tout est diffĂ©rent, super concurrentiel et dĂ©jĂ  trĂšs organisĂ©. Tout doit ĂȘtre passĂ© au filtre made in La tailleNous avons souvent le bon concept, mais notre petite taille de financement et de marchĂ© n’ont pas permis Ă  nos modĂšles de devenir mondiaux. Le marchĂ© amĂ©ricain requiert des moyens. Un marchĂ© de 320 millions de personnes ne s’attrape pas avec du vinaigre. La sociĂ©tĂ© informatique française Talend l’a compris, et cherchera en 2016 Ă  lever plusieurs centaines de millions sur la bourse Le recrutementLes amĂ©ricains prĂ©sentent trĂšs bien. Souvent trop. TrĂšs difficile de sĂ©parer la forme du fond et nombre d’entreprises en ont fait une douloureuse expĂ©rience. Il faut vĂ©rifier, double-checker les rĂ©fĂ©rences et les rĂ©sultats de vos potentiels recrues amĂ©ricaines. Ils sont souvent meilleurs Ă  l’oral que sur le terrain. Et coĂ»tent trĂšs cher. A l’entrĂ©e et Ă  la sortie. C’est un point capital Ă  ne pas nĂ©gliger. Avoir un manager de votre Ă©quipe sur place est essentiel. A propos de l'auteur Denis Jacquet est prĂ©sident de "Parrainer la Croissance", une association d’aide aux PME. Serial-entrepreneur, il est notamment le fondateur et PDG associĂ© de EduFactory, spĂ©cialisĂ© dans la formation online. Pour dĂ©velopper sa sociĂ©tĂ©, il s’est installĂ© cinq ans aux Etats-Unis, oĂč il avait dĂ©jĂ  passĂ© une annĂ©e comme avocat fiscaliste au dĂ©but de sa carriĂšre.

Seemore of Etats-Unis du rĂȘve au cauchemar? on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. Community See All. 88 people like this. 101 people follow this S'Ă©panouir aux USA, S'installer aux USA, Vivre aux USA Cet article peut contenir des liens affiliĂ©s. Cela signifie que je peux recevoir une commission si vous dĂ©cidez de faire un achat via ces liens. Cette commission ne vous coĂ»te rien. Existe-il vraiment des raisons de ne pas venir vivre aux Etats-Unis? Le rĂȘve AmĂ©ricain beaucoup en rĂȘve mais peu sont prĂȘt Ă  le vivre. Nous sommes bercĂ©s par la culture des Etats-Unis depuis des annĂ©es grĂące aux sĂ©ries et aux films. On pense souvent que c’est simple, facile d’y vivre. Seulement, les Etats-Unis c’est facile en vacances et sur Ă©cran mais moins Ă©vident dans la vrai vie. C’est diffĂ©rent de la France; emplois, nourriture, coĂ»t de la vie
Voici, 6 raisons de ne pas venir habiter aux USA. 1. La sĂ©curitĂ© de l’emploiLa sĂ©curitĂ© de l’emploi est une des raisons de ne pas venir habiter aux USA. C’est pourtant une des raisons pour laquelle on vient vivre aux Etats-Unis. C’est un peu faut ĂȘtre conscient des diffĂ©rences. En France, nous sommes habituĂ©s au CDI mais ici, ça n’existe pas. Vous pouvez ĂȘtre licenciĂ© rapidement, voire mĂȘme du jour au lendemain. Il y a moins de protection ici pour les employĂ©s. Les vacances se rĂ©sument Ă  quinze jours par an quand vous dĂ©butez et une semaine peut s’ajouter en fonction de votre anciennetĂ©. Le congĂ© maternitĂ© n’existe pas, pas plus que les tickets restaurant oĂč autres avantages que l’on trouve en France. Seule l’assurance santĂ© peut ĂȘtre payĂ©e en totalitĂ© ou partiellement par l’employeur. Ces avantages ou absenses d’avantage concernent une grande partie des entreprises aux USA. Cependant certaines entreprises surtout celles de la Sillicone Valley proposent plus de protection Ă  leurs employĂ©s comme le congĂ© maternitĂ© et paternitĂ©, des cantines
L’avantage est un taux de chĂŽmage bas. Trouver un emploi est plus facile qu’en France. 2. Le prix de la santĂ©La sĂ©curitĂ© sociale et les mutuelles ne sont pas comme en France. La couverture santĂ© est pratiquement inexistante. Il faut souscrire Ă  des mutuelles privĂ©es et c’est un gros budget. Le systĂšme de santĂ© coĂ»te trĂšs cher. Par exemple, une visite chez un pĂ©diatre peut aller jusqu’à 300 dollars. Un accouchement normal, sans complications ou cĂ©sarienne avec sortie le jour suivant, coĂ»te environ 17,000 dollars. On m’a citĂ© le chiffre de 125,000 dollars pour un accouchement compliquĂ©. La couverture santĂ© est un facteur Ă  prendre en compte surtout si vous avez des enfants. Vous pouvez choisir entre des mutuelles amĂ©ricaines ou des mutuelles internationales. Sachant, qu’une mutuelle internationale a les mĂȘmes fonctionnements que les mutuelles une bonne mutuelle, il faut compter au minimum entre 300 et 400 dollars par mois et par personne n’oubliez pas les enfants. 3. Le prix de l’écoleLes Ă©coles publiques existent pour les enfants de plus de 5 ans. En effet, les enfants rentrent Ă  l’école Ă  partir de 5 ans rĂ©volus au 1er septembre attention aucune dĂ©rogation en grande section de maternelle. Pour les enfants nĂ©s entre le 2 septembre et le 31 dĂ©cembre, il y aura un an d’attente en plus et une classe d’écart avec la France. Dans certaines villes et pour certaines Ă©coles, il existe des T-K Transitional Kindergarten pour les enfants nĂ©s entre le 2 septembre et le 2 dĂ©cembre. Le nombre d’heures dĂ©pend de l’école. Cela peut aller de journĂ©es complĂ©tĂ©es Ă  quelques heures par jour Ă  l’ 5 ans, ce sont soit les parents, soit les grands-parents, soit les nounous ou encore les Ă©coles privĂ©es qui gardent les enfants. Le prix des Ă©coles privĂ©es ou garderies varie en fonction de vos besoins matin, aprĂšs-midi, journĂ©e entiĂšre et de la qualitĂ© de l’école Montessori, garderie simple, immersion dans une autre langue. Comptez au minimum 900 dollars par enfant et par mois pour 5 jours par Ă©coles françaises prennent les enfants comme en France. C’est-Ă -dire avoir 3 ans avant 31 dĂ©cembre pour entrer en petite section de maternelle. Le prix est Ă©quivalent aux Ă©coles privĂ©es amĂ©ricaines. Au minimum 11,000 dollars pour les frais de scolaritĂ© pour la maternelle et jusqu’à 35,000 dollars pour le lycĂ©e. 4. Le coĂ»t de la vieLes salaires sont plus Ă©levĂ©s mais le coĂ»t de la vie l’est Ă©galement. On ne le distingue pas vraiment quand on vient en vacances. Les prix au restaurant, les hĂŽtels et les attractions sont Ă©quivalent Ă  la France. Le shopping est pareil ou mĂȘme moins cher avec les outlets. Au-dessus, nous avons vu les Ă©coles et la couverture santĂ©. Vous dĂ©couvrirez aussi qu’il faut prĂ©voir Les assurances voitures si vous en avez,L’essence,Une tax par an sur les voitures pas dans les Ă©tats, mais prĂ©sente en Californie, Les taxes tout court,La nourriture,Le sport des enfants si vous en avez aussi,Le logement cela dĂ©pend de l’état et de la ville oĂč vous vivez,L’assurance maison celle pour les propriĂ©taires est plus Ă©levĂ©e que celle pour un locataire,L’eau, le gaz et l’électricitĂ© lĂ  aussi, le prix varie en fonction de l’état dans lequel vous vivezInternet,Forfait mobile
Le budget mensuel augmente trĂšs rapidement. 5. La nourritureSi vous pensiez trouver un magasin similaire Ă  votre supermarchĂ© en France aux Etats-Unis, ce ne sera pas le cas. Seul 30% du supermarchĂ© est dĂ©diĂ© Ă  la nourriture et je comprends les boissons et l’alcool dedans. La qualitĂ© des produits n’est pas toujours au rendez-vous et ça coĂ»te trĂšs cher. Il faut manger le plus possible des produits biologiques et naturels, les Etats-Unis Ă©tant moins strict sur les hormones, les OGM et les pesticides. Les amĂ©ricains n’ont pas les mĂȘmes habitudes alimentaires; plus de snack et moins de temps passĂ© Ă  table. Ils mangent rĂ©guliĂšrement au restaurant, ce qui explique le grand choix de restaurants. 6. Les armes Ă  FeuLes Etats-Unis sont un des pays avec le plus de tueries et un des pays oĂč le plus grand nombre d’habitants possĂšde une arme. Les armes Ă  feu sont une rĂ©alitĂ© aux Etats-Unis dans certains Ă©tats plus que dans d’autres. Certains Ă©tats ont une politique plus sĂ©vĂšre sur les armes Ă  feu et d’autres font la une des journaux rĂ©guliĂšrement comme la les informations parlent d’une nouvelle fusillade. C’est un gros problĂšme et pour le moment cela ne semble pas changer. Avec ces 6 raisons de ne pas venir habiter aux USA, vous dĂ©couvrirez si vous ĂȘtes prĂȘt pour votre rĂȘve amĂ©ricain. Ce sont des facteurs que l’on ne prend pas toujours en compte mais dont il faut se prĂ©occuper. En bref sur raisons ne pas venir habiter aux usa L'emploi est une raison de ne pas venir aux USA mais Ă©galement la principale raison de venir y vivre. Le coĂ»t de la vie assez Ă©levĂ©. Un des plus grand danger est le port d'arme autorisĂ© dans certains Ă©tats. Partager a lire egalement
Vivredans un jeu vidĂ©o, rĂȘve ou cauchemar ? Maxime Vanderwegen, publiĂ© le 02 February 2021 . Salut tout le monde ! Aujourd’hui, je vais vous parler de jeux vidĂ©os. Je ne connais pas vos goĂ»ts, mais je suis un grand fan de la sĂ©rie Borderlands (Ă  l’exception du dernier opus, il mĂ©ritait mieux que ça), de l’excellent Dishonored ou encore du plus rĂ©cent SUPERHOT.
ï»żGĂ©nĂ©ralement perçus comme une terre d’évasion, les États-Unis sont une nation aux multiples cultures qui attirent plus d’un. Vivre aux États-Unis reprĂ©sente pour certains un objectif Ă  atteindre Ă  tout prix. Malheureusement, la rĂ©alitĂ© peut ĂȘtre tout autre. La vie dans ce pays n’est souvent pas aussi facile et belle que vous pouvez l’imaginer. Vivre en AmĂ©rique constitue-t-il alors un rĂȘve ou un cauchemar ? ÉlĂ©ments de rĂ©ponse ! Pourquoi les États-Unis sont-ils la destination rĂȘvĂ©e de nombreuses personnes ? Aux États-Unis, tout vous est accessible. Nul besoin d’effectuer des kilomĂštres de trop pour trouver ce dont vous avez besoin, car il existe des boutiques, des fast-foods, des distributeurs, des kiosques, des pharmacies Ă  tous les coins de rue. Par ailleurs, les États-Unis sont un pays dotĂ© de divers lieux qui font de lui l’une des meilleures destinations de vacances. Vous pouvez ainsi y trouver diffĂ©rentes destinations phares telles que les lieux touristiques, les montagnes, les somptueux hĂŽtels et les plages. Vous aurez aussi l’opportunitĂ© d’apprĂ©cier des maisons de rĂȘve aux belles vues sur mer, des parcs d’attractions, des musĂ©es aux histoires remarquables et bien d’autres endroits encore. L’une des autres raisons pour lesquelles beaucoup nourrissent tant ce rĂȘve de vivre aux États-Unis est le faible taux de chĂŽmage. PremiĂšre puissance mondiale, les États-Unis dĂ©tiennent les plus grandes firmes. L’entrepreneuriat et la crĂ©ativitĂ© dans ce pays sont trĂšs encouragĂ©s. Pour vous faire de l’argent, il vous suffit d’ĂȘtre motivĂ©s, puisque ce ne sont pas les opportunitĂ©s d’emploi qui manque. Vivre aux États-Unis dĂ©sillusion ? Passer des sĂ©jours ou vivre dĂ©finitivement aux États-Unis n’est pas sans danger. Les salaires sont Ă  la hauteur du coĂ»t de la vie. Toutefois, avec une Ă©conomie trĂšs solide, vous comprendrez donc que tout est coĂ»teux. L’alimentation, les frais de scolaritĂ©, la couverture de santĂ©, les transports, les frais de logement, les loisirs et les diffĂ©rentes assurances sont autant de responsabilitĂ©s Ă  assumer. Puisque les charges sont importantes, Ă©conomiser de l’argent devient trĂšs compliquĂ©. De plus, aux États-Unis, les employĂ©s sont moins protĂ©gĂ©s et le systĂšme de la sĂ©curitĂ© sociale est trĂšs diffĂ©rent de ce qui se voit ailleurs. Cela n’exclut mĂȘme pas le port d’armes qui est la vĂ©ritable peur qui rĂšgne chez les habitants de ce pays. En effet, tout individu peut ĂȘtre autorisĂ© Ă  porter une arme Ă  feu. L’insĂ©curitĂ© est donc une rĂ©alitĂ© palpable qui n’est pas prĂšs de changer dans ce pays. Vols Ă  mains armĂ©es, viols, racisme, fusillades, voilĂ  tant de situations dĂ©plorables auxquelles vous pouvez assister tous les jours. DĂšs que vous vous rendez dans ce pays, ne soyez donc pas surpris de vous faire agresser en pleine rue ! En outre, le climat est ce qui pourrait vous rendre encore la vie plus dure. Entre gel, froid glacial, temps trĂšs chauds, vous n’allez sĂ»rement pas vite vous adapter. Vos sĂ©jours sur ce territoire vous montreront aussi Ă  quel point la population est toujours pressĂ©e. Un rĂȘve Ă  rĂ©aliser malgrĂ© tout Aller passer de belles vacances aux États-Unis, c’est bien, mais y vivre pour de bon mĂ©rite mĂ»res rĂ©flexions. Ce pays a beaucoup de surprises pour vous. Alors, si vous voulez rĂ©aliser votre rĂȘve d’y vivre, prenez le temps d’évaluer tous les aspects d’une telle dĂ©cision. Assurez-vous que vous aurez le budget nĂ©cessaire pour subvenir Ă  vos besoins et garantir votre propre sĂ©curitĂ©. Vivre aux États-Unis est un rĂȘve trĂšs prometteur qui pourrait rapidement devenir un cauchemar. Pour minimiser les risques, il vous revient de savoir ce que vous voulez rĂ©ellement y faire.
Mexicain Esteban Yanez est l'un des quelque 11 millions de sans-papiers qui vivent aux Etats-Unis, et se retrouvent au coeur d'un débat présidentiel houleux.
Vivre au Canada le dĂ©but d’un cauchemar ? Mise en garde ceci est une histoire fictive et caricaturale illustrant la vie d’un expatriĂ© au Canada qui subit dĂ©sillusions aprĂšs dĂ©sillusions et affronte des difficultĂ©s liĂ©es au choc culturel et Ă  la routine d’une nouvelle vie dans un pays qui n’est pas le sien ». Sur ces tristes paroles, je vous invite Ă  lire la premiĂšre partie de cet article Vivre au Canada, un rĂȘve devenu rĂ©alitĂ© » . ——————————————————————————————————————————– Vivre au Canada, l’histoire d’une rĂ©alitĂ© qui tourne cauchemar Aujourd’hui je me rĂ©veille et je suis en enfer. En fait, je suis Ă  Ottawa au Canada. J’ouvre la fenĂȘtre de ma chambre, j’entends une rue bruyante et pleine de trafic et j’aperçois le McDonald’s juste en face de chez moi. AussitĂŽt je rĂ©alise que je ne rĂȘve plus, c’est bien rĂ©el JE SUIS AU CANADA ! Quelle triste aventure qui tourne au dĂ©sastre ! Je ne suis plus le fier français qui partait explorer l’autre bout du monde. Je suis un idiot de français qui se rend compte qu’il est seul Ă  l’autre bout du monde sans sa famille, sans ses amis, sans ses repĂšres. Mes illusions ont disparu, je suis au pays de la consommation et de l’hypocrisie. Je me lĂšve et me prĂ©pare mentalement Ă  affronter une autre journĂ©e pleine de dĂ©fis et de dĂ©ceptions. Je me prĂ©pare un vrai petit dĂ©jeuner canadien un bol de cĂ©rĂ©ales avec du lait vendu en sac. Ce matin il faut que j’aille payer ma facture d’hĂŽpital qui s’élĂšve Ă  700$. Je suis toujours malade mais je ne peux pas aller consulter un docteur. Étant français sans health card carte de santĂ© on me refuse les soins et on me redirige vers les urgences de l’hĂŽpital oĂč il faut attendre 6 Ă  7 heures avant de voir un mĂ©decin pendant 5 minutes. Je me sens exclu, rejetĂ©, je ne me sens plus le bienvenu. Hier encore, un vendeur a refusĂ© de me vendre des cigarettes car je n’avais pas de carte d’identitĂ© canadienne, il a regardĂ© ma carte d’identitĂ© et m’a dit Sorry but I need a real piece of ID. A valid one that comes from Ontario ». Ceci me rappelle Koodo, la compagnie de tĂ©lĂ©phone portable qui m’a jetĂ© en me disant If you don’t have two Canadian pieces of ID, you can’t get a cellphone plan. Sorry about that. Byebye
 *NEXT PLEASE!* ». Je vais donc prendre mon bus pour l’hĂŽpital, je paye mes 700$ avec ma carte de crĂ©dit canadienne et me voilĂ  dans la mĂȘme situation que de nombreux Canadiens. Je suis endettĂ© et la banque va me prendre 20% d’intĂ©rĂȘt sur cette somme chaque mois jusqu’à ce que je puisse rembourser ma carte de crĂ©dit. Il faut maintenant que je me rende Ă  l’universitĂ© pour mon cours de publicitĂ©. Bien que mon cours soit en français je me sens stupide car je ne comprends pas plus que durant mes classes en anglais. Le professeur fait rĂ©fĂ©rence Ă  des auteurs, Ă  des compagnies, Ă  des marques Ă  des lieux et je ne connais rien de cela. Je n’ai plus aucun repĂšre. À la fin du cours un Ă©tudiant me parle en anglais et encore une fois je me sens stupide car je ne le comprends pas non plus. Je lui demande de rĂ©pĂ©ter et il rĂ©pĂšte, en français cette fois
 Encore une fois je n’ai aucune idĂ©e de ce Ă  quoi il fait rĂ©fĂ©rence. Cela me frustre tellement je suis incapable de communiquer en français ou en anglais. Je lui souris donc bĂȘtement juste pour pouvoir m’échapper. Je rĂ©alise que ce que j’ai appris en France ne m’est d’aucune utilitĂ© ici. J’ai l’impression d’avoir Ă  tout rĂ©apprendre. Je quitte l’universitĂ© et m’arrĂȘte Ă  Pizza Pizza sur le chemin de mon appartement, aprĂšs tout, j’ai dĂ©jĂ  pris 8kg en deux ans, je ne suis plus Ă  ça prĂȘt. La serveuse me voit rentrer et s’exclame en souriant Hey, how is it going? Oh my god you look amazing with that sweater, I love it! So, what can I get for you today? ». Le sweat-shirt que je porte est certainement le plus laid et le plus vieux que je possĂšde mais j’ai bien compris que la serveuse n’en Ă  rien a faire de mon sweat-shirt, elle veut juste que je lui laisse un bon tip pourboire. Juste avant de partir j’aperçois Mona une fille de ma classe qui a 3 jobs pour pouvoir payer ses Ă©tudes. Je lui fais un petit signe de la main et continue mon chemin en me demandant si moi aussi je vais finir dans la mĂȘme situation. Nous sommes Ă  peine en novembre et il fait dĂ©jĂ  si froid, l’hiver arrive
 Je n’en peux plus, je suis fatiguĂ© de tout ça, je veux me rĂ©veiller et me retrouver en France, ou bien Ă  Cuba sur une plage avec une eau des plus bleue qui existe sur cette terre. Je ferme les yeux quelques secondes puis les rĂ©-ouvre, mais il n’y a pas de plage, pas de mer bleue
 Au lieu de cela, j’arrive chez moi et je vois une sorte de gros rat noir qui fouille dans les poubelles ndla au Canada ce genre de rat s’appelle Ă©cureuil ». Je dĂ©cide alors de passer par l’arriĂšre de mon immeuble et tout Ă  coup je sens une odeur Ă©pouvantable, aussitĂŽt j’aperçois une moufette qui s’enfuit. L’odeur est rĂ©pugnante, je m’engouffre Ă  l’intĂ©rieur de mon building et pense dĂ©jĂ  a ce que je vais regarder Ă  la tĂ©lĂ©vision. Au fond, peu importe, je sais bien que je vais regarder la mĂȘme chose que d’habitude, une ou deux heures de publicitĂ© entrecoupĂ©e par quelques passages d’une Ă©mission supra nord amĂ©ricanisĂ©e qui n’a pas de maudit bon sens
 Comment faire face au choc culturel et aux dĂ©sillusions ? Cette histoire fictive tournant en dĂ©rision la vie d’un expatriĂ© est lĂ  pour illustrer deux points de vue extrĂȘmes et sert Ă  introduire la notion de choc culturel. Je vous invite Ă  partager votre expĂ©rience d’expatriĂ© dans les commentaires ou Ă  lire les articles suivants si vous prĂ©parez un dĂ©part au Canada 10 erreurs Ă  Ă©viter de faire au QuĂ©bec, expressions quĂ©bĂ©coises populaires, 10 rĂšgles Ă  respecter et 10 choses Ă  ne jamais faire au Canada et clichĂ©s sur le Canada et les canadiens.

Onnous a longtemps vendu le « rĂȘve amĂ©ricain » mais on ne nous a jamais assez parlĂ© du « cauchemar amĂ©ricain ». Oui tu l’as compris, le bonheur ne se trouve pas toujours chez les autres et je me suis donnĂ© la dĂ©licate tĂąche de le dĂ©montrer preuve Ă  l’appui dans cet article.

La quĂȘte du bonheur » constitue le cƓur du rĂȘve amĂ©ricain. Elle apparaĂźt dĂšs les premiers pas des treize colonies et se trouve au centre de la dĂ©claration d’IndĂ©pendance des États-Unis. Elle a pourtant connu bien des vicissitudes au cours des XVIIIe et XIXe siĂšcles, de la conquĂȘte de l’Ouest Ă  la prospĂ©ritĂ© et des crises Ă©conomiques Ă  la crainte que l’immigration menace la promesse » amĂ©ricaine. RĂ©cit d’un rĂȘve, de ses transformations et de ses limites. Sous la plume de Thomas Jefferson, la DĂ©claration d’indĂ©pendance des États-Unis 4 juillet 1776 proclame solennellement que l’homme a reçu de son CrĂ©ateur certains droits inaliĂ©nables » notamment la vie, la libertĂ© et la quĂȘte du bonheur ». Le droit Ă  la recherche du bonheur Comme le note l’historien Bernard Cottret dans son histoire de la rĂ©volution amĂ©ricaine, Qu’y a-t-il de plus rĂ©volutionnaire que de proclamer le droit au bonheur ? Ou de voir en lui l’objectif le plus Ă©levĂ© de la vie sociale ? » Cette quĂȘte du bonheur n’est pas un simple droit Ă  l’hĂ©donisme, individualiste, mais une notion collective, la fin mĂȘme de tout gouvernement. Or, cette quĂȘte du bonheur comme fin du gouvernement civil n’est pas une idĂ©e rĂ©volutionnaire en 1776. L’aspect rĂ©volutionnaire est l’application de ces principes Ă  une situation concrĂšte, et non Ă©noncĂ©s de façon abstraite. Les mots de Jefferson sont Ă©galement rĂ©volutionnaires par leur universalisme qui dĂ©passe de loin la cause spĂ©cifique des colonies britanniques en rĂ©volte contre leur mĂ©tropole, mais sans pour autant ĂȘtre nouveaux. Le fait que ces valeurs soient proclamĂ©es sans explication ou rĂ©fĂ©rence montre en effet qu’elles font partie du paysage mental des hommes Ă©duquĂ©s de l’époque. Le triptyque des droits inaliĂ©nables de Jefferson fait Ă©cho Ă  celui de l’Anglais John Locke – vie, libertĂ© et propriĂ©tĂ© – qui justifiait la Glorieuse rĂ©volution anglaise de 1688-1689 dans ses deux TraitĂ©s du gouvernement civil 1690. Le droit Ă  la propriĂ©tĂ© est un sujet central du texte de Locke, mais il n’apparaĂźt pas en tant que tel chez Jefferson. Il est implicitement inclus dans un droit Ă  la quĂȘte du bonheur qui englobe d’autres droits plus prĂ©cis comme le droit Ă  la sĂ©curitĂ©. L’expression de quĂȘte du bonheur » pursuit of happiness apparaĂźt Ă  plusieurs reprises dans l’Essai sur l’entendement humain de Locke, paru Ă©galement en 1690, et elle traverse ensuite la philosophie des LumiĂšres Ă©cossaises du milieu du XVIIIe siĂšcle, qui sont lues et enseignĂ©es dans les colonies amĂ©ricaines du troisiĂšme quart du siĂšcle, pĂ©riode de formation intellectuelle des futurs PĂšres fondateurs ». En 1776, l’idĂ©e d’un droit Ă  la quĂȘte du bonheur est tellement dans l’air du temps qu’on le trouve dans d’autres documents contemporains mais moins connus. Ainsi, dans la DĂ©claration des droits de la Constitution de Virginie, signĂ©e par George Mason en juin 1776, les droits inaliĂ©nables sont la jouissance de la vie et de la libertĂ©, l’accession Ă  la propriĂ©tĂ©, la quĂȘte du bonheur et de la sĂ©curitĂ©. Quelques mois plus tard, la DĂ©claration des droits des habitants de la RĂ©publique ou État de Pennsylvanie proclame Tous les hommes sont nĂ©s Ă©galement libres et indĂ©pendants, et ils ont des droits certains, naturels, essentiels et inaliĂ©nables, parmi lesquels le droit de jouir de la vie et de la libertĂ©, et de les dĂ©fendre, celui d’acquĂ©rir une propriĂ©tĂ©, de la possĂ©der et de la protĂ©ger, enfin, celui de chercher et d’obtenir le bonheur et la sĂ©curitĂ©. » A lire aussi Face Ă  la Chine, TaĂŻwan aura du mal Ă  conserver son indĂ©pendance RĂȘve virginien, rĂȘve novanglais deux quĂȘtes du bonheur Le rĂȘve amĂ©ricain comme quĂȘte du bonheur est souvent associĂ© Ă  des notions matĂ©rielles prospĂ©ritĂ©, voire fortune, ou simplement accĂšs Ă  la consommation de la classe moyenne. En rĂ©alitĂ©, c’est la synthĂšse de valeurs matĂ©rielles et immatĂ©rielles, ou plutĂŽt une valeur immatĂ©rielle l’accomplissement de soi qui peut inclure une dimension matĂ©rielle sans s’y limiter. Travailler Ă  son compte, ĂȘtre son propre patron, faire de sa passion son mĂ©tier une certaine libertĂ©, un accomplissement de soi qui dĂ©passe la quĂȘte du profit Ă  tout prix. Bien entendu, ces deux acceptions, matĂ©rielle et immatĂ©rielle, ne sont pas mutuellement exclusives mais il faut considĂ©rer que l’une prend le pas sur l’autre. J’ai construit ma cabane. Lentement, Ă  l’écart, en restant fidĂšle Ă  mes principes. J’avance Ă  mon rythme. Personne ne me gouverne. » Clint Eastwood Le peuplement trĂšs diffĂ©rent de la Virginie d’une part et de la Nouvelle-Angleterre de l’autre permet d’observer comment ils sont chacun la manifestation d’un des aspects du rĂȘve amĂ©ricain, matĂ©riel d’un cĂŽtĂ©, immatĂ©riel de l’autre. En Virginie, oĂč s’installent aussi quelques communautĂ©s de puritains, le modĂšle dominant reste celui d’une immigration de jeunes hommes cĂ©libataires qui viennent pour travailler. Beaucoup sont des engagĂ©s, sous contrat de plusieurs annĂ©es. À l’issue de leur engagement s’ils ont survĂ©cu Ă  l’environnement Ă©pidĂ©miologique et sanitaire, ce qui n’est pas une mince affaire, ils peuvent s’installer sur place ou rentrer en Angleterre, mais leur motivation n’est pas religieuse ou politique. C’est en cela que le modĂšle virginien diffĂšre radicalement du modĂšle novanglais de Nouvelle-Angleterre. Les colons y sont majoritairement des familles qui emportent aussi des serviteurs sous contrat, qui accompagnent souvent un pasteur. Ainsi, des villages entiers sont transplantĂ©s d’une rive Ă  l’autre de l’Atlantique. Leur motivation n’est pas matĂ©rielle ils ne traversent pas l’Atlantique –une entreprise dangereuse et trĂšs incertaine – pour faire fortune. Dans certains cas, ce sont des artisans Ă©tablis qui quittent des situations stables pour sauter dans l’inconnu et un monde oĂč tout est Ă  construire. Le versant novanglais de ce que l’on n’appelle pas encore le rĂȘve amĂ©ricain, c’est de trouver un refuge oĂč l’on pourra vivre sa foi comme on l’entend, ne pas avoir Ă  craindre des persĂ©cutions politiques et/ou religieuses, quitte ensuite Ă  imposer sa propre vision quand on passe du statut de minoritĂ© Ă  celui de majoritĂ© au pouvoir. Cette ambiguĂŻtĂ© en apparence vient du fait que les puritains du Massachusetts ne concevaient la survie de leur expĂ©rience amĂ©ricaine par et pour la foi que sous la forme d’une sociĂ©tĂ© homogĂšne. Ce que nous appellerions le pluralisme n’était pour eux que le levain qui allait corrompre la pĂąte l’AmĂ©rique Ă©tait aprĂšs tout suffisamment vaste pour que les dissidents aillent s’implanter un peu plus loin. Fuir les persĂ©cutions rĂ©elles ou simplement perçues comme telles ne rendait donc pas automatiquement tolĂ©rant. Le rĂȘve novanglais peut ĂȘtre Ă©tendu Ă  d’autres colonies ayant accueilli des rĂ©fugiĂ©s pour la foi, comme la Pennsylvanie avec les quakers, ou la Caroline du Sud avec ses huguenots français fuyant les dragonnades de Louis XIV, mais le modĂšle commence avec les PĂšres pĂšlerins en 1620, qui s’étaient dĂ©jĂ  rĂ©fugiĂ©s aux Pays-Bas aprĂšs avoir fui l’Angleterre en 1608. Le bonheur par la consommation Si les premiĂšres dĂ©cennies des colonies sont le plus souvent marquĂ©es par une certaine prĂ©caritĂ© et une quĂȘte du bonheur qui ne peut ĂȘtre qu’immatĂ©rielle limitĂ©e Ă  la survie, la stabilisation de la vie coloniale est ensuite spectaculaire et le XVIIIe siĂšcle voit une nette amĂ©lioration des conditions de vie, de l’espĂ©rance de vie, une hausse du pouvoir d’achat dans un contexte de diversification de l’offre dans ce qui s’apparente Ă  une rĂ©volution de la consommation. Les colons sont en effet en mesure d’acheter davantage et d’effectuer des achats plus discriminants on n’est plus dans la premiĂšre nĂ©cessitĂ©, le choix s’est Ă©tendu notamment Ă  diffĂ©rents niveaux de qualitĂ©. On prĂ©cise mĂȘme l’origine des produits importĂ©s pour mettre en avant leur qualitĂ© supĂ©rieure. Quand cette libre consommation se trouve grevĂ©e de droits de douane, dans les annĂ©es 1760, et que la grande autonomie vis-Ă -vis de la mĂ©tropole semble remise en cause, la colĂšre gronde et c’est le point de dĂ©part de ce qui deviendra, de crise en crise et de malentendu en malentendu, la RĂ©volution amĂ©ricaine. Paradoxalement, la tension entre la mĂ©tropole et les colonies se situe Ă  un moment oĂč le goĂ»t des colons s’anglicise fortement on consomme dans un esprit d’émulation de la British Way of Life, on veut faire comme en mĂ©tropole, boire du thĂ© dans de la porcelaine Wedgwood, par exemple. Par ailleurs, la libertĂ© que revendiquent les PĂšres fondateurs, c’est d’abord la libertĂ© des citoyens britanniques ! La quĂȘte du bonheur est Ă©videmment liĂ©e Ă  la peur de perdre des libertĂ©s politiques plus britanniques que strictement amĂ©ricaines. Mais la quĂȘte du bonheur est Ă©galement liĂ©e au contexte matĂ©riel, que l’on peut rapprocher de la propriĂ©tĂ© de Locke le colon veut pouvoir consommer comme il l’entend. A lire aussi Le rugby peut-il Ă©chapper Ă  la trajectoire du sport mondialisĂ©? La rupture spatiale l’exceptionnalisme et l’AmĂ©rique comme laboratoire La rupture politique se fait sur fond de continuitĂ© philosophique si nous ne pouvons pas jouir de nos droits de citoyens britanniques, pouvons-nous encore nous considĂ©rer comme britanniques ? Pour justifier la rupture politique, inĂ©dite Ă  l’époque, Thomas Paine convoque la rupture spatiale. L’auteur du fameux Sens commun, best-seller » de l’annĂ©e 1776, y estime que la distance mĂȘme que le Tout-puissant a mise entre l’Angleterre et l’AmĂ©rique est une preuve convaincante et naturelle que l’autoritĂ© de l’une sur l’autre n’a jamais fait partie des desseins de la Providence ». Quelques dĂ©cennies avant Paine, le pasteur Jonathan Edwards avait cru dĂ©celer un signe providentiel dans la dĂ©couverte de l’AmĂ©rique par les EuropĂ©ens au moment mĂȘme de la RĂ©forme. Pour lui, cela ne pouvait relever du hasard. Il voyait l’AmĂ©rique comme un lieu particuliĂšrement important dans l’histoire du monde puisque c’est lĂ  que devait se rĂ©aliser le Millennium, le paradis sur terre. DĂšs la pĂ©riode des dĂ©couvertes, au XVIe siĂšcle, la littĂ©rature promotionnelle vendait » l’AmĂ©rique comme un Éden et comme le paradis perdu. John Winthrop, le gouverneur emblĂ©matique du Massachusetts qui a menĂ© la grande migration » anglaise vers Boston en 1630 voyait la Nouvelle-Angleterre comme un refuge » pour quelques Ă©lus, pendant que Dieu infligerait un chĂątiment apocalyptique Ă  une Angleterre incapable de se rĂ©former. L’AmĂ©rique coloniale puis les États-Unis sont donc vus depuis toujours comme un lieu Ă  part, oĂč l’on peut Ă  la fois renouer avec la puretĂ© originelle l’Éden et s’affranchir des pesanteurs et des chaĂźnes de l’Ancien Monde pour accĂ©der Ă  un niveau inĂ©dit de dignitĂ© humaine le Millennium, notamment par le travail et non par la naissance. C’est ce que l’on appelle gĂ©nĂ©ralement l’éthique protestante, mais que l’on peut qualifier plus prĂ©cisĂ©ment d’éthique franklinienne tant elle doit aux formulations de Benjamin Franklin. C’est donc cette rupture qui confĂšre Ă  l’AmĂ©rique son caractĂšre exceptionnel et qui y rend possible la rĂ©ussite. Dans son Avis Ă  ceux qui voudraient s’en aller en AmĂ©rique, publiĂ© alors qu’il Ă©tait en mission Ă  Paris 1784, Franklin explique notamment que la corruption et la vĂ©nalitĂ© des offices omniprĂ©sentes dans l’Europe de l’époque n’existaient pas dans le nouveau systĂšme amĂ©ricain Il n’y a qu’un petit nombre d’offices civils ou d’emplois ; il n’y en a point de superflus, comme en Europe ; la rĂšgle Ă©tablie dans quelques États est qu’aucun office ne doit ĂȘtre assez lucratif pour ĂȘtre dĂ©sirable. » La sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine compte bien moins de pauvres et de riches que l’Europe ; il y rĂšgne plutĂŽt une heureuse et gĂ©nĂ©rale mĂ©diocritĂ© », ce que l’on n’appelle pas encore la classe moyenne. Et le mĂ©rite prend le pas sur la naissance On ne demande point Ă  l’égard d’un Ă©tranger, qui est-il ? mais, que sait-il faire ? » Franklin vend Ă  ses lecteurs français un rĂȘve amĂ©ricain fondĂ© sur le travail, dans un systĂšme social, politique et Ă©conomique qui n’est pas faussĂ© comme c’est le cas alors en Europe. Non seulement il est possible d’y rĂ©ussir pour qui s’en donne la peine mais, pour Franklin, il s’agit mĂȘme d’une certitude ». Pour le Normand Hector St-John de CrĂšvecƓur, qui Ă©crit au mĂȘme moment, l’AmĂ©rique est un continent neuf ; une sociĂ©tĂ© moderne », les AmĂ©ricains, issus de toute l’Europe, sont tous animĂ©s d’un esprit d’entreprise sans limites, sans entraves, parce que chacun travaille pour soi ». LĂ  oĂč Franklin voyait une heureuse et gĂ©nĂ©rale mĂ©diocritĂ© », CrĂšvecƓur parle d’une agrĂ©able uniformitĂ© ». Pour lui, la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine est la plus parfaite qui existe au monde » oĂč le chemin de la fortune » est ouvert Ă  tous, moyennant travail et effort. Comme Franklin, CrĂšvecƓur oppose l’Europe, au passĂ© funeste, Ă  une AmĂ©rique tournĂ©e uniquement vers l’avenir. Pourtant, l’AmĂ©rique est selon lui le lieu oĂč l’Homme a retrouvĂ© l’ancienne dignitĂ© du genre humain ». C’est donc un lieu de recommencement, mais Ă©galement de rĂ©gĂ©nĂ©ration, de restauration. L’immigration rĂȘve des uns, cauchemar des autres Les États-Unis sont une terre de paradoxe, avec une population issue de l’immigration Ă  un moment ou Ă  un autre, mais qui peut montrer une forte hostilitĂ© contre l’immigration rĂ©cente ou Ă  venir. Au XVIIe siĂšcle, dĂ©jĂ , les puritains estimaient que la cohĂ©sion sociale dĂ©pendait de l’homogĂ©nĂ©itĂ© religieuse. En d’autres termes, la quĂȘte du bonheur social, collectif, passait par le maintien d’une communautĂ© homogĂšne, dont les Ă©lĂ©ments dissidents n’étaient pas les bienvenus. Le mĂ©canisme qui sous-tend l’anticatholicisme est similaire le catholicisme – ou papisme » – est aux yeux de l’opinion protestante, majoritaire alors, le versant religieux de l’autoritarisme et de l’absolutisme, Ă  l’inverse d’un protestantisme synonyme de libertĂ© et de dĂ©mocratie. À cela se greffe notamment l’hostilitĂ© d’ordre plus ethnique aux Irlandais. Ainsi, au milieu du XIXe siĂšcle, les petites annonces pour des emplois de gouvernante, par exemple, stipulent explicitement No Irish need apply » Irlandais s’abstenir. Les Irlandais sont pauvres, catholiques et probablement dĂ©pourvus de sens moral. Sur la cĂŽte ouest, les Chinois ont certes constituĂ© une main-d’Ɠuvre bon marchĂ© corvĂ©able Ă  merci, mais quand on considĂšre qu’ils sont trop nombreux, on Ă©dicte les premiers quotas ethniques contre leur immigration 1882. Enfin, les mormons, pourtant un des rares groupes religieux nĂ©s aux États-Unis et non importĂ©s d’Europe, sont considĂ©rĂ©s comme une Église Ă©trangĂšre ». La raison tient Ă  leur dogme ils ajoutent un livre Ă  la Bible, ce qui est anathĂšme pour de nombreux protestants et Ă  leurs pratiques sociales la polygamie jusqu’en 1890. Ils sont donc persĂ©cutĂ©s et fuient toujours plus Ă  l’ouest. Ils trouvent refuge Ă  Salt Lake City, aux confins septentrionaux du Mexique, avant d’ĂȘtre rattrapĂ©s par l’irrĂ©pressible expansion des États-Unis vers l’ouest, Ă  grands renforts d’idĂ©ologie de la destinĂ©e manifeste. » Entre 1845 et 1848, la frontiĂšre occidentale des États-Unis est repoussĂ©e jusqu’au Pacifique, et le Texas, la Californie, et tout l’Ouest passent sous le contrĂŽle des États-Unis. Cette expansion n’a pas lieu que sur la carte elle est souvent prĂ©cĂ©dĂ©e et toujours suivie par les pionniers, parmi lesquels on trouve le Suisse ThĂ©odore Bost, qui a laissĂ© une riche correspondance transatlantique. Ses lettres, qui couvrent plus d’un demi-siĂšcle, montrent bien Ă  la fois les espoirs et les frustrations, une quĂȘte du bonheur qui lui fait d’abord traverser l’Atlantique et qui le pousse toujours un peu plus Ă  l’ouest, malgrĂ© les Ă©preuves et la rudesse extrĂȘme de ses conditions de vie. MalgrĂ© tout cela, il ne perd jamais espoir. La quĂȘte reste sans cesse inachevĂ©e. Le rĂȘve amĂ©ricain est au moins autant la destination que l’on n’atteint pas forcĂ©ment que le voyage qui est censĂ© y mener. Bost s’éteint quand le Ku Klux Klan renaĂźt de ses cendres et dĂ©passe largement le Vieux Sud confĂ©dĂ©rĂ© de sa premiĂšre existence Ă©phĂ©mĂšre 1866-1871. Outre les Noirs Ă©mancipĂ©s, ses nouveaux boucs Ă©missaires sont les catholiques, les juifs et les bolchĂ©viques, qui ont en commun de ne pouvoir ĂȘtre de vrais AmĂ©ricains car leur loyautĂ© va d’abord Ă  une autre source le Vatican, Moscou, la communautĂ©. Cette version trĂšs dĂ©fensive de l’amĂ©ricanitĂ© est le reflet des angoisses d’une AmĂ©rique qui se sent de plus en plus menacĂ©e par les profondes mutations structurelles Ă  l’Ɠuvre Ă  l’époque urbanisation galopante, industrialisation, immigration en provenance d’Europe du Sud et de l’Est d’une ampleur inĂ©dite qui accĂ©lĂ©rait une diversification elle aussi inĂ©dite de la population de souche » d’ascendance britannique et protestante. Ce Ă  quoi il faut ajouter la menace sur la religion rĂ©vĂ©lĂ©e que constituent les progrĂšs de la science, Ă  la fois la philologie et l’évolutionnisme, qui remettent en cause la vĂ©racitĂ© du texte biblique. La prohibition, les lois anti-Ă©volution et les quotas migratoires drastiques 1921, 1924 sont autant de croisades symboliques destinĂ©es Ă  enrayer ce qui est perçu comme cette dĂ©naturation profonde de ce que doit ĂȘtre l’AmĂ©rique Ă©ternelle. La quĂȘte du bonheur des uns, particuliĂšrement les immigrĂ©s italiens, grecs, juifs, russes, qui fuient la misĂšre et les persĂ©cutions religieuses, politiques est le cauchemar des autres – les vrais » AmĂ©ricains. Les banlieues et l’American Way of Life Les dĂ©cennies de postĂ©ritĂ© d’aprĂšs-guerre sont la quintessence du rĂȘve amĂ©ricain, et parmi ses symboles les plus puissants figurent le pavillon de banlieue et la voiture. Lors de la grande exposition de New York en 1939-1940, le pavillon Futurama a un succĂšs retentissant. Il y anticipe une vision de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine du futur – en 1960. Le fait qu’il soit sponsorisĂ© par General Motors n’est probablement pas Ă©tranger au fait que la voiture et l’infrastructure routiĂšre y sont centrales. L’automobile s’était dĂ©mocratisĂ©e trĂšs tĂŽt aux États-Unis, notamment sous l’impulsion d’Henry Ford, qui voulait que ses ouvriers puissent se payer ce qu’ils fabriquaient. Les salaires gĂ©nĂ©reux des usines du Nord Chicago, DĂ©troit attirent de nombreux Noirs du Sud, qui fuient la misĂšre et le travail des champs. Sur le modĂšle du fordisme, la construction rĂ©sidentielle se rationnalise, ce qui permet d’en diminuer les coĂ»ts et d’en faciliter l’accessibilitĂ©. Dans les annĂ©es 1950, l’expansion du modĂšle pavillonnaire dans les banlieues poursuit cette tendance Ă  la massification mais Ă  une Ă©chelle inĂ©dite. Certes, la moyennisation par la consommation est indĂ©niable, mais la suburbanisation et la prospĂ©ritĂ© ne doivent pas occulter la pĂ©rennitĂ© des discriminations raciales, par exemple. Le processus de suburbanisation par lequel on s’extrait de villes associĂ©es Ă  Babylone correspond Ă  la vision jeffersonienne de l’AmĂ©rique, nĂ©o-rurale, qui associe la vertu Ă  la terre et Ă  la nature, par opposition Ă  la vision hamiltonienne, d’aprĂšs Alexander Hamilton, ministre de George Washington, pour qui la prospĂ©ritĂ© viendrait du dĂ©veloppement des villes et du commerce transatlantique. Cependant, la suburbanisation est indissociable d’une consommation de masse associĂ©e Ă  la prospĂ©ritĂ©, synthĂšse de ces deux visions. Le symbole de cette consommation nouvelle est le centre commercial, ou mall », oĂč la consommation est centralisĂ©e, rationnalisĂ©e, en rupture avec le type de consommation classique des centres villes. À la consommation de masse succĂšde rapidement une consommation trĂšs segmentĂ©e, associĂ©e Ă  un ciblage marketing de plus en plus pointu. C’est ainsi que naĂźt la figure du teenager », entre l’enfant et l’adulte, dotĂ© d’un pouvoir d’achat inĂ©dit, Ă  qui l’on destine des produits culturels et matĂ©riels spĂ©cifiques, comme le rockn’roll et tout ce qui devient la culture jeune ». Ce modĂšle de l’ American Way of Life » s’exporte bien – c’est la puissance du soft power, sous l’impulsion des reprĂ©sentations culturelles sĂ©ries, films, musique mais aussi sous les formes matĂ©rielles produits technologiques, enseignes alimentaires McDonald’s, Coca Cola et lotissements pavillonnaires aux pĂ©riphĂ©ries des villes. Bien entendu, ce soft power est parfois assimilĂ© Ă  une forme d’impĂ©rialisme culturel la coca-colonisation » dĂ©noncĂ©e par le Parti communiste français dĂšs la fin des annĂ©es 1940. Mais les AmĂ©ricains eux-mĂȘmes dĂ©noncent ces excĂšs la sĂ©rie Desperate Housewives est un des nombreux exemples oĂč l’illusion d’une surface lisse des banlieues amĂ©ricaines cache une rĂ©alitĂ© chaotique peu reluisante. La place de la femme dans les banlieues des annĂ©es de prospĂ©ritĂ© est assez peu Ă©panouissante, et une partie de la rĂ©volte des annĂ©es 1960 se fait contre le modĂšle conformiste des annĂ©es 1950. En portant un coup d’arrĂȘt net Ă  l’expansion continue, toujours un peu plus loin des grandes villes, la crise des subprimes semblait mettre un terme Ă  un long processus d’ascension sociale par l’accession Ă  la propriĂ©tĂ© dans les utopies Ă©dĂ©niques des banlieues rĂ©sidentielles. Aujourd’hui, les dĂ©localisations et la prĂ©carisation du salariat combinĂ©es Ă  l’endettement frais de scolaritĂ© et diffĂ©rents crĂ©dits rognent toujours plus sur les conditions de vie, au point que si, en 1970, 90 % des trentenaires avaient mieux rĂ©ussi que leurs parents au mĂȘme Ăąge, on Ă©tait Ă  peine Ă  50 % pour les trentenaires de 2015. Pour la premiĂšre fois dans l’histoire des États-Unis, une gĂ©nĂ©ration n’est plus assurĂ©e du tout de vivre mieux que la gĂ©nĂ©ration de ses parents, les baby-boomers, ce qui remet en cause le rĂȘve amĂ©ricain. GrĂąceaux progrĂšs de la technologie, les parents auront la possibilitĂ© d’augmenter le potentiel artistique de leurs rejetons en amĂ©liorant, par exemple, leur acuitĂ© visuelle ou auditive. Une meilleure comprĂ©hension du fonctionnement du cerveau permettra de dĂ©velopper leurs facultĂ©s cognitives en renforçant, par exemple, le gĂšne chargĂ© de convertir la mĂ©moire Ă  court terme en

Depuis plusieurs annĂ©es, le territoire amĂ©ricain ne cesse d’attirer les Ă©trangers voulant vivre une vie meilleure et prospĂšre. Pendant trĂšs longtemps, le pays a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme une terre d’accueil pour tous et beaucoup y ont trouvĂ© refuge. Mais est-ce encore le cas aujourd’hui ? Le pays a connu certaines crises que ce soit d’un point de vue ethnique, culturel ou encore financier. Ainsi, le territoire amĂ©ricain peut-il encore tenir ses promesses ? Est-il un mythe ou une rĂ©alitĂ© ? Doit-on encore parler de rĂȘve amĂ©ricain aujourd’hui ? Voici tout ce qu’il faut savoir ! Que reprĂ©sente le rĂȘve amĂ©ricain ? Il fait partie intĂ©grante de l’histoire amĂ©ricaine. C’est Ă  partir du XVIIe siĂšcle que les Etats Unis vont se forger l’image d’un lieu oĂč mĂȘme vos rĂȘves les plus fous seront rĂ©alisables. Il s’agit d’une terre promise presque idyllique composĂ©e d’une richesse inĂ©puisable pour les colons. Par la suite, cette image va ĂȘtre renforcĂ©e au XVIIIe siĂšcle lors de la crĂ©ation de la DĂ©claration d’IndĂ©pendance qui en fait une terre puissante et propice Ă  la poursuite du bonheur. LibertĂ© individuelle et d’expression, ici, chacun est Ă©gal et libre de rĂ©aliser ses projets pour accĂ©der au fameux American dream. L’AmĂ©rique du Nord deviendra donc par la suite pour le monde entier le lieu idĂ©al pour s’enrichir et ĂȘtre heureux. L’idĂ©e Ă©tant que chacun, peu importe son origine ou sa classe sociale, parviendra Ă  gravir les Ă©chelons en arrivant sur le territoire amĂ©ricain. S’en suivra des annĂ©es connaissants une Ă©conomie prospĂšre et une augmentation des revenus pour les colons. Dans l’ensemble, le rĂȘve amĂ©ricain offre la possibilitĂ© Ă  chacun de rĂ©aliser ses projets mĂȘme s’il se trouve au plus bas de sa catĂ©gorie sociale et qu’il est seul. En arrivant sur le territoire amĂ©ricain, vous trouverez un travail qui vous permettra d’avoir un revenu correct pour ainsi avoir un bien immobilier oĂč vous pourrez vivre paisiblement en famille. Pour attirer plus de populations, la vision de l’American dream va se rĂ©pandre en France, en Europe et dans le monde entier par le biais de la culture. Des images d’hommes qui se battent pour leurs droits comme Martin Luther King ou d’autres qui ont rĂ©ussi Ă  devenir cĂ©lĂšbres sans aucun soutien comme Abraham Lincoln se diffusent partout. L’American dream est possible, et ils veulent le prouver. Mais est-il vraiment rĂ©el ou n’est-ce que la face visible d’une sombre rĂ©alitĂ© ? Finalement, la question a toujours Ă©tĂ© le rĂȘve amĂ©ricain est-il un mythe ou une rĂ©alitĂ© ? Malheureusement, l’autre partie de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine s’accordera Ă  avouer que ce rĂȘve amĂ©ricain n’est pas envisageable pour tous. Notamment en raison des Ă©vĂ©nements financiers et politiques qui vont toucher le pays par la suite. La crise de subprimes, par exemple, va ĂȘtre un frein Ă  l’American dream de nombreux immigrĂ©s qui Ă©taient parvenus Ă  obtenir des crĂ©dits immobiliers pour acheter un logement. Beaucoup ont vu leurs dettes s’accumuler et ont Ă©tĂ© dans l’incapacitĂ© de rembourser leur crĂ©ancier. De ce fait, les procĂ©dures de short sales ou de saisies de bien immobilier par la banque, comme la foreclosure, vont ĂȘtre mises en place. Finalement mĂȘme si le rĂȘve amĂ©ricain peut paraĂźtre accessible en apparence, les annĂ©es qui passent imposent de plus en plus de barriĂšres Ă  cette idĂ©e de rĂ©ussite. L’“American way of life” est-il encore possible aujourd’hui ? InĂ©galitĂ©s, crise, population divisĂ©e d’un point de vue politique et modĂšle de santĂ© en retard sur son temps
 Beaucoup diront que L’AmĂ©rique du nord n’est plus la terre promise d’autrefois
 Mais quel pays est exempt de tout dĂ©faut ? MalgrĂ© tout cela, les États-Unis offrent un cadre de vie agrĂ©able selon les expatriĂ©s et les AmĂ©ricains eux-mĂȘmes. Aujourd’hui, les conditions d’accĂšs aux Etats-Unis restent plus restreintes et malheureusement les prix restent plus Ă©levĂ©s qu’il y a plusieurs annĂ©es. Cependant, aprĂšs des pĂ©riodes sombres d’un point de vue financier, le pays se relĂšve et les investisseurs se tournent de plus en plus vers les opportunitĂ©s qu’il propose. Finalement, ce n’est peut-ĂȘtre pas la fin de l’American dream. De par ses paysages infinis, ses Ă©difices sur plusieurs mĂštres de hauteur allant presque toucher le ciel, et ses conditions de vie idyllique dans certaines villes, les États Unis continuent de faire rĂȘver. Chaque annĂ©e, elle attire de plus en plus d’investisseurs ou de rĂ©sidents Ă©trangers voulant connaĂźtre cet American dream. Des entreprises s’installent de façon grandissante sur le territoire, crĂ©ant ainsi plus d’offres d’emplois. En immobilier, le rĂȘve amĂ©ricain offre l’opportunitĂ© d’acheter une maison ou un appartement pour des prix trĂšs bas afin d’avoir une rentabilitĂ© Ă©levĂ©e. MĂȘme si les prix augmentent chaque annĂ©e, le rĂȘve amĂ©ricain doit s’adapter avec son temps. En achetant un bien immobilier, vous pourrez donc envisager une plus-value Ă  l’avenir. De plus, si vous souhaitez partir vivre aux USA, de nombreuses aides sont mises Ă  votre disposition comme la convention fiscale entre la France et les Etats Unis. Ainsi, que ce soit pour investir ou pour partir vivre aux Etats Unis, vous avez la possibilitĂ© de rĂ©aliser votre American dream Ă  votre maniĂšre. Dans l’ensemble, mĂȘme si cela peut ĂȘtre vu comme un imaginaire collectif, la vision de l’American dream n’a pas totalement disparue car il offre encore aujourd’hui des opportunitĂ©s pour de nombreux investisseurs Ă©trangers. Pourquoi l’American dream attire-t-il encore beaucoup d’étrangers ? Il promet une vie paisible et pleine de richesseIl n’a pas toujours Ă©tĂ© accessible Ă  tousIl s’adapte avec son Ă©poqueAujourd’hui, le pays offre encore beaucoup d’opportunitĂ©s Besoin d’aide pour parvenir Ă  rĂ©aliser votre rĂȘve amĂ©ricain ? Vous voulez en savoir plus sur les opportunitĂ©s que vous pouvez avoir en investissant aux États Unis ? Les professionnels de notre Ă©quipe sont lĂ  pour VOUS aider ! Une seule chose Ă  faire, cliquez sur ce lien pour contacter nos agents immobiliers, ou rĂ©aliser votre propre simulation de projet ! Votre Ă©quipe qui vous accompagne dans vos dĂ©marches sur le marchĂ© immobilier amĂ©ricain, USA Immobilier

Cetengouement renouvelĂ© pour les États-Unis a de quoi surprendre : parle-t-on bien du pays oĂč les armes Ă  feu prolifĂšrent (et provoquent 200
Martin Luther King n’a pas Ă©tĂ© toujours le hĂ©ros aujourd’hui commĂ©morĂ© par un jour chĂŽmĂ© et sculptĂ© dans la pierre d’une statue monumentale au cƓur de la capitale des États-Unis. On retient de cet homme emblĂ©matique, son combat pour la justice, son cĂ©lĂšbre discours I have a dream » ou encore son prix Nobel, en 1964. Mais son sacre d’homme de paix, nous fait oublier qu’il Ă©tait, dans les annĂ©es 60, un personnage controversĂ© qui agaçait jusque dans son propre camp. Il s’était peu Ă  peu imposĂ© comme un personnage radical aux États-Unis, un bruyant adversaire de la politique Ă©trangĂšre amĂ©ricaine. Il rĂ©clamait la justice pour tous les pauvres aux États-Unis, et pas seulement les Afro-AmĂ©ricains, lesquels bien Ă©videmment s’identifiaient Ă  lui et comptaient sur lui. Mais son pacifisme avait fini par semer le trouble dans sa propre communautĂ©. Son choix de la non-violence pour mener la lutte dĂ©plaisait aux jeunes Noirs impatients de voir du changement, et parfois d’en dĂ©coudre. Pour eux, lutter n’était pas dans une logique pacifique, mais turbulente. MalmenĂ© et harcelĂ© par la police fĂ©dĂ©rale, Martin Luther King agaçait au niveau politique. Au-delĂ  de son engagement et de sa bataille pour les droits civiques de la population Afro-AmĂ©ricaine, son opposition Ă  la guerre Ă©tait plus que mal venue, elle Ă©tait inacceptable. N’oublions pas que les annĂ©es 60 Ă©taient marquĂ©es par l’engagement des États-Unis dans la guerre du Vietnam. Et bien que cette guerre ait divisĂ© la population amĂ©ricaine, MLK s’était mis Ă  dos tout l’appareil politique, mais aussi tout le mouvement des droits civiques, lorsqu’il avait publiquement condamnĂ© celle-ci. Je dirais que je suis opposĂ© Ă  la guerre du Vietnam parce que j’aime l’AmĂ©rique. Ce qui m’inspire n’est pas la colĂšre, mais la crainte et le chagrin, et le profond dĂ©sir de voir notre pays bien-aimĂ© ĂȘtre un exemple moral pour le monde. Je m’oppose Ă  cette guerre parce que je suis déçu de l’AmĂ©rique. Je suis déçu de constater notre incapacitĂ© Ă  nous attaquer positivement et avec franchise aux trois maux que sont le racisme, l’exploitation Ă©conomique et le militarisme. » Quelques mois avant qu’il ne soit assassinĂ© Ă  Memphis, le 4 avril 1968 Ă  l’ñge de 39 ans, son rĂȘve Ă©tait devenu un vĂ©ritable cauchemar. Il le rĂ©pĂ©ta d’ailleurs plusieurs fois le rĂȘve que j’ai fait Ă  Washington en 1963, s’est transformĂ© en cauchemar. » Il a levĂ© les foules, et il a laissĂ© un leg, mais aussi une image. Celle d’un visionnaire qui parlait d’égalitĂ©. Celle d’un pacifiste qui rĂ©clamait la paix. Celle d’un homme qui croyait que le racisme pouvait disparaĂźtre. Je fais le rĂȘve que mes quatre enfants vivront un jour dans une nation oĂč ils ne seront pas jugĂ©s selon la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractĂšre. Je fais ce rĂȘve aujourd’hui. » disait-il le 28 aoĂ»t 1963 Ă  Washington. blacklivesmatter Mais est-ce qu’en 2019 nous vivons vraiment dans une nation oĂč les enfants ne sont pas jugĂ©s sur leur couleur de peau ? Est-ce que, quand on inscrit son enfant Ă  l’école publique new-yorkaise et que son appartenance ethnique » est demandĂ©e, on peut vraiment croire que la couleur de peau n’a pas d’importance ? Pourquoi est-ce qu’en 2019, alors que la population blanche» new-yorkaise s’installe sereinement et sans rougir, depuis des annĂ©es, dans des quartiers historiques comme Harlem, la gentrification s’arrĂȘte-t-elle aux portes des Ă©coles ? En attendant, ce 21 janvier, ces mĂȘmes enfants, quelle que soit leur couleur de peau, cĂ©lĂšbreront Matin Luther King, Jr Day. Certains n’y verront qu’une journĂ©e d’école buissonniĂšre, d’autres – peut-ĂȘtre conscients du racisme grandissant et affirmĂ© – seront plus sensibles Ă  l’image et au message du rĂ©vĂ©rend. le petit journal
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MĂȘmesi les prix augmentent chaque annĂ©e, le rĂȘve amĂ©ricain doit s’adapter avec son temps. En achetant un bien immobilier, vous pourrez donc envisager une plus-value Ă  l’avenir. De plus, si vous souhaitez partir vivre aux Prendre des risques, c'est aussi ça la vie ! Partir aux USA est trĂšs risquĂ©, mais pourquoi pas tenter l'aventure ! AprĂšs c'est surement des paroles, et jamais je ne tenterais rien de ma vie, et j'aurais ma petite vie routiniĂšre dans mon centre de la France, mais en tout cas c'est un rĂȘve tout Ă  fait accessible avec un peu de dĂ©brouillardise et d'envie ! J'ai pas dit de toucher 100 000 euros par mois, vivre avec un top model dans une villa, mais avoir une vie lambda, dans le dĂ©cor de Miami, un dĂ©cor qui me ferait chaque jour avoir le sourire et bonne humeur comme je le vois pour la majoritĂ© des gens de Miami que j'ai rencontrĂ© ! Un travail, un logement et basta ! Et je dis sa uniquement parce que je suis allĂ© Ă  Miami 2 fois et que je suis littĂ©ralement amoureux de cette ville car c'est vraiment mon idĂ©al de vie, au mĂȘme titre que certaines personnes se voient habiter Ă  la campagne avec d'immenses terrains ou en Afrique auprĂšs de populations dĂ©munies etc etc ... Je ne trouve pas que j'ai la folie des grandeurs ! Peut-ĂȘtre que Miami rĂ©sonne pour vous comme le paradis du bling bling et de la superficialitĂ©, ceux lĂ  n'y sont jamais y allĂ© ! Lorsque je vais Ă  Miami, je ne vais pas souvent Ă  South Beach, lĂ  oĂč tout se passe ! Miami a des pauvres des riches, une grande classe moyenne, des endroits pour sortir en famille, des parcs nationaux, des quartiers communautaires etc ... Miami n'est pas Ă©gal Ă  Vice City dans ma tĂȘte, arrĂȘtez de regarder les films ... LerĂȘve amĂ©ricain tourne au cauchemar pour les sans-papiers en Californie afp , le 52 ans. ArrivĂ©e aux Etats-Unis du Mexique il y a 18 TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Pour beaucoup, le rĂȘve amĂ©ricain c'est l'idĂ©e que l'on peut amĂ©liorer sa qualitĂ© de vie, au moins sur le plan matĂ©riel, en travaillant dur. Mais, comme le disait l'historien James Truslow Adams Il ne s'agit pas d'un rĂȘve de grosses voitures et de hauts salaires, mais d'un rĂȘve de sociĂ©tĂ© dans laquelle chaque homme et chaque femme devrait ĂȘtre capable de s'Ă©lever Ă  la hauteur de ses capacitĂ©s... » Le rĂȘve amĂ©ricain c'est bien plus qu'une maison, deux enfants et une voiture dans le garage. C'est avant tout l'idĂ©e que les AmĂ©ricains se battent pour des valeurs comme la fiertĂ©, l'individualisme, la reconnaissance et les libertĂ©s individuelles. 1 Travaillez dur. S'il y a bien une chose pour mettre tout le monde d'accord Ă  propos du rĂȘve amĂ©ricain, c'est qu'il faut travailler dur pour y arriver. Une enquĂȘte publique de 2012 a rĂ©vĂ©lĂ© que prĂšs de 90 % des personnes interrogĂ©es pensent qu'une solide Ă©thique de travail est absolument essentielle » pour atteindre ce rĂȘve. Que vous vouliez grimper les Ă©chelons de la sociĂ©tĂ© pour passer d'un niveau de vie modeste Ă  celui, plus confortable, des classes moyennes, passer de la classe moyenne Ă  une classe plus aisĂ©e ou carrĂ©ment grimper tous les Ă©chelons pour arriver au sommet, vous aurez besoin d'une solide dĂ©termination pour y parvenir. RĂ©ussir Ă  sortir du lot veut bien dire ce que ça veut dire. Il faut travailler dur pour sortir du lot par rapport Ă  tous ceux qui fournissent des efforts normaux. Pour les dĂ©butants, essayez d'abord de travailler plus dur et plus longtemps que vos collĂšgues de travail. Par exemple, si la plupart des employĂ©s quittent leur poste de travail dĂšs qu'ils en ont l'occasion, proposez de faire des heures supplĂ©mentaires. Si certains ne font que le minimum, cherchez Ă  vous occuper et Ă  en faire plus que les autres. Travailler plus que les personnes qui sont autour de vous est la meilleure façon de se faire remarquer au travail et, peut-ĂȘtre, ainsi d'obtenir des fĂ©licitations de votre supĂ©rieur, voire mĂȘme une augmentation. 2 Travaillez intelligemment. Travailler dur est effectivement essentiel pour parvenir au rĂȘve amĂ©ricain, mais travailler dur, sans ĂȘtre efficace, ne vous conduira nulle part. Aux États-Unis, il est bien plus important d'ĂȘtre reconnu comme Ă©tant particuliĂšrement efficace et productif au travail, plutĂŽt que d'ĂȘtre celui qui passe des heures Ă  rĂ©aliser des tĂąches qui pourraient ĂȘtre accomplies plus facilement avec une meilleure technique. Efforcez-vous toujours d'amĂ©liorer votre rendement, encore plus au travail. Demandez-vous Comment est-ce que je pourrais faire mon travail plus rapidement ? », Plus simplement ? », Avec moins d'efforts ? » et ainsi de suite. Vous trouverez ci-dessous quelques conseils pour commencer Ă  amĂ©liorer votre productivitĂ©. Si vous travaillez sur ordinateur, rĂ©digez sous forme de script ou demandez Ă  un ami expĂ©rimentĂ© de le faire pour vous les tĂąches, mĂȘme Ă©lĂ©mentaires, que vous devez rĂ©aliser le plus souvent. Si vous ĂȘtes dĂ©bordĂ©s de travail, n'hĂ©sitez pas Ă  dĂ©lĂ©guer. Si vous ĂȘtes gĂ©rant de votre entreprise, faites appel Ă  une agence spĂ©cialisĂ©e pour sous-traiter toutes les tĂąches qui vous prennent trop de temps la comptabilitĂ©, la gestion des salaires
 Trouvez des solutions crĂ©atives pour vos problĂšmes rĂ©currents. Par exemple, si vous ĂȘtes serveur et que vous vous rendez compte que vous perdez beaucoup de temps Ă  faire des allers et retours Ă  la machine Ă  glaçons, prenez un pichet de glaçons quand vous passez de table en table. Investissez dans du matĂ©riel de bonne qualitĂ©. Assurez-vous d'ĂȘtre suffisamment reposĂ© afin de pouvoir consacrer toute votre attention Ă  votre travail. 3 Formez-vous. Il y a certes de nombreuses histoires qui circulent aux États-Unis sur des gens qui sont devenus riches et cĂ©lĂšbres sans aucun diplĂŽme, mais, en gĂ©nĂ©ral, sortir diplĂŽmĂ© de l'Ă©cole est un plus pour rĂ©ussir votre carriĂšre, tout comme votre vie personnelle. Un diplĂŽme de base, comme le baccalaurĂ©at, vous donnera dĂ©jĂ  un niveau de connaissances qui vous aidera Ă  vous sentir Ă  l'aise et compĂ©titif dans le monde actuel. Un niveau plus Ă©levĂ©, que vous obtiendrez en allant Ă  la fac, vous donnera un savoir plus pointu et des compĂ©tences qui vous rendront plus attrayant aux yeux des employeurs et qui vous ouvriront plus de portes sur le marchĂ© de l'emploi. Au-delĂ  d'un master, vos qualifications seront encore plus pointues. D'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il est dans l'intĂ©rĂȘt de chacun d'obtenir le meilleur niveau de qualification possible. De plus, certains mĂ©tiers exigent d'avoir fait les Ă©tudes adĂ©quates. Par exemple, vous ne pourrez pas devenir mĂ©decin sans ĂȘtre allĂ© en fac de mĂ©decine, vous ne deviendrez pas avocat sans avoir fait des Ă©tudes de droit et vous ne serez pas architecte sans ĂȘtre diplĂŽmĂ© d'une Ă©cole d'architecture. En obtenant un niveau de qualification plus Ă©levĂ©, vous pourrez revoir Ă  la hausse vos prĂ©tentions salariales. Ainsi, quelqu'un qui a passĂ© au moins deux annĂ©es Ă  la fac gagnera, en moyenne, 200 000 euros de plus, sur l'ensemble de sa carriĂšre, que quelqu'un qui n'est pas allĂ© Ă  l'universitĂ© [1] . 4 Soyez entreprenant. Les gens qui veulent vraiment se mettre en avant devraient toujours ĂȘtre Ă  l'affut des diverses opportunitĂ©s de gagner de l'argent, aussi bien dans leur travail qu'Ă  cĂŽtĂ©. Il y a un nombre incalculable de façons de s'y prendre. Partout oĂč vous voyez un besoin que vous ĂȘtes capable de combler, il y a une opportunitĂ© de se faire de l'argent. Les occasions de gagner de l'argent peuvent parfois ĂȘtre plus simples qu'on ne le croirait. Par exemple, si vous ĂȘtes expert-comptable, vous pouvez offrir vos services autour de vous, Ă  vos amis, pour gagner un peu plus d'argent en pĂ©riode de dĂ©claration d'impĂŽts. Pourtant, certaines grandes sociĂ©tĂ©s ont bĂąti leur fortune en offrant des solutions Ă  des problĂšmes qui n'Ă©taient pas forcĂ©ment visibles. L'exemple le plus connu est surement celui de Mark Zuckerberg. Cet AmĂ©ricain est devenu le plus jeune milliardaire du monde en inventant, avec ses camarades, un rĂ©seau social interplanĂ©taire, permettant ainsi aux gens de rester en contact les uns avec les autres d'une façon qui Ă©tait jusqu'alors impensable. Cela dit, vous n'avez pas besoin d'inventer le prochain Facebook pour rĂ©ussir aux États-Unis, mais vous pouvez essayer d'ĂȘtre entreprenant et crĂ©atif Ă  votre niveau. Par exemple, crĂ©er son entreprise Ă  la maison et Ă  temps partiel peut s'avĂ©rer ĂȘtre une bonne solution pour gagner de l'argent avec un investissement minimum. Bien Ă©videmment, peu importe la solution que vous choisissiez pour gagner de l'argent, vous devez toujours vous assurer d'ĂȘtre en rĂšgle avec la loi et la fiscalitĂ© de votre pays. Ainsi, si vous vous lancez dans une affaire illĂ©gale, vous risquez de vous retrouver en prison, ce qui ne fera que vous Ă©loigner de votre objectif de dĂ©part [2] . 5 Faites des Ă©conomies. Trop de gens dĂ©pensent des sommes folles pour des choses dont ils n'ont mĂȘme pas besoin. Si vous voulez vous offrir une vie confortable sur le long terme, il serait sage d'Ă©viter ce genre de dĂ©penses inutiles dĂšs Ă  prĂ©sent. Renoncer Ă  quelques petits extras comme un abonnement aux chaines du cĂąble, des repas dans des restaurants onĂ©reux ou des vacances inutiles, peut vous aider Ă  Ă©conomiser de l'argent qui sera plus utile sur le long terme. Vous pourrez ainsi rĂ©gler vos dettes, investir dans des projets ou placer votre argent pour votre retraite. La meilleure technique pour contrĂŽler vos dĂ©penses est d'Ă©tablir un budget pour votre mĂ©nage. Pointer toutes ses dĂ©penses mensuelles et comparer le prĂ©visionnel aux dĂ©penses rĂ©elles peut ĂȘtre une expĂ©rience enrichissante qui vous aidera Ă  identifier les postes de dĂ©penses pour lesquels vous devez faire attention. Il y a d'autres solutions pour faire des Ă©conomies comme trouver un logement moins cher, faire les courses dans des magasins de discount, faire du covoiturage ou utiliser davantage les transports publics plutĂŽt que de toujours prendre sa voiture. Vous pouvez aussi faire des efforts pour diminuer vos factures de chauffage ou de climatisation. Pour plus d'informations Ă  ce sujet, lisez ce wikiHow. 6 Consacrez-vous Ă  vos passions. Bien sĂ»r, ceux qui sont Ă  la poursuite du rĂȘve amĂ©ricain se doivent de travailler dur, mais personne ne sera heureux en consacrant toute sa vie exclusivement au travail. Le rĂȘve amĂ©ricain c'est aussi avoir la libertĂ© de faire tout un tas de choses, en parallĂšle de sa vie professionnelle, pour ĂȘtre heureux et Ă©panoui. Passez donc du temps Ă  faire des choses qui vous plaisent. Il peut s'agir de loisirs comme l'Ă©criture, le sport, entretenir votre voiture ou, tout simplement, passer du temps avec votre famille. Si vous aimez votre travail, tant mieux ! Pouvoir gagner de l'argent en faisant un travail qui est Ă©galement une passion est un luxe qui n'est pas donnĂ© Ă  tout le monde. Si vous n'adorez pas votre travail, ce n'est pas grave non plus. Gardez-le et investissez-vous au mieux, mais gardez toujours un peu de temps libre pour vos loisirs ou pour chercher un autre emploi afin de garder le moral. 7 Devenez propriĂ©taire. Il n'est bien sĂ»r pas nĂ©cessaire d'ĂȘtre propriĂ©taire de sa maison pour mener une vie heureuse, mais la plupart des AmĂ©ricains sont propriĂ©taires de leur maison ou souhaitent le devenir [3] . MĂȘme suite Ă  la rĂ©cente crise Ă©conomique qui a bouleversĂ© le marchĂ© de l'immobilier, la premiĂšre source de richesse des AmĂ©ricains est toujours leur maison. Le fait d'avoir un prĂȘt bancaire vous permet de construire votre maison et de l'amĂ©liorer au fil des annĂ©es, selon vos rentrĂ©es d'argent. Cela aide aussi Ă  envisager la retraite plus sereinement. Ainsi, si vous pouvez vendre votre maison Ă  un bon prix quand vous serez ĂągĂ©, vous pourrez augmenter considĂ©rablement votre niveau de vie de retraitĂ©. PossĂ©der sa maison n'est pas uniquement un avantage matĂ©riel. Être propriĂ©taire de sa maison vous apporte une certaine forme de libertĂ© qui vous permet de vivre votre vie comme vous l'entendez. Ainsi, quand vous ĂȘtes propriĂ©taire, vous ĂȘtes libre de faire des travaux pour agrandir votre cuisine si vous trouvez celle-ci trop exigĂŒe. Chose que vous ne pourriez pas faire en Ă©tant locataire. De plus, de nombreux AmĂ©ricains trouvent que le fait d'ĂȘtre propriĂ©taire leur apporte un sentiment de satisfaction et de sĂ©curitĂ©. 1 Apprenez vos droits de citoyen. La Constitution amĂ©ricaine, l'un des fondements qui dĂ©finissent les États-Unis, offre tout un tas de libertĂ©s aux citoyens amĂ©ricains. Et chacun devrait avoir pleinement connaissance de ses droits en tant que citoyen. Profiter de ses libertĂ©s peut vous aider Ă  vous crĂ©er une vie heureuse, enrichissante et Ă©panouissante. De plus, si vous ne connaissez pas vos droits, vous ĂȘtes davantage susceptible de passer Ă  cĂŽtĂ© de certaines opportunitĂ©s ou d'ĂȘtre abusĂ©. Vous trouverez ci-dessous une liste des droits les plus Ă©lĂ©mentaires rĂ©gis par la Constitution ceux-ci sont tous issus de la dĂ©claration de droits du dixiĂšme amendement de la Constitution [4] . La libertĂ© d'expression qui englobe la libertĂ© de la presse, le droit de manifester et de solliciter le gouvernement par pĂ©tition. Le droit de pratiquer votre religion ou de ne pas en avoir. Le droit de porter une arme et donc de possĂ©der une arme Ă  feu. La protection contre les perquisitions illĂ©gales et les confiscations. La protection contre les faux tĂ©moignages Ă  votre encontre concernant des questions lĂ©gales. Le droit Ă  un procĂšs public composĂ© d'un jury. La protection contre des sanctions cruelles et inappropriĂ©es ». 2 Usez de votre libertĂ© d'expression. La libertĂ© d'expression est peut-ĂȘtre la plus citĂ©e et la plus utilisĂ©e des libertĂ©s constitutionnelles. Les États-Unis sont un pays libre. Les AmĂ©ricains ont le droit de dire Ă  peu prĂšs tout ce qu'ils veulent quand il s'agit d'exprimer leur opinion, Ă  la condition de le faire dans le respect d'autrui. En thĂ©orie, cela veut dire qu'il est permis d'avoir des convictions personnelles et politiques, de les partager avec d'autres, mĂȘme si ces convictions sont contraires Ă  l'ordre public », tant que vous n'enfreignez pas la loi. Notez bien que certaines paroles, qui ont pour but de nuire Ă  autrui, peuvent ĂȘtre jugĂ©es anticonstitutionnelles. Un exemple, qui est d'ailleurs souvent repris par la Cour suprĂȘme de Justice, est celui d'Oliver Wendell Holmes Junior qui, en 1919, cria Au feu ! » dans une salle de cinĂ©ma bondĂ©e. Étant donnĂ© que cette action peut entrainer un danger rĂ©el et immĂ©diat pour les personnes qui vous entourent, vous risquez d'ĂȘtre arrĂȘtĂ© si vous vous amusez Ă  le faire [5] . Il est Ă©galement important de bien comprendre que la libertĂ© d'expression ne vous protĂšge pas forcĂ©ment contre les consĂ©quences » de vos actions. Par exemple, si le prĂ©sident d'une entreprise tient publiquement des propos racistes, il n'est pas Ă  l'abri de se faire virer pour cette raison par son Conseil d'administration. La libertĂ© d'expression ne signifie pas que vos paroles seront toujours sans consĂ©quence. 3 Pratiquez votre religion librement. Les pĂšlerins qui sont venus Ă  bord du Mayflower, parmi les tout premiers habitants des États-Unis, ont fait ce voyage parce qu'ils Ă©taient Ă  la recherche d'un endroit oĂč ils pourraient exercer librement leur religion, sans crainte d'ĂȘtre harcelĂ©s ou persĂ©cutĂ©s. Aujourd'hui encore, les États-Unis ont gardĂ© cette tolĂ©rance Ă  l'Ă©gard de la religion. Les AmĂ©ricains sont libres de pratiquer n'importe quelle religion ou de ne pas en avoir du tout si tel est leur choix. Toutes les formes de croyances sont autorisĂ©es aux États-Unis et les Ă©glises officiellement reconnues sont mĂȘme dispensĂ©es de payer des impĂŽts [6] . Comme pour la libertĂ© d'expression, les AmĂ©ricains ont le droit de pratiquer la religion de leur choix, mais pas de commettre des crimes ni de mettre en danger autrui au nom de cette religion. Par exemple, si les membres d'une certaine religion dĂ©cidaient subitement, au nom de leur religion, de conduire Ă  contresens sur l'autoroute, ils se feraient bien Ă©videmment arrĂȘter pour ça. 4 Votez ! Chaque AmĂ©ricain majeur a le droit mais c'est presque un devoir de participer Ă  la vie politique de son pays en votant. L'Ăąge lĂ©gal pour voter est de 18 ans dans la plupart des Ă©tats, mais dans quelques-uns on peut voter dĂšs 17 ans [7] . Le droit de vote est l'un des droits les plus importants que possĂšdent les AmĂ©ricains. Le vote permet Ă  chaque citoyen de faire entendre sa voix concernant les dĂ©cisions gouvernementales. Avec le droit de vote, chaque citoyen a le mĂȘme pouvoir. Peu importe que quelqu'un soit riche, puissant ou influent, son vote aura le mĂȘme poids que celui d'un ouvrier qui gagne le SMIC. Il est du devoir de chaque homme amĂ©ricain de se faire recenser, notamment au niveau militaire, pour avoir le droit de voter [8] . Dans certains Ă©tats, les personnes qui ont eu des ennuis avec la justice ne peuvent pas voter, mĂȘme aprĂšs avoir effectuĂ© leur peine [9] . 5 Profitez de la chance que vous avez de pouvoir choisir votre vie. Aux États-Unis, les gens sont libres de vivre leur vie comme ils l'entendent. Les gens sont libres de choisir leurs habitudes, leurs loisirs et leurs centres d'intĂ©rĂȘt tant qu'ils ne blessent personne et qu'ils n'enfreignent pas la loi. Les gens peuvent faire ce qu'ils veulent de leur temps libre. On peut ainsi ĂȘtre banquier et jouer dans un groupe punk, faire la plonge dans un restaurant et spĂ©culer sur la bourse ou ĂȘtre Ă©lectricien et Ă©tudier l'archĂ©ologie. Chacun est libre de choisir sa voie, il n'y a pas de bonne » façon de vivre sa vie. Les AmĂ©ricains sont libres de s'associer avec qui ils veulent et de poursuivre n'importe quel but. Mais attention, les AmĂ©ricains sont libres de vivre leur vie comme ils l'entendent Ă  la seule condition de respecter la loi. Certaines activitĂ©s tout Ă  fait innocentes » dans certains pays peuvent ĂȘtre illĂ©gales aux États-Unis. Ainsi, certaines drogues sont illĂ©gales aux États-Unis alors qu'elles sont dĂ©pĂ©nalisĂ©es ou tolĂ©rĂ©es dans certains pays europĂ©ens [10] . 6 Interpelez l'opinion publique. Un aspect important de la rĂ©alisation du rĂȘve amĂ©ricain c'est la volontĂ© de se battre pour ses principes individuels. Tout au long de leur histoire, les États-Unis ont toujours mis Ă  l'honneur les fortes personnalitĂ©s capables de faire face Ă  l'opinion publique. De nombreux AmĂ©ricains sont entrĂ©s dans l'histoire pour avoir un jour osĂ© affronter l'opinion publique ou les institutions de la sociĂ©tĂ© qui Ă©taient contraires Ă  leur Ă©thique personnelle. Ainsi, quelques AmĂ©ricains cĂ©lĂšbres comme Abraham Lincoln, Rosa Parks, Cesar Chavez ou des icĂŽnes plus contemporaines comme Steve Jobs, sont entrĂ©s dans la lĂ©gende en changeant les choses grĂące Ă  leur volontĂ© d'aller Ă  contrecourant et de changer le monde. Être un individualiste signifie dĂ©fendre ses valeurs et avoir le courage d'affronter la norme imposĂ©e par la sociĂ©tĂ©, mais cela ne veut pas dire qu'il ne faut jamais accepter l'aide d'autrui. Certaines tĂąches sont difficiles, voire impossibles sans l'aide des autres. La fiertĂ© pousse parfois les gens Ă  penser qu'ils peuvent tout faire seuls dans la vie, mais c'est faux. Pour preuve, beaucoup de grosses compagnies amĂ©ricaines ont Ă©tĂ© créées grĂące Ă  des petits emprunts contractĂ©s auprĂšs de la famille, des amis ou grĂące Ă  l'appui du gouvernement. 7 Soyez novateur. L'innovation est devenue l'une des valeurs nationales prĂ©fĂ©rĂ©es des AmĂ©ricains depuis plus d'un siĂšcle et c'est encore le cas aujourd'hui. L'innovation est toujours citĂ©e en exemple, notamment par les reprĂ©sentants politiques [11] comme Ă©tant la clĂ© de la croissance continue et de la rĂ©ussite nationale. Aux États-Unis les personnes qui rĂ©ussissent Ă  innover avec succĂšs sont plus susceptibles d'arriver Ă  l'Ă©panouissement personnel, Ă  la richesse matĂ©rielle et Ă  la reconnaissance gĂ©nĂ©rale. Par exemple, quelques-uns des inventeurs les plus connus des États-Unis, comme Henry Ford, Thomas Edison et bien d'autres, sont reconnus pour avoir changĂ© le monde grĂące Ă  leur travail rĂ©volutionnaire. Cela dit, vous n'avez pas besoin d'ĂȘtre un Edison des temps modernes pour avoir une chance de vivre le rĂȘve amĂ©ricain. MĂȘme de toutes petites innovations, dans votre vie quotidienne, peuvent largement contribuer Ă  amĂ©liorer votre vie. Par exemple, en trouvant une solution pour que votre employeur gagne plus d'argent, vous pouvez ĂȘtre amenĂ© Ă  dĂ©crocher une promotion et Ă  gagner le respect de vos collĂšgues. 1 Forcez-vous Ă  vous amĂ©liorer. Tout le monde a pu remarquer que les AmĂ©ricains ont un penchant pour les autodidactes et les gens qui cherchent sans cesse Ă  s'amĂ©liorer. Personne n'est nĂ© avec les clĂ©s du succĂšs. Pour parvenir Ă  cet individualisme fort et puissant, valeur centrale du rĂȘve amĂ©ricain, il est essentiel d'avoir envie de toujours s'amĂ©liorer, en toutes circonstances. Qu'il s'agisse de dĂ©velopper une nouvelle compĂ©tence, d'apprendre une deuxiĂšme langue ou d'Ă©tudier les stratĂ©gies de la rĂ©ussite commerciale, pratiquement toutes les tentatives visant l'amĂ©lioration personnelle peuvent vous aider Ă  devenir plus fort, plus polyvalent ou plus productif. Vous trouverez ci-dessous une petite liste d'idĂ©es pour vous amĂ©liorer amĂ©liorez votre condition physique la course Ă  pied, la musculation
 apprenez les techniques de vente intĂ©ressez-vous Ă  l'histoire moderne et Ă  l'actualitĂ© pratiquez un art martial devenez douĂ© dans un loisir ou une activitĂ© crĂ©ez un groupe d'art ou de musique 2 Soyez un leadeur. Les fiers individualistes amĂ©ricains n'ont pas peur d'affronter les problĂšmes la tĂȘte haute. Si vous rĂ©agissez souvent de cette maniĂšre, cela fait de vous un leadeur, un meneur d'hommes qui prend ses responsabilitĂ©s. Avoir le courage de se porter volontaire pour des missions, importantes ou non, qui imposent de diriger peut faire toute la diffĂ©rence aux yeux des gens et vous aider Ă  gagner en reconnaissance. Une bonne façon de devenir un leadeur est de se prĂ©senter pour des Ă©lections locales. Si vous le faites, cela vous donnera une vitrine pour faire passer vos idĂ©es et, en cas de victoire, une belle opportunitĂ© d'apporter des changements qui vous tiennent Ă  cƓur. MĂȘme si vous ne gagnez pas, il suffit que votre campagne soit suffisamment mĂ©diatisĂ©e pour faire avancer le dĂ©bat et pousser ceux qui font les lois Ă  vous Ă©couter. Vous n'avez pas besoin de faire partie du gouvernement pour devenir un acteur local. Le fait de vous porter volontaire pour des Ɠuvres de charitĂ© ou des associations locales peut suffire Ă  faire de vous un leadeur aux yeux des autres. 3 Ayez une vie citoyenne bien remplie. Les États-Unis sont fondĂ©s sur le principe de la dĂ©mocratie reprĂ©sentative. Cela signifie que, plus il y a de personnes qui prennent part Ă  la vie politique en votant, plus le gouvernement sera reprĂ©sentatif de ses citoyens. C'est pour cela que tous ceux qui ont le droit de voter doivent le faire. Cependant, ce n'est pas la seule façon de participer activement Ă  la vie citoyenne de votre pays. Par exemple, les citoyens peuvent intĂ©grer un parti politique qui reprĂ©sente leurs opinions et y travailler bĂ©nĂ©volement pour diffuser leur message. Ou, s'ils se sentent particuliĂšrement concernĂ©s par une certaine cause, ils peuvent mĂȘme crĂ©er leur propre association politique. Vous trouverez ci-dessous une petite liste d'idĂ©es pour vous investir davantage dans la vie politique participez Ă  des tables rondes politiques ou Ă  des forums rejoignez ou lancez un groupe de manifestation portez-vous volontaire pour rĂ©colter des signatures pour un parti politique ou pour une cause prĂ©cise faites des dons Ă  un parti politique de votre choix 4 Grimpez les Ă©chelons de la sociĂ©tĂ©. Il n'y a rien de plus typiquement amĂ©ricain que ces histoires de succĂšs qui parlent de personnes parties de rien pour se construire une vie de richesse et de pouvoir. Peu importe que vous soyez pauvre, immigrant ou un citoyen bien installĂ©, tout le monde peut se faire un nom aux États-Unis tant qu'il a envie de travailler dur, de se montrer crĂ©atif et de se battre pour ses valeurs personnelles. Bien sĂ»r, il est mathĂ©matiquement impossible que chacun devienne incroyablement riche et cĂ©lĂšbre, mais tout le monde peut espĂ©rer finir sa carriĂšre Ă  un rang social plus Ă©levĂ© qu'au commencement et se faire un nom en devenant un acteur important de la vie locale. Si vous grimpez les Ă©chelons de la sociĂ©tĂ©, ne vous sentez jamais intimidĂ©s par la perspective de cĂŽtoyer des personnes issues de sphĂšres sociales plus Ă©levĂ©es que la vĂŽtre. Aux États-Unis, plus qu'ailleurs, le destin d'une personne n'est pas dĂ©terminĂ© par sa naissance, mais bien par sa volontĂ© et ses compĂ©tences. Si vous parvenez Ă  vous Ă©lever jusqu'Ă  un certain niveau social, vous pourrez lĂ©gitimement vous considĂ©rer comme Ă©gaux avec ceux qui sont nĂ©s dans l'aisance et les privilĂšges. 5 Inspirez-vous des plus grands exemples de succĂšs amĂ©ricain. Poursuivre le rĂȘve amĂ©ricain n'est pas simple. Comme cela a Ă©tĂ© expliquĂ© prĂ©cĂ©demment, chercher Ă  amĂ©liorer sa condition tout en menant sa vie d'individu libre et indĂ©pendant nĂ©cessite du travail et des efforts personnels. Si vous avez parfois du mal Ă  trouver l'Ă©nergie de vous battre pour votre rĂȘve, regardez ces grandes icĂŽnes amĂ©ricaines qui ont connu le succĂšs et vous vous sentirez remotivĂ©s. Beaucoup de ces hĂ©ros de la vraie vie ont rĂ©ussi Ă  se construire une vie influente en ne partant de rien ou Ă  se battre contre la sociĂ©tĂ© de l'Ă©poque pour amĂ©liorer leur pays voire le monde. Vous en trouverez quelques exemples ci-dessous. Andrew Carnegie pauvre immigrant Ă©cossais, Carnegie a commencĂ© sa carriĂšre comme porteur de bobines dans une manufacture avant de devenir l'un des industriels les plus importants et les plus puissants du monde [12] . Susan B. Anthony en se battant sans relĂąche pour promouvoir le droit de vote des femmes, en allant mĂȘme jusqu'Ă  se faire arrĂȘter, Anthony a largement contribuĂ© Ă  l'obtention du droit de vote pour les femmes aux USA [13] . Jawed Karim cet immigrant, surtout connu pour ĂȘtre le cofondateur de YouTube, a participĂ© Ă  la crĂ©ation du site de paiement en ligne PayPal. Jay Z nĂ© Shawn Carter, cette icĂŽne de la musique amĂ©ricaine s'est Ă©levĂ©e d'une vie de crime et de pauvretĂ© pour devenir l'une des personnalitĂ©s les plus riches et les plus puissantes de l'industrie musicale. Conseils N'ayez pas peur de prendre un risque mesurĂ©. Les États-Unis ont de bons filets de sĂ©curitĂ©, aussi bien dans le public que dans le privĂ©. Ne vous laissez pas submerger par les dĂ©penses. Avec deux salaires relativement corrects, mĂȘme une maison Ă  700 000 € peut ĂȘtre remboursĂ©e le temps que vous finissiez votre carriĂšre. Tirez profit du systĂšme Ă©ducatif des Ă©coles publiques. Vivez selon vos moyens. Courrez aprĂšs des objectifs rĂ©alisables. Si vous voulez devenir le prochain Bill Gates, vous avez intĂ©rĂȘt Ă  vous y connaitre en informatique. Si vous voulez creuser des tranchĂ©es
 Vous avez compris le principe. Avertissements Vous avez le droit de courir aprĂšs le bonheur, il n'y a juste aucune garantie ! Le cauchemar amĂ©ricain est tout proche du rĂȘve amĂ©ricain. Faites trĂšs attention aux conseils que vous dĂ©cidez de suivre. Un mauvais conseil peut vous conduire sur la mauvaise voie. N'Ă©coutez les conseils sur la vie de couple que s'ils viennent de couples heureux en mariage. N'Ă©coutez les conseils financiers que s'ils viennent de gens qui savent gĂ©rer leur budget et qui ont rĂ©ussi, pas de ceux qui sont criblĂ©s de dettes. Le stress, la dĂ©pression et toute autre forme de burnout » professionnel peuvent vous stopper dans votre quĂȘte et mettre en danger votre couple. Faites attention aux symptĂŽmes annonciateurs et n'hĂ©sitez pas Ă  consulter un professionnel si vous en ressentez le besoin. À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 38 212 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?

EtatsUnis : le rĂȘve n’est qu’un cauchemar. En parcourant la presse1 depuis le mois de mai 2009, nombre de faits et chiffres peuvent ĂȘtre collationnĂ©s qui rĂ©vĂšlent, au-delĂ  de la bien-pensance libĂ©rale, la rĂ©alitĂ© du cauchemar Ă©tats-unien. Les rutilantes images tĂ©lĂ©visuelles de l’AmĂ©rique sont l’arbre qui cache la forĂȘt de l’extrĂȘme fragilitĂ© de cette sociĂ©tĂ©, y

Sidonie et GĂ©dĂ©on est notre guide participatif en ligne, car on a une bonne bande d’amis qui y contribuent Ă  prĂ©sent, qui est dĂ©diĂ© au lifestyle des hommes et femmes tendance. En plus de nos comptes Insta, sur notre site internet il vous sera possible de lire nos nombreux articles sur pleins de sujets qui nous intĂ©ressent sur la mode et les tendances actuelles. Vous en trouverez par exemple sur les motos qui nous permettent de nous dĂ©placer suivants nos envies, sur le matĂ©riel high tech qu’on utilise pendant nos pĂ©riples en mode nomade digital, mais aussi sur nos voyages ou vĂȘtements 

INFOGRAPHIE- Confectionner un repas selon ses besoins, éviter le gaspillage, nourrir la planÚte entiÚre, restaurer les astronautes Voici les savoureuses promesses, ou pas, des imprimantes
1 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous 2 tu te poses beaucoup de question toi en ce moment 3 tu te poses beaucoup de question toi en ce moment c'est vrai et bizarement c'est mon dernier sujet espĂ©ros que se soit le bon ! 4 c'est vrai et bizarement c'est mon dernier sujet espĂ©ros que se soit le bon ! Ah tu avais fais une liste?? 5 Ah tu avais fais une liste?? nen pas tu tout, pour qui me prenait vous je vide simplement mon esprit pour echanger 6 TrĂšs bien, et toi tu penses quoi? Tu penses devoir quitter la France un jour? Pourquoi les Etats Unis? 7 TrĂšs bien, et toi tu penses quoi? Tu penses devoir quitter la France un jour? Pourquoi les Etats Unis? salam HonnĂȘtement les Etat Unis pour plusieurs rasisons Le travail La vie en couple 8 salam HonnĂȘtement les Etat Unis pour plusieurs rasisons Le travail La vie en couple la vie en couple, ici c'est pas possible ?? 9 la vie en couple, ici c'est pas possible ?? si t'arrives Ă  lui soutirer son Ăąge prĂ©viens mois 10 si t'arrives Ă  lui soutirer son Ăąge prĂ©viens mois merci pour moi....................................... 11 si t'arrives Ă  lui soutirer son Ăąge prĂ©viens mois J'avoue que je reste perplexe 12 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous pas interessĂ© perso. Businesser avec eux pourquoi pas mais m' y installer non merci, ceci dis pourquoi si une personne qui souhaite y aller deux ou trois ans pour parfaire son anglais. 13 c'Ă©tait pour la vie de couple vous ĂȘtes nases les filles waRm Use with caution 14 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous pas spĂ©cialement et toi? 15 pas interessĂ© perso. Businesser avec eux pourquoi pas mais m' y installer non merci, ceci dis pourquoi si une personne qui souhaite y aller deux ou trois ans pour parfaire son anglais. salam Si t"as une bone place lĂ  bas que tu rencontres des gens super gentil et si y'a moyen de faire ta vie ! t'abandonne moi je trouve les americans plus croyant que les français de souche y'a mĂȘme des enquĂȘtes qui le dĂ©montre 16 salam moi si , les magrhĂ©bins rĂ©ussisent deux fois la bas qu'en France...elles ne sont pas dans la marginalitĂ© ni dans les prisons elles sont intĂ©grĂ© socialement tout en pratiquant waRm Use with caution 17 salam Si t"as une bone place lĂ  bas que tu rencontres des gens super gentil et si y'a moyen de faire ta vie ! t'abandonne moi je trouve les americans plus croyant que les français de souche y'a mĂȘme des enquĂȘtes qui le dĂ©montre et? ... si le but est de trouver des croyants, t'es pas obligĂ© d'aller jusque labas, les espagnols sont plus "croyants" comme tu dis... mais bon jcomprends pas cette logique en meme temps 18 c'Ă©tait pour la vie de couple vous ĂȘtes nases les filles salam les hommes en France que j'ai croisĂ© y'a du boulot 19 salam Si t"as une bone place lĂ  bas que tu rencontres des gens super gentil et si y'a moyen de faire ta vie ! t'abandonne moi je trouve les americans plus croyant que les français de souche y'a mĂȘme des enquĂȘtes qui le dĂ©montre J'ai un paquet d'amis qui vivent sur New York, je vois comment ils vivent et franchement ca ne me donne pas vraiment envie de faire de meme. Meme avec un tres bon salaire la vie y est hors de prix. Dans d'autres villes je sais pas. De toute façon je ne me vois pas faire ma vie dans un pays loin aussi loin de la famille, j'ai tentĂ© le Canada, au bout d'un moment j'en ai eu marre et j'ai lachĂ© l'affaire. Je suis d'ailleurs sur le point de perdre mon statut de resident permanent. . waRm Use with caution 20 salam moi si , les magrhĂ©bins rĂ©ussisent deux fois la bas qu'en France...elles ne sont pas dans la marginalitĂ© ni dans les prisons elles sont intĂ©grĂ© socialement tout en pratiquant arrete de nous mettre tous dans le meme sac cest super dĂ©gradant et saoulant aussi genre les maghrebins sont des taulards cest ca? jcritique pas les USA, au contraire, mais tu compares l'incomparable tu peux pas comparer les maghrebins vivant ici en france et ceux de labas... si tu veux prendre une population comparable au maghrebins de France, il faudrait que tu prennes par ex les latinos, allez dis moi sont ils bien lotis? peut etre que oui, ou non voila il faut juste prendre la bonne population cest Ă  dire celle qui quantativement colle bien pour l'angleterre ca serait les indo-pakistanais jsais pas si jai Ă©tĂ© claire autrement bonne chance si tu vas au ztazuni 21 j'aimerais bien un jour visiter ce pays ,mais pas plus!!!je prefere plutot garder ma bonne sante et un peu plus d'argent rakoum 3arfin waRm Use with caution 22 j'aimerais bien un jour visiter ce pays ,mais pas plus!!!je prefere plutot garder ma bonne sante et un peu plus d'argent rakoum 3arfin pour les usa jsais pas trop meme si jai eu des Ă©chos, mais par exemple l'angleterre que je connais un peu, le systeme de santĂ© n'est pas top il suffit de voir ce qui se passe en ce moment meme avec les dentistes, des gens qui nont pas les moyens de se faire soigner et qui s'arrachent les dents seuls , chose qu'on ne verra pas en France bon aprĂšs pour le taf vaut mieux bouger peut etre, jsais pas trop 23 J'ai un paquet d'amis qui vivent sur New York, je vois comment ils vivent et franchement ca ne me donne pas vraiment envie de faire de meme. Meme avec un tres bon salaire la vie y est hors de prix. Dans d'autres villes je sais pas. De toute façon je ne me vois pas faire ma vie dans un pays loin aussi loin de la famille, j'ai tentĂ© le Canada, au bout d'un moment j'en ai eu marre et j'ai lachĂ© l'affaire. Je suis d'ailleurs sur le point de perdre mon statut de resident permanent. . SALAM Tu m'en apprends une chose ca reste ton choix s'Ă©tait juste une opinion et c'st vrai que la famille y est pour beaucoup c'est dure pour la mĂšre et vice versa waRm Use with caution 24 SALAM Tu m'en apprends une chose ca reste ton choix s'Ă©tait juste une opinion et c'st vrai que la famille y est pour beaucoup c'est dure pour la mĂšre et vice versa nan mais vas y, au moins en touriste, pour en savoir un peu plus aussi 25 SALAM Tu m'en apprends une chose ca reste ton choix s'Ă©tait juste une opinion et c'st vrai que la famille y est pour beaucoup c'est dure pour la mĂšre et vice versa C'est clair que c'est dur pour la mother. Perso j'avais mauvaise conscience chaque fois que je lui parlais au telephone. La plupart des gens qui vivent en amerique du nord ne peuvent pas se permettre d'aller tous les ans en europe ou au Maroc pour voir leur famille. Du coup c'est souvent un voyage tous les 2, 3 voir 4 ans. Je me souviens qu'une des raisons qui m'avait poussĂ© a ne plus repartir c'est quand j'avais vu mon pere a l'aeroport, en le voyant j'ai ete choquĂ© de me rendre compte qu'il avait vieilli. J'etais franchement pas pret a vivre ca a chaque fois Maintenant je suis au Maroc, 90 euros et deux heures de vol plus tard et me voila sur paris, ca change tout 26 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous ahhhhhhhhhh le reve amĂ©ricain???? je pense que bcp y on rĂ©ver ou y reve encore. en ce qui me concerne j'y ai rĂ©vĂ© mais vivre la-bas tout ce qui me faut ici hamdoullilah. mon reve serai plutot finir inchallah au bled AncienMembre 27 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous rĂȘver d'y vivre ......non d'y aller......oui et encore les usa ne sont pas en pĂŽle position dans la liste des pays que je rĂȘve de visiter..le 1er, l'indĂ©trĂŽnable...........les seychelles..... 28 VOUS REVEZ TOUS AUX ETATS UNIS ALLEZ ESSAYEZ 15JOURS OMPTE BIEN GARNIS VAUT MIEUX Ce n'est pas la France et ses droits de salariĂ©s, tu bosses ou tu crĂšves il y'en a qui ont 4 emplois....12 h / J et il ne joignent pas les deux bouts. 29 J'ai un paquet d'amis qui vivent sur New York, je vois comment ils vivent et franchement ca ne me donne pas vraiment envie de faire de meme. Forget NYC, c'est pas seulement trop cher, les gens la ont aussi des manieres assez rudes. Je prefere de loin ma petite ville dans les Rockies au sud de Denver des voisins et collegues super sympas, cout de vie tres abordable beaucoup moins eleve qu'en Europe, et en plus une coulisse de paysages superbes! Il faut savoir choisir et avoir la chance de trouver du boulot la ou on veut aller sa region aux Etats Unis... 30 AVOIR SON LOGEMENT SEUL... il ne faut pas rĂȘver non plus 31 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous j'ai de la famille aux states, et franchement c'est pas toujours la joie. si tu possĂšdes un bon revenu certes aucun problĂšme. mais si tu viens Ă  manquer, la belle chansonnette peut virer au cauchemar. 32 AVOIR SON LOGEMENT SEUL... il ne faut pas rĂȘver non plus non c'est pas un reve ca existe,tu sais 33 j'ai de la famille aux states, et franchement c'est pas toujours la joie. si tu possĂšdes un bon revenu certes aucun problĂšme. mais si tu viens Ă  manquer, la belle chansonnette peut virer au cauchemar. Et c'est la mm chose dans le monde entier ....non??? 34 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous moi j'ai deux choix soit j'ai la possibilite de travailler aux Usa visa et auquel cas je vais vivre la bas sinon je rentre au maroc apres une petite experience en France 35 VOUS REVEZ TOUS AUX ETATS UNIS ALLEZ ESSAYEZ 15JOURS OMPTE BIEN GARNIS VAUT MIEUX Ce n'est pas la France et ses droits de salariĂ©s, tu bosses ou tu crĂšves il y'en a qui ont 4 emplois....12 h / J et il ne joignent pas les deux bouts. Il faut pas exagerer quand meme
VWdV.
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