l'inopposabilité de la résolution de l'assemblée du 14 juin 2006, - le caractÚre nul et non écrit de la résolution de l'assemblée du 14 juin 2006 au regard des dispositions des articles 43, 8 et 9 de la Loi du 10 juillet 1965 en ce qu'elle correspond à une nouvelle disposition du rÚglement de copropriété qu'elle avait pour objet de
Autour de l'article 323Commentaires 48DĂ©cisions 268Documents parlementaires 7Une seule plateforme, toute l'information juridique conclusions du rapporteur public, documents parlementaires, codes, lois, rĂšglements, rĂ©ponses ministĂ©rielles, sources tierces de doctrine
 AccĂ©dez Ă  tout ce qui compte pour consolider votre analyse juridique. Dites adieu aux doutes, bonjour aux certitudes. Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965EntrĂ©e en vigueur le 25 novembre 2018Sont communes les parties des bĂątiments et des terrains affectĂ©es Ă  l'usage ou Ă  l'utilitĂ© de tous les copropriĂ©taires ou de plusieurs d'entre eux. Dans le silence ou la contradiction des titres, sont rĂ©putĂ©es parties communes - le sol, les cours, les parcs et jardins, les voies d'accĂšs ; - le gros oeuvre des bĂątiments, les Ă©lĂ©ments d'Ă©quipement commun, y compris les parties de canalisations y affĂ©rentes qui traversent des locaux privatifs ; - les coffres, gaines et tĂȘtes de cheminĂ©es ; - les locaux des services communs ; - les passages et corridors ; -tout Ă©lĂ©ment incorporĂ© dans les parties communes. Sont rĂ©putĂ©s droits accessoires aux parties communes dans le silence ou la contradiction des titres - le droit de surĂ©lever un bĂątiment affectĂ© Ă  l'usage commun ou comportant plusieurs locaux qui constituent des parties privatives diffĂ©rentes, ou d'en affouiller le sol ; - le droit d'Ă©difier des bĂątiments nouveaux dans des cours, parcs ou jardins constituant des parties communes ; - le droit d'affouiller de tels cours, parcs ou jardins ; - le droit de mitoyennetĂ© affĂ©rent aux parties communes ; -le droit d'affichage sur les parties communes ;-le droit de construire affĂ©rent aux parties les versionsEntrĂ©e en vigueur le 25 novembre 20181 texte cite l'articleVoir les commentaires indexĂ©s sur Doctrine qui citent cet articleVous avez dĂ©jĂ  un compte ?2. Cour de cassation, TroisiĂšme chambre civile, 11 juillet 2019, n° Vu l'article 700 du code de procĂ©dure civile, rejette la demande de M me N
 et de la sociĂ©tĂ© PoseĂŻdon ; les condamne Ă  payer au syndicat des copropriĂ©taires de l'immeuble [
] la somme globale de 3 000 euros ; [
] ALORS QUE, premiĂšrement, le tuyau d'Ă©vent de la canalisation et des caves, selon l'arrĂȘt attaquĂ©, constitue une partie commune p. 4, § 3 ; que l'injonction adressĂ©e Ă  la SCI POSEIDON a pour objet la restitution de cet Ă©quipement ; qu'en l'Ă©tat de ces constatations, il Ă©tait enjoint Ă  la propriĂ©taire d'intervenir sur un Ă©quipement commun et d'en modifier la configuration ; que la dĂ©libĂ©ration Ă©tait dĂšs lors illĂ©gale ; qu'en jugeant le contraire, les juges du fond ont violĂ© les articles 3, 10, 14 et 14-1 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 ; Lire la suite
TuyauGazChaudiĂšreRĂ©solutionCanalisationPartie communeVentilationAssemblĂ©e gĂ©nĂ©raleNorme de sĂ©curitĂ©Syndic3. Tribunal de grande instance de Grasse, 2e chambre civile, construction, 24 novembre 2017, n° 12/06140[
] Par acte d'huissier de Justice en date du 20 aoĂ»t 2009, la SCI MIFRE saisissait le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du Tribunal de grande instance de A d'une demande de condamnation Ă  effectuer des travaux d'Ă©tanchĂ©itĂ© sous astreinte ainsi que d'une demande d'expertise. Par ordonnance en date du 3 fĂ©vrier 2010, ce magistrat rejetait la demande de condamnation Ă  effectuer des travaux et ordonnait une expertise gĂ©nĂ©rale confiĂ©e Ă  Monsieur H B, lequel dĂ©posera son rapport le 5 mai 2011. Lire la suite
Syndicat de copropriĂ©tairesSinistreExpertisePluiePartie communePrĂ©judice esthĂ©tiqueRĂ©sidencePeintureCommuneAssemblĂ©e gĂ©nĂ©raleVoir les dĂ©cisions indexĂ©es sur Doctrine qui citent cet articleVous avez dĂ©jĂ  un compte ?Comme le relĂšve l'Ă©tude d'impact, "se fondant sur l'article 3 de la loi du 10 juillet 1965, la jurisprudence dĂ©finit le droit de construire affĂ©rent aux parties communes comme un droit accessoire aux parties communes », dont le transfert Ă  un membre du syndicat des copropriĂ©taires suppose que soit rĂ©unie la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires reprĂ©sentant au moins les deux tiers des voix ». Le prĂ©sent amendement propose de consacrer dans la loi cette jurisprudence et de prĂ©ciser que le droit d'affichage a le caractĂšre d'un droit accessoire aux parties communes ce qui mettra 
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L'article 3 de la loi de 1965 prĂ©citĂ©e prĂ©cise que sont des parties communes les parties des bĂątiments et des terrains affectĂ©es Ă  l'usage ou Ă  l'utilitĂ© de tous les copropriĂ©taires ou de plusieurs d'entre eux. Dans le silence ou la contradiction des titres, sont rĂ©putĂ©es parties communes - le sol, les cours, les parcs et jardins, les voies d'accĂšs ; - le gros oeuvre des bĂątiments, les Ă©lĂ©ments d'Ă©quipement commun, y compris les parties de canalisations y affĂ©rentes qui traversent des locaux privatifs ; - les coffres, gaines et tĂȘtes de cheminĂ©es ; - les locaux des services communs ; - 
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Mme Dominique Estrosi Sassone, sĂ©nateur, rapporteur pour le SĂ©nat. - La proposition commune de rĂ©daction n° 246 amĂ©liore la rĂ©daction de l'article 59 bis F, adoptĂ© par le SĂ©nat, qui a notamment pour objet de complĂ©ter la liste de l'article 3 de la loi du 10 juillet 1965 afin d'Ă©tendre la prĂ©somption de partie commune au droit d'affichage. La proposition n° 246 est adoptĂ©e. La commission mixte paritaire adopte l'article 59 bis F dans la rĂ©daction issue de ses la suite
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LesAG de copropriété statuent à trois niveaux de majorité : la majorité simple (article 24), la majorité absolue (article 25) et la double majorité ou majorité renforcée (article 26). Les rÚgles de votes et de décompte en AG selon la loi du 10 juillet 1965.
L'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires, statuant Ă  la majoritĂ© prĂ©vue Ă  l'article 25, peut, Ă  condition qu'elle soit conforme Ă  la destination de l'immeuble, dĂ©cider toute amĂ©lioration, telle que la transformation d'un ou de plusieurs Ă©lĂ©ments d'Ă©quipement existants, l'adjonction d'Ă©lĂ©ments nouveaux, l'amĂ©nagement de locaux affectĂ©s Ă  l'usage commun ou la crĂ©ation de tels locaux. Elle fixe alors, Ă  la mĂȘme majoritĂ©, la rĂ©partition du coĂ»t des travaux et de la charge des indemnitĂ©s prĂ©vues Ă  l'article 36 ci-aprĂšs, en proportion des avantages qui rĂ©sulteront des travaux envisagĂ©s pour chacun des copropriĂ©taires, sauf Ă  tenir compte de l'accord de certains d'entre eux pour supporter une part de dĂ©penses plus Ă©levĂ©e. Elle fixe, Ă  la mĂȘme majoritĂ©, la rĂ©partition des dĂ©penses de fonctionnement, d'entretien et de remplacement des parties communes ou des Ă©lĂ©ments transformĂ©s ou créés. Lorsque l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale refuse l'autorisation prĂ©vue Ă  l'article 25 b, tout copropriĂ©taire ou groupe de copropriĂ©taires peut ĂȘtre autorisĂ© par le tribunal judiciaire Ă  exĂ©cuter, aux conditions fixĂ©es par le tribunal, tous travaux d'amĂ©lioration visĂ©s Ă  l'alinĂ©a 1er ci-dessus ; le tribunal fixe en outre les conditions dans lesquelles les autres copropriĂ©taires pourront utiliser les installations ainsi rĂ©alisĂ©es. Lorsqu'il est possible d'en rĂ©server l'usage Ă  ceux des copropriĂ©taires qui les ont exĂ©cutĂ©es, les autres copropriĂ©taires ne pourront ĂȘtre autorisĂ©s Ă  les utiliser qu'en versant leur quote-part du coĂ»t de ces installations, Ă©valuĂ© Ă  la date oĂč cette facultĂ© est Ă  l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.
2 La ou les conventions prĂ©vues Ă  l'article 37 de la loi du 10 Juillet 1965 et relatives Ă  l’exercice de l'un des droits accessoires aux parties communes. Source : droits rĂ©servĂ©s de reproduction et rĂ©utilisation des donnĂ©es DĂ©cret n° 67-223 du 17 mars 1967 Mise Ă  jour le 14/08/2012 Article 3 Les rĂšglements, Ă©tats et conventions Ă©numĂ©rĂ©s aux articles
En modifiant la rĂ©daction des articles 25-1 et 26-1, l’Ordonnance du 30 octobre 2019 vise Ă  faciliter la prise de dĂ©cision en AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale et Ă  rĂ©pondre Ă  plusieurs Ă©cueils qui avaient Ă©tĂ© constatĂ©s selon l’ancien mĂ©canisme. Pour mieux comprendre, il convient de faire un bref rappel historique. Quelle passerelle avant la loi ELAN ? Dans sa rĂ©daction initiale, le dernier alinĂ©a de l’article 25 prĂ©voyait que lorsque l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale ne parvenait pas Ă  obtenir la majoritĂ© de l’article 25, une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale devait se tenir et statuer Ă  la majoritĂ© de l’article 24. Pour que cette assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale puisse ĂȘtre valablement convoquĂ©e, il Ă©tait nĂ©cessaire qu’un vote ait eu lieu lors de la premiĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale et que le ProcĂšs-verbal de cette premiĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale constate que la majoritĂ© de l’article 25 n’a pu ĂȘtre acquise. Lors de cette nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, la dĂ©cision Ă©tait soit votĂ©e Ă  la majoritĂ© de l’article 24, soit Ă  la majoritĂ© des voix des copropriĂ©taires prĂ©sents et reprĂ©sentĂ©s. Cette nĂ©cessitĂ© de convoquer deux assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales successives prĂ©sentait nĂ©anmoins plusieurs inconvĂ©nients. D’une part, le risque que le mandat du syndic arrive Ă  son terme avant mĂȘme la convocation de la seconde assemblĂ©e. D’autre part, l’incohĂ©rence d’avoir Ă  convoquer deux assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales successives pour se prononcer sur les mĂȘmes questions, ce qui est souvent ressenti comme un passage en force et engendre des frais supplĂ©mentaires. Afin de rĂ©soudre ces problĂšmes, la loi SRU du 13 dĂ©cembre 2 000 a créé l’article 25-1 qui vient pour la premiĂšre fois donner la facultĂ© de voter Ă  nouveau sur une mĂȘme question au cours d’une mĂȘme assemblĂ©e. L’article 25-1 alinĂ©a 1, dans sa rĂ©daction issue de la loi SRU, est ainsi rĂ©digĂ© comme suit Lorsque l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires n’a pas dĂ©cidĂ© Ă  la majoritĂ© de l’article prĂ©cĂ©dent mais que le projet a recueilli au moins le tiers des voix de tous les copropriĂ©taires composant le syndicat, la mĂȘme assemblĂ©e peut dĂ©cider Ă  la majoritĂ© prĂ©vue Ă  l’article 24 en procĂ©dant immĂ©diatement Ă  un second vote ». Les copropriĂ©taires disposaient alors du choix entre voter immĂ©diatement ou voter Ă  une prochaine assemblĂ©e devant se tenir dans les 3 mois de la prĂ©cĂ©dente. NĂ©anmoins, cette rĂ©daction contenait elle-mĂȘme une ambiguĂŻtĂ© dans la mesure oĂč, faisant uniquement rĂ©fĂ©rence Ă  la majoritĂ© de l’article prĂ©cĂ©dent », lorsqu’un autre texte Ă©voquait la majoritĂ© de l’article 25 » sans faire mention de l’article 25-1, cette passerelle semblait ne pas trouver Ă  s’appliquer. Par ailleurs, la loi ALUR du 24 mars 2014 est venue exclure du champ d’application de l’article 25-1 les dĂ©cisions mentionnĂ©es aux n et o de l’article 25. Dans ces circonstances, l’Ordonnance du 30 octobre 2019 a permis d’éclaircir et d’élargir le champ d’application des passerelles de l’article 25-1 et 26-1. Quelles sont les conditions et le champ d’application de ces articles 25-1 et 26-1 ? La passerelle de l’article 25-1. L’article 25-1 dans sa rĂ©daction issue de l’ordonnance du 30 octobre 2019 dispose Lorsque l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires n’a pas dĂ©cidĂ© Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires, en application de l’article 25 ou d’une autre disposition, mais que le projet a recueilli au moins le tiers de ces voix, la mĂȘme assemblĂ©e se prononce Ă  la majoritĂ© prĂ©vue Ă  l’article 24 en procĂ©dant immĂ©diatement Ă  un second vote ». Comme dans sa rĂ©daction antĂ©rieure, cet article 25-1 permet, lorsqu’un vote est soumis Ă  la majoritĂ© des voix et qu’il atteint au moins le tiers de ces voix, de procĂ©der immĂ©diatement Ă  un nouveau vote Ă  la majoritĂ© de l’article 24. NĂ©anmoins, cette nouvelle rĂ©daction vient Ă©largir le champ d’application de l’article 25-1 puisqu’il s’applique dĂ©sormais A toutes les dispositions qui se votent Ă  la majoritĂ© de l’article 25. L’exclusion prĂ©vue par la loi ALUR est supprimĂ©e puisque l’article 25-1 est dĂ©sormais applicable Ă  toutes les dispositions qui se votent Ă  la majoritĂ© de l’article 25, et, notamment les travaux d’amĂ©lioration, la demande d’individualisation des contrats de fourniture d’eau et la rĂ©alisation des Ă©tudes et travaux nĂ©cessaires Ă  cette individualisation articles 25 n et o. Tout autre texte qui prĂ©voit le vote Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires. Cette nouvelle rĂ©daction met fin Ă  l’ambiguĂŻtĂ© créée par la loi SRU. Toute dĂ©cision votĂ©e Ă  la majoritĂ© des voix » peut donner lieu Ă  un second vote Ă  la majoritĂ© de l’article 24, sans qu’il ne soit fait rĂ©fĂ©rence dans le texte Ă  l’article 25-1. Cette passerelle est dĂ©sormais applicable Ă  de nombreux articles imposant un vote Ă  la majoritĂ© des voix, et notamment la crĂ©ation d’un syndicat secondaire article 27 ou une opĂ©ration de scission article 28 ». Il est prĂ©cisĂ© que ce second vote immĂ©diat n’est plus facultatif, comme il pouvait l’ĂȘtre sous l’empire de la loi SRU, mais devient une obligation lĂ©gale. Par ailleurs, si la dĂ©cision n’obtient pas le tiers des voix de l’ensemble des copropriĂ©taires, il n’est plus possible d’organiser une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale statuant Ă  la majoritĂ© de l’article 24. La dĂ©cision devra alors faire l’objet d’un nouveau vote Ă  la majoritĂ© des voix. Cette situation est trĂšs problĂ©matique lorsque la dĂ©signation du syndic ne recueille pas le tiers des voix. Dans ce cas, on risque une situation de "vacance" de syndic. La passerelle de l’article 26-1. Nonobstant toute disposition contraire, lorsque l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale n’a pas dĂ©cidĂ© Ă  la majoritĂ© prĂ©vue au premier alinĂ©a de l’article 26 mais que le projet a au moins recueilli l’approbation de la moitiĂ© des membres du syndicat des copropriĂ©taires prĂ©sents, reprĂ©sentĂ©s ou ayant votĂ© par correspondance, reprĂ©sentant au moins le tiers des voix de tous les copropriĂ©taires, la mĂȘme assemblĂ©e se prononce Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires en procĂ©dant immĂ©diatement Ă  un second vote ». La passerelle de l’article 26-1, dont les dispositions sont d’ordre public, suppose la rĂ©union de deux conditions L’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale n’a pas obtenu la majoritĂ© de l’article 26, c’est-Ă -dire la majoritĂ© des membres du syndicat reprĂ©sentant au moins les deux tiers des voix, Le projet a recueilli l’approbation de la moitiĂ© des copropriĂ©taires prĂ©sents, reprĂ©sentĂ©s ou ayant votĂ© par correspondance, reprĂ©sentant le tiers des voix de tous les copropriĂ©taires ; Une double majoritĂ© est ainsi nĂ©cessaire pour que soit autorisĂ© le deuxiĂšme vote Ă  la majoritĂ© des voix, Ă  savoir une majoritĂ© en nombre de copropriĂ©taires prĂ©sents et une majoritĂ© par tantiĂšme, que les membres prĂ©sents Ă  l’assemblĂ©e reprĂ©sentent au moins le tiers des voix des personnes ayant participĂ© au vote. Exemple Une copropriĂ©tĂ© de 100 membres et 1 000/1 000Ăšmes. 60 copropriĂ©taires prĂ©sents, reprĂ©sentĂ©s ou ayant votĂ© par correspondance, 40 copropriĂ©taires votent pour » reprĂ©sentant 400/1 000Ăšmes, Second vote immĂ©diat Ă  la majoritĂ© de l’article 25. En l’occurrence, la rĂ©solution ne serait dans ce cas pas adoptĂ©e puisque la majoritĂ© absolue de l’article 25 n’aurait pas Ă©tĂ© atteinte lors de deuxiĂšme vote. Comme pour la passerelle de l’article 25-1 le procĂšs-verbal doit mentionner impĂ©rativement l’existence des deux votes et leurs rĂ©sultats, sous peine de nullitĂ© de la rĂ©solution adoptĂ©e. Quelles sont les difficultĂ©s pratiques ? Tel qu’illustrĂ© dans l’exemple exposĂ© plus haut, la passerelle de l’article 26-1 risque de perdre de son intĂ©rĂȘt dĂšs lors qu’elle permet un second vote Ă  la majoritĂ© de l’article 25, majoritĂ© des copropriĂ©taires prĂ©sents ou non, laquelle est elle-mĂȘme difficile Ă  obtenir. Dans ces conditions, il pourrait ĂȘtre tentant pour les copropriĂ©taires d’un immeuble de passer de la passerelle de l’article 26-1 Ă  celle de l’article 25-1, permettant, in fine, de faire passer la rĂ©solution Ă  la majoritĂ© de l’article 24. Cette solution ne semble nĂ©anmoins pas ĂȘtre envisageable. A cet Ă©gard, et avec un brin d’humour, le professeur Hugues PĂ©rinet-Marquet a indiquĂ© lors du colloque de la CNEC que, si en seconde lecture, la majoritĂ© 25 n’est pas obtenue, il ne serait pas possible de passer façon tarzan » d’une passerelle Ă  une autre pour finir Ă  la majoritĂ© de l’article 24 il s’agit d’un second vote » et non d’un deuxiĂšme vote. A ce titre, l’article article 19 du dĂ©cret de 1967 modifiĂ© par le dĂ©cret du 2 juillet 2020 prĂ©voit que Pour l’application des articles 25-1 et 26-1 de la loi du 10 juillet 1965, lorsque l’assemblĂ©e est appelĂ©e Ă  approuver un contrat, un devis ou un marchĂ© mettant en concurrence plusieurs candidats, elle ne peut procĂ©der au second vote prĂ©vu Ă  ces articles qu’aprĂšs avoir votĂ© sur chacune des candidatures Ă  la majoritĂ© applicable au premier vote ». Ces passerelles visent Ă  faciliter le vote de certaines rĂ©solutions qui font parfois l’objet de blocage. A ce titre, l’Ordonnance du 30 octobre nous parait heureuse. NĂ©anmoins, ces passerelles peuvent donner lieu Ă  certaines dĂ©rives, notamment le risque que certains copropriĂ©taires aux revenus les plus faibles se voient imposer des dĂ©cisions coĂ»teuses Ă  une majoritĂ© plus faible, par exemple des travaux d’amĂ©lioration, une scission ou une surĂ©lĂ©vation etc. Une particuliĂšre attention doit donc ĂȘtre apportĂ©e par les copropriĂ©taires et les professionnels de la copropriĂ©tĂ© pour s’assurer de ne pas glisser dans cette dĂ©rive. En tant que syndic Ne pas oublier de soumettre les rĂ©solutions qui n’obtiendraient pas la majoritĂ© Ă  un second vote, ces passerelles n’étant plus facultatives mais lĂ©gales. S’assurer du bon respect des conditions de mises en Ɠuvre de ces passerelles et ne pas tomber dans le piĂšge de la passerelle sur passerelle. En tant que copropriĂ©taire Rester vigilant afin d’éviter que certaines rĂ©solutions potentiellement coĂ»teuses vous soient imposĂ©es.
dela loi. Codification. Rapports annuels de la Commission supĂ©rieure de codification; Tables de concordance; LĂ©gislatif et rĂ©glementaire. Dossiers lĂ©gislatifs; Etudes d'impact des lois; Les avis du Conseil d'État rendus sur les projets de loi; Application des lois; Fiches d'impact des ordonnances, dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s; Statistiques de la

ASSOCIATION SOUPIR STATUTS ARTICLE 1 - CONSTITUTION ET DENOMINATION Il est fondĂ© entre les adhĂ©rents aux prĂ©sents statuts une association rĂ©gie par la loi du 1er juillet 1901 et par le dĂ©cret du 16 aoĂ»t 1901 ayant pour dĂ©nomination STOCK SA. En cas de vacance, le conseil d'administration pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il est procĂ©dĂ© Ă  leur remplacement dĂ©finitif par la plus prochaine assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Les pouvoirs des membres ainsi Ă©lus prennent fin Ă  l'Ă©poque oĂč devrait normalement expirer le mandat des membres remplacĂ©s. ARTICLE 9 - REUNIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Le conseil d'administration se rĂ©unit une fois au moins tous les six mois, sur convocation du prĂ©sident, ou sur la demande de la majoritĂ©... Article 32 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire fonds, car it faut, des l'ou- verture du chantier, ver- ser des acomptes aux entreprises. Les copro- prietaires ne peuvent se soustraire au paiement de ces appels de fonds. Ce- pendant, ils ont inter& a debattre et a fixer, lors de l'assemblee generale, la date et le montant de ces appels. Lorsque des tra- le syndic peut engager des depenses importantes sans demander 'accord de l'as- semblee generale. II dolt cependant consulter le conseil syndical. Quant l'appel de fonds, it ne peut depasser l... Article code civil ModifiĂ© par Loi n°70-643 du 17 juillet 1970 - art. 22 JORF 19 juillet 1970 ModifiĂ© par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 - art. 1 JORF 30 juillet 1994 Créé par Loi 1803-03-08 promulguĂ©e le 18 mars 1803 ModifiĂ© par Loi 1927-08-10 art. 13 Chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e. Les juges peuvent, sans prĂ©judice de la rĂ©paration du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que sĂ©questre, saisie et autres, propres Ă  empĂȘcher ou faire cesser une atteinte Ă  l'intimitĂ© de la vie privĂ©e ces mes... Article code civil ModifiĂ© par Loi n°70-643 du 17 juillet 1970 - art. 22 JORF 19 juillet 1970 ModifiĂ© par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 - art. 1 JORF 30 juillet 1994 Créé par Loi 1803-03-08 promulguĂ©e le 18 mars 1803 ModifiĂ© par Loi 1927-08-10 art. 13 Chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e. Les juges peuvent, sans prĂ©judice de la rĂ©paration du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que sĂ©questre, saisie et autres, propres Ă  empĂȘcher ou faire cesser une atteinte Ă  l'intimitĂ© de la vie privĂ©e ces m... Loi du 6 juillet 1989, article 17 c commentaire puisqu'il ne prend en consideration ni le prix des terrains ni celui de 'habitat recent et ancien. Renouvellement du bail A la fin du bail, au moment de sa reconduc- tion, le loyer est, en regle generale, seulement revise en fonction de l'indice du coat de la construction, comme chaque armee. Dans le cas oti le pro- prietaire souhaite une re- evaluation plus importante, it doff respecter toute une procedure. Si le locataire accepte, eventuellement apres arbitrage d' une com- mission de concil... Article 10 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire type de charges est que, contrairement aux charges precedentes, la repartition ne se fait pas en fonction des milliemes mais de l'uti- lite que represente chaque service collectif ou ele- ment d'equipement com- mun pour chaque lot. Charges d'ascenseur it est constant d'admettre qu'un appartement situe au rez- de-chaussee doitetre dispense de payer les charges d'ascenseur dans la mesure cependant oti l'ascenseur ne dessert pas egalement un sous-sol abritant des caves ou un parking qu'utilise le... Article 21 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire reunir la majorite des voix de tous les coproprietaires. Le role du conseil syndical II assiste le syn- dic dans ses peut saisir le syndic si une question lui parait impor- tante panne d'ascenseur, violation du reglement inte- rieur. Le syndic dolt le consulter pour les ques- tions diverses concemant la gestion de la copropriete. Le conseil syndical par- ticipe egalement a la preparation de l'assem- blee generale annuelle. II donne aussi son avis sur les devis, marches et contra... dissertation sur le dopage Article 42 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire recettes et depenses, etat des dettes et des creances, situation de tresorerie, budget previsionnel ; - l'assemblee s'est pronon- cee sur une question qui n'etait pas inscrite a rordre du jour ou mal formulee ; - Ia question n'a pas ete votee a Ia majoHte. L'annulation de toutes les decisions de l'assemblee Les coproprietaires peuvent demander l'annulation de toute l'assemblee generale dans les cas suivants - la convocation n'a pas ete redigee dans les formes prescrites ; - I'ordre du jour n... Article 24 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire Les limites aux ini- tiatives du syndic Le syndic dolt obligatoirement consulter le conseil syndical des que le prix des travaux depasse un certain montant. L'assemblee generale peut attribuer au conseil syndical la mission de selectionner l'entreprise a qui sera confiee la realisation des travaux. Lorsqu'il estime que le prix demands par 'entrepre- neur est trop sieve, le conseil syndical peut de- mander a d'autres profes- sionnels d'etablir de nou- veaux devis. Le prix des travaux Les cop... Dissertation citation La rĂšgle de l'article 1134 Code civil est la consĂ©quence de l'autonomie de la volontĂ© la volontĂ© est toute puissante ; elle engage l'individu Ă  l'Ă©gal de la loi » Nous etudierons dans un premier temps l’influence que possĂšde l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil I puis il s’en suivra une Ă©tude sur le dĂ©clin croissant de l’autonomie de la volontĂ© dans le contrat II. I- L’influence de l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil Ce qui peut contribuer Ă  l’influence de l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil est en premier l’accord des volontĂ©s ce qui est l’élĂ©ment essentiel du contrat A mais Ă©galement la libertĂ© contractuelle du c... Article 8 delĂ  loi du 10 juillet 1965 commentaire de service en appartement constitue ce qu'on appelle un changement d'affecta- tion d'un local prive. Les travaux pourront etre realises sans avoir demander l'autorisation de l'assemblee generale dans les cas suivants - le reglement de copro- priete a prevu de telles transformations ; - la chambre de service etait dĂ©jĂ  utilisee comme appartement ; - les travaux de transforma- tion ne contreviennent pas A la destination de I'im- meuble et ne nuisent pas aux autres coproprietaires. II resulte de... Titre» le PrĂ©fet, Nous avons l'honneur, conformĂ©ment aux dispositions de l'article 5 de la loi du 1er juillet 1901 et de l'article 1er du dĂ©cret d'application du 16 aoĂ»t 1901 de procĂ©der Ă  la dĂ©claration de l'association STOCK SA. Article 4 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire - les passages et les corri- dors. Le reglement de copropriete II precise les conditions d'utilisation des lots, les regles de fonc- tionnement et les pou- voirs de l'assemblee ge- nerale, les modalites de fonctionnement du conseil syndical. Tout reglement de copro- priete doit faire l'objet dune publication au fichier immobilier. Ce fichier est conserve et tenu a jour par le bureau de conservation des hypo- theques du lieu de la situa- tion de l'immeuble. L'assemblee gene- rale Composee de... La responsabilitĂ© du gouvernement devant le Parlement depuis la loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 » droit Cette rĂ©forme a voulu corriger les erreurs du passĂ©. Pour cela, il convenait alors d'appuyer sur un point important dans l'Ă©quilibre des pouvoirs la responsabilitĂ© dugouvernement. A Un exĂ©cutif plus encadrĂ© par le Parlement Et c'est sur ce point que la rĂ©forme insiste. La rĂ©vision de l’article 34/1 de 2008 apporte une nouveautĂ© elle permet aux assemblĂ©e parlementaire de voter desrĂ©solutions, mais pour Ă©viter les dĂ©rives qui s’étaient produites sous la 3e et la 4e RĂ©publique, la reforme a en... LOI no 2001-434 du 21 mai 2001 tendant Ă  la pr?judice des dates comm?moratives propres ? chacun des d?partements d'outre-mer. Article 4 Le dernier alin?a de l'article unique de la loi no 83-550 du 30 juin 1983 relative ? la comm?moration de l'abolition de l'esclavage est remplac? par trois alin?as ainsi r?dig?s ??Un d?cret fixe la date de la comm?moration pour chacune des collectivit?s territoriales vis?es ci-dessus ; ??En France m?tropolitaine, la date de la comm?moration annuelle de l'abolition de l'esclavage est fix?e par le Gouvern... Droit commercial Article 6 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire permet de constater que les travaux ont ete ache- ves conformement au projet initial. La reception peut etre amiable ou judiciaire. La reception amiable le constructeur informe son client que les travaux sont acheves et fixe une date a laquelle la recep- tion pourra avoir lieu. Au cours de la visite, l'ac- quereur note tous les &- farts et non-conformites qu'il a constates et consigne ces remarques par ecrit. A l'issue de la visite, l'acquereur peut sort accepter l'ouvrage, avec ou sans reserv... Article 18 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire engagee. II peut s'agir, par exemple, du refus d'ins- crire des questions sup- plementaires a l'ordre du jour de rassemblee, du retard a contacter des en- treprises pour realiser des travaux urgents, de sa ne- gligence concemant la re- pression des infractions au reglement de copropriete commises par des occu- pants occasionnant un trouble. Le non-recouvre- ment des charges II appartient au syndic de recouvrer les charges au- pres des coproprietaires. S'il tarde deliberement ou exagerement a l... Article 18 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire 10 % du coot reel des tra- vaux. Ces travaux doivent remplirtrois conditions - leur montant doit etre au moins egal a la demiere armee de loyer ; - it doit s'agir de travaux d'amelioration et non de simple entretien, tant dans le logement lui-meme que dans lesparties com- munes de l'immeuble si ce sont les parties com- munes d'un immeuble en copropriete, seule la quote-part a la charge du bailleur estprise en compte ; - ils doivent avoir ete rea- lises au cours du bail initial ou depuis son... Article 8 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire Le montant du sous-loyer II est fixe, en fonction du loyer principal, au prorata de la superficie des locaux sous-loues. De surcrolt, le locataire devra, comme le locataire princi- pal, payer une part pro- portionnelle des charges. La sous-location ne doit pas donner lieu a une ma- joration de loyer dans les cas suivants - vous occupez suffisam- ment les locaux ; - vous etes age de plus de 70 ans ; - vous etes grand invalide de guerre ou invalide civil a 80 %; - vous sous-louez partiel- leme... Article 22 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire peut tirer profit de la somme qu'il detient. La restitution A la fin du bail, le proprietaire doit restituer au locataire le depot de garantie dans un Mai maximum de 2 mois suivant la remise des cies. Au-dela de ce delai, le depot produit in- teret au taux legal au pro- fit du locataire. Toutefois, le locataire attendra sou- vent le reglement des charges de copropriete de I'immeuble pour que son compte soit sold& En cas d'abus, it pourra se retour- ner contre le bailleur. Le proprietaire peut... Fiche droit administratif Exemple le plus connu arrĂȘt du 3 fĂ©vrier 1978 CFDT et CGT . relatif aux contraventions comportant des peines privatives de libertĂ©. CE voulait crĂ©er ces contraventions, tandis que le CC°L avait rejetĂ© la possibilitĂ© d'Ă©dicter par voie rĂ©glementaire des contraventions comprenant des peines d' il faut une loi pour prĂ©voir un emprisonnement et pas une mesure rĂ©glementaire, -malgrĂ© l'article 62 de la constitution en vertu duquel les dĂ©cisions du CC°L s'impose aux pouvoir... Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire - les parties de canalisa- tions propres a l'usage du local, a 'exclusion de 'installation du chauffage central ; - les installations sanitai- res ; - les installations de la cui- sine evier ; - les placards et pende- ries ; - l'encadrement et, le cas echeant, les dessus de cheminees. Les parties privatives sont la propriete exclusive de chaque proprietaire. Les cloisons separatives d'ap- partement, les separations des caves et garages sont mitoyennes entre les co- proprietaires voisins...»... Insanity planning Loi du 10 juillet 1965, article 3 commentaire Article de la loi du 10 juillet 1965 commentaire gistes entrainent des coUts trop eleves pour la copropriete, l'assemblee generale peut imposer au syndic de lancer de nou- veaux appels d'offres afin de selectionner les presta- taires proposant les prix les plus competitifs. Rene- gocier les contrats peut aussi permettre aux occu- pants de realiser de sub- stantielles economies. La repartition ille- gale Si un coproprietaire conteste le pdncipe merne de larepartition descharges par l'assemblee generale, ou s'il pretend que la majorite necess... Article 4 de la loi du 13 juillet 1979 commentaire Le Toyer Les plafonds de loyer sont fixes a 55 F/m2 par mois en Ile- de-France eta 45 F/m2 par mois dans les autres regions. Le loyer s'etablira en fonction des reve- nus du futur locataire et de sa situation familiale. Exemples - En Ile-de-France un ce- libataire paiera un loyer de 2 150 F pour un revenu mensuel de 12 000 F. Un couple avec deux enfants dont les deux conjoints travaillent paiera un loyer de 4 850 F pour des reve- nus mensuels de 25 000 F ; - Dans les autres regions un cel... Quintessence d'Alcools de Guillaume Apollinaire TD n°5 DISSERTATION Sujet La place de la loi dans la hiĂ©rarchie des normes. Dissertation L’ouverture du mariage aux couples homosexuels constitue-t-elle une Ă©volution ou une rĂ©volution ? ans, on passe d’une unique forme d’union a une plus grande diversitĂ©. Nous pouvons remarque qu’entre mariage, pacs et concubinage, les frontiĂšres s’estompent peu Ă  peu, pour faire ressortir un droit commun du couple ». Les rĂ©formes du droit de la famille ont adaptĂ© la loi civile aux changements des mƓurs. Ces Ă©volutions n’ont pas toujours plus Ă  tout le monde ni su convaincre la majoritĂ©. Des personnes demeurent trĂšs conservatrices, ou ont des opi... dissertation Sujet 1 CORRIGÉ 1. Dans ce texte, il s’agit pour Hobbes de dĂ©terminer ce que doit ĂȘtre une loi pour ĂȘtre une bonne loi. L’idĂ©e a pour elle la simplicitĂ© de l’évidence une bonne loi, c’est une loi qui satisfait aux exigences de ce qu’une loi doit ĂȘtre, c’est-Ă -dire qui en remplit la ïŹnalitĂ©. De mĂȘme que la maniĂšre la plus simple de dĂ©ïŹnir un marteau, c’est encore de dire qu’il s’agit d’un outil destinĂ© Ă  enfoncer des clous, de mĂȘme ici Hobbes entend dĂ©ïŹnir la loi par le but qui est le sien ; or... Article 5 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire jouissance des lieux ainsi que ses obligations paie- ment des charges recupe- rabies dependent en grande partie du regle- ment de copropriete. Le bailleur est tenu de corn- muniquer au locataire les extraits de ce reglement concernant la destination de l'immeuble, la jouis- sance et 'usage des parties privatives et communes. Le locataire doit aussi etre informe sur la quote-part de charges qu'il doit ac- quitter en plus de son loyer. Les references de loyer Le bailleur doit joindre ces ref... UNIVERSITE MONTESQUIEU - BORDEAUX IV ECOLE DOCTORALE DE DROIT E. Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire La decision de l'as- semblee generale Le projet de travaux doff etre approuve a la majorite des voix de tous les copro- prietaires presents ou re- presentes. Si la decision n'a pu etre votee, l'assemblee generale pourra se reunir une seconde fois pour sta- tuer sur ce point Et cette fois la majorite simple des coproprietaires pourra l'emporter. Criteres retenus L'assemblee generale se prononce en fonction de plusieurs criteres le pro- jet va-t-il contrarier la vocation initiale de l'im- me... Cours de droit Constitutionnel LA LOI D'ORIENTATION DU 10 JUILLET 1989 Fiche synthĂšse construite par Sylvain sylvain. professionnelles et 80 % au niveau du baccalaurĂ©at ». Il s'agit d'Ă©lever le niveau gĂ©nĂ©ral de formation de tous les jeunes. NouveautĂ©s introduites par la loi ‱ L'organisation de la scolaritĂ© en cycles 3 cycles, de la maternelle au CM2. =prendre en compte les diffĂ©rents rythmes d’apprentissage des Ă©lĂšves. Ils assurent la continu itĂ© des apprentissages. Le cycle des apprentissages premiers cycle 1 se d Ă©roule Ă  l’école maternelle, de la PS Ă  la GS. Le cycle des apprent issages fo... Article 1er de la loi n° 91-646 du 10 juillet 1991 commentaire II est interdit d'intercepter, de detourner, de detruire ou de prendre connais- sance de mauvaise foi d'une correspondance privee. Cette interdiction porte sur les correspon- dances &rites, arrivees a destination ou non, et toutes les correspon- dances transmises par vole de telecommunication ecoutes telephoniques sauvages ». Les peines encourues sont de I an d'emprisonnement et 300 000 F d'amende ; - une reglementation particuliere vise toutes les personnes investies dune mission de service... Loi 91-647 de la loi du 10 juillet 1991 commentaire gralement pHs en charge. En cas d'aide partielle, l'avocat est en partie in- demnise par l'Etat et peut demander a son client un honoraire complemen- taire librement fixe, mais proportionnel aux possi- bikes de son client Demande Presenter un dossier retire en mairie ou dans les bureaux d'ac- cueil des tribunaux, avant ou pendant le proces, au bureau d'aide juridiction- nelle du tribunal de grande instance du domicile du demandeur ou du ressort dans lequel l'affaire dolt etre jugee. En cas de... dissertation la loi dans la DDHC la dĂ©claration des droits de l'homme et du citoyen ? Son impact est tr Ăšs important, c'est la raison pour laquelle nous allons l'etudier a travers les objectifs de la loi I, ainsi que sa pr Ă©sence qui se g Ă©nĂ©ralise II I les objectifs de la loi dans la DDHC La d Ă©claration des droits de l'homme et du citoyen se veux pr Ă©curseur du fondement du nouveau r Ă©gime, l'application de la loi permet de faire une v Ă©ritable rupture avec l'ancien r Ă©gime A, et d'etre aussi la base d'u... La loi est-elle l'expression de la volontĂ© gĂ©nĂ©rale sous la Veme RĂ©publique ? des constituants ou du peuple. Notre bicamĂ©risme est inĂ©galitaire. Le SĂ©nat n'est pourtant pas qu'une pĂąle copie del'AssemblĂ©e. Il est investi d'une fonction spĂ©cifique de reprĂ©sentation des collectivitĂ©s territoriales, comme stipulĂ©dans l'article 24, et tout projet de loi ayant pour principal objet l'organisation des collectivitĂ©s territoriales »doivent dĂ©sormais ĂȘtre soumis en premier lieu au SĂ©nat, selon l'article Cette fonction s'illustre Ă©galement Ă travers son mode d'Ă©lection.... Le pouvoir exĂ©cutif et le pouvoir lĂ©gislatif sous la Restauration et la Monarchie de Juillet question des rapports entre les ministres et le pouvoir lĂ©gislatif. L’article 13 de la Charte de 1814 stipule Lapersonne du roi est inviolable et sacrĂ©e. Ses ministres sont responsables. [
] ». L’article 55 prĂ©cise que lesministres ont une responsabilitĂ© pĂ©nale La Chambre des dĂ©putĂ©s a la droit d’accuser les ministres, et de lestraduire devant la Chambre des paire qui seule a celui de les juger. ». Mais qu’en est-il de la responsabilitĂ©politique ? La Charte n’apport... Dissertation en droit administratif La supĂ©rioritĂ© du droit international et communautaire sur la loi. A. Affirmation de la supĂ©rioritĂ© du droit international et communautaire sur la loi par la reconnaissance du contrĂŽle de conventionalitĂ© induisant un rapporthiĂ©rarchique entre les deux Le Conseil constitutionnel ayant donnĂ© en aval la possibilitĂ© aux juridictions ordinaires » d'effectuer un contrĂŽle de conventionalitĂ© des lois par voie d'exceptions,celles-ci s'empressĂšrent de l' Cour de cassation avec l'arrĂȘt SociĂ©tĂ© des CafĂ©s Jacques Vabre rendu en chambre mixte le 24 mai 1975, fut... Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire Article 21 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire Les recours judi- ciaires Ce sont - La resolution devant le tribunal si le bail n'a pas prevu de clause reso- lutoire, le bailleur peut s'adresser au juge du tribu- nal d' le dossier des deux parties, et, le cas echeant, pronon- cera la resolution judi- ciaire. - L'expulsion lorsque le locataire a regu un cone pour non-paiement du loyer ou des charges et qu'il refuse de quitter les lieux, le proprietaire est en droit d'entamer une pro- cedure d'expulsion. Cette mesure... Article 5 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire En ce qui concerne les frais d'entretien des vide- ordures circulent les insectes, la gaine et le local de reception au pied de la gaine constituent des par- ties communes. Les vidoirs situ& dans les apparte- ment sont en revanche consider& comme parties privatives. Toutefois, s'il existe une Porte de vide- ordures par etage desser- vant plusieurs locaux pri- vatifs, le vidoir ainsi que le local de vide-ordures d'etage sont parties com- munes. Les depenses de repara- tion et d'entretien des par-... Article 16-11, alinĂ©a 2, du Code civil introduit par l'article 5 de la loi n° 94-653 du 29 juillet 1994 relative au respect du corps humain tout au plus tirer du refus de soumettre l'aveu de la patemite ou au moins une presomption de mauvaise foi. Quand ? II est impos- sible d'avoir recours a 'iden- tification genetique dun indi- vidu en dehors de toute procedure judiciaire. Une personne ne peut donc avoir recours a ses methodes d'identification dans la simple intention de se rassurer. Seules les actions tendant soit a l'etablissement ou la contestation d'une filia- tion, soit a l'obtention ou a L suppression de subsides voir fich... Article 2 de la loi du 6 janvier 1986 Article 20 commentaire ture, le vendeur doit vous communiquer les statuts de la societe, le reglement de l'immeuble, ainsi que le tableau d'affectation des parts. Les charges de lo- gement Les charges concemant l'entretien des parties communes hall d'entree, couloirs, installa- tions sportives sont fixees proportionnellement aux parts acquises par l'ac- quereur. Les charges concernant les services collectifs comme le chauf- fage sont calculees en fonction de l'utilite que ces services representent pour chaque lot.... RĂ©vision Consititutionnelle 1 Le Conseil constitutionnel n'a pas eu l'occasion de se prononcer sur la question de savoir si la rĂ©daction issue du 1°de l'article 4 de la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 entre en vigueur au lendemain de la publication de cette loi constitutionnelle 25 juillet 2008 ou dans les conditions fixĂ©es par le I de l'article 46 de cette mĂȘme loi constitutionnelle. 2 La loi organique n°2013-1114 du 6 dĂ©cembre 2013 portant application de l'article 11 de la Constitution et prĂ©vue Ă ... Analyse Article 314 du code civil Chapitre III des actions relatives Ă  la filiation art. 318 Ă  337 1/ dispositions gĂ©nĂ©rales 2/ des actions aux fins d'Ă©tablissement de la filiation 3/ des actions en contestation de la filiation Chapitre IV de l'action aux fins de subsides art. 342 Ă  342-8 II - Le nouveau rĂ©gime de la filiation A- Dispositions gĂ©nĂ©rales Le premier article art. 310, issu le la loi du 4 mars 2002 relative Ă  l'autoritĂ© parentale, affirme l'Ă©galitĂ© des filiations "Tous les enfants dont la filiation est...

2 L'inopposabilitĂ© du dĂ©lai. Le dĂ©lai de deux mois ne court pas si la notification est irrĂ©guliĂšre. Elle est irrĂ©guliĂšre si : - la notification du procĂšs-verbal ne reproduit pas le texte de l'article 42 de la loi du 10 juillet 1965 : Civ 3Ăšme 28 janvier 2015 (13-23.552). Le La question d'un parlementaire La question M. Maxime Bono interroge M. le secrĂ©taire d'État auprĂšs de la ministre de l'Ă©cologie, du dĂ©veloppement durable, des transports et du logement, chargĂ© du logement, sur les modalitĂ©s d'application de l'article 20 de la loi n° 2009-323 du 25 mars 2009 portant dispositions relatives Ă  la vente de lots accessoires de stationnement insĂ©rĂ© Ă  la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, en son article 8-1, afin de prĂ©ciser l'organisation de la copropriĂ©tĂ© le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© des immeubles dont le permis de construire a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© conformĂ©ment Ă  un plan local d'urbanisme ou d'autres documents d'urbanisme imposant la rĂ©alisation d'aires de stationnement peut prĂ©voir une clause attribuant un droit de prioritĂ© aux copropriĂ©taires Ă  l'occasion de la vente de lots exclusivement Ă  usage de stationnement au sein de la copropriĂ©tĂ© ». Il lui demande de prĂ©ciser Ă  quelle majoritĂ© des voix doit ĂȘtre adoptĂ©e, en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires, une rĂ©solution qui viserait Ă  modifier le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© conformĂ©ment aux dispositions de la loi n° 2009-323. La rĂ©ponse L'article 8-1 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis prĂ©voit que le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© des immeubles dont le permis de construire a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© conformĂ©ment Ă  un plan local d'urbanisme ou d'autres documents d'urbanisme imposant la rĂ©alisation d'aires de stationnement peut prĂ©voir une clause attribuant un droit de prioritĂ© aux copropriĂ©taires Ă  l'occasion de la vente de lots exclusivement Ă  usage de stationnement au sein de la copropriĂ©tĂ©. Dans ce cas, le vendeur doit, prĂ©alablement Ă  la conclusion de toute vente d'un ou plusieurs lots Ă  usage de stationnement, faire connaĂźtre au syndic par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception son intention de vendre, en indiquant le prix et les conditions de la vente. Cette information est transmise sans dĂ©lai Ă  chaque copropriĂ©taire par le syndic par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception, aux frais du vendeur. Elle vaut offre de vente pendant une durĂ©e de deux mois Ă  compter de sa notification ». Si le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© ne contient aucune clause relative au droit de prioritĂ© concernant la vente de lots exclusivement Ă  usage de stationnement et que les conditions prĂ©vues par l'article 8-1 sont remplies, l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale peut dĂ©cider de l'insertion d'une telle clause dans le rĂšglement de copropriĂ©tĂ©, Ă  l'unanimitĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires. En effet, l'article 26 de la loi de 1965 prĂ©citĂ©e dispose que l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale ne peut, Ă  quelque majoritĂ© que ce soit, imposer Ă  un copropriĂ©taire une modification Ă  la destination de ses parties privatives ou aux modalitĂ©s de leur jouissance, telles qu'elles rĂ©sultent du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© », et la clause envisagĂ©e modifie bien les modalitĂ©s de jouissance des parties privatives, puisqu'elle impose au copropriĂ©taire qui vend un lot Ă  usage exclusif de stationnement le respect du formalisme nĂ©cessaire Ă  l'exercice par les autres copropriĂ©taires de leur droit de prioritĂ©, alors qu'une telle vente est libre en l'absence de la clause instaurant le droit de prioritĂ©. En revanche, comme l'insertion d'une clause prĂ©voyant le droit de prioritĂ© n'est pas une obligation mais une simple facultĂ©, il ne peut ĂȘtre fait application, pour insĂ©rer une telle clause dans le rĂšglement de copropriĂ©tĂ©, de l'article 49 de la loi de 1965 prĂ©citĂ©e, qui permet Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de voter Ă  la majoritĂ© simple prĂ©vue Ă  l'article 24 les adaptations du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© rendues nĂ©cessaires par les modifications lĂ©gislatives et rĂ©glementaires postĂ©rieures Ă  son Ă©tablissement. 192 de la loi du 10 juillet 1965 tel que modifiĂ© par la loi Elan, cette procĂ©dure relevant de la compĂ©tence du PrĂ©sident du tribunal judiciaire. La procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e au fond prĂ©vue par ce texte doit donc ĂȘtre exercĂ©e, jusqu’au 31 dĂ©cembre 2020, devant le PĂŽle de l’urgence civile du tribunal judiciaire de Paris et Ă  partir
En direct MID Paris Classement des promoteurs Crise des matĂ©riaux RE 2020 Majors du BTP Accueil > CopropriĂ©tĂ©s le contenu de la fiche synthĂ©tique prĂ©vue par l'article 8-2 de la loi du 10 juillet 1965 prĂ©cisĂ© le 23/12/2016 Logement - documents officiels Ma newsletter personnalisĂ©eAjouter ces thĂšmes Ă  ma newsletter personnalisĂ©e Logement - documents officiels Pour lire l’intĂ©gralitĂ© de cet article, testez gratuitement - Ă©dition AbonnĂ© DĂ©cret n°2016-1822 du 21 dĂ©cembre 2016 ‱ MinistĂšre du logement et de l'habitat durable ‱ JO du 23 dĂ©cembre 2016 - NOR LHAL1633203D Publics concer nĂ©s acquĂ©reurs d'un lot de copropriĂ©tĂ©, copropriĂ©taires, syndics de [...] Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Moniteur, abonnez-vous ou connectez-vous pour lire l’intĂ©gralitĂ© de l’ encore abonnĂ©En vous abonnant au Moniteur, vous bĂ©nĂ©ficiez de La veille 24h/24 sur les marchĂ©s publics et privĂ©sL’actualitĂ© nationale et rĂ©gionale du secteur du BTPLa boite Ă  outils rĂ©glementaire marchĂ©s, urbanismes, environnementLes services indices-indexLes bonnes raisons de s’abonnerAu Moniteur La veille 24h/24 sur les marchĂ©s publics et privĂ©s L’actualitĂ© nationale et rĂ©gionale du secteur du BTP La boite Ă  outils rĂ©glementaire marchĂ©s, urbanismes, environnement Les services indices-index Je m’abonne
Auschwitz(en allemand : Konzentrationslager Auschwitz Écouter, « camp de concentration d'Auschwitz ») est le plus grand complexe concentrationnaire du TroisiĂšme Reich, Ă  la fois camp de concentration et centre d'extermination. Faisant auparavant office de camp militaire, il est situĂ© dans la province de SilĂ©sie, Ă  une cinquantaine de Les copropriĂ©taires sont tenus de participer aux charges entraĂźnĂ©es par les services collectifs et les Ă©lĂ©ments d'Ă©quipement commun en fonction de l'utilitĂ© objective que ces services et Ă©lĂ©ments prĂ©sentent Ă  l'Ă©gard de chaque lot, dĂšs lors que ces charges ne sont pas individualisĂ©es. Ils sont tenus de participer aux charges relatives Ă  la conservation, Ă  l'entretien et Ă  l'administration des parties communes, gĂ©nĂ©rales et spĂ©ciales, et de verser au fonds de travaux mentionnĂ© Ă  l'article 14-2 la cotisation prĂ©vue au mĂȘme article, proportionnellement aux valeurs relatives des parties privatives comprises dans leurs lots, telles que ces valeurs rĂ©sultent des dispositions de l'article 5. Le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© fixe la quote-part affĂ©rente Ă  chaque lot dans chacune des catĂ©gories de charges et indique les Ă©lĂ©ments pris en considĂ©ration ainsi que la mĂ©thode de calcul ayant permis de fixer les quotes-parts de parties communes et la rĂ©partition des charges. Lorsque le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© met Ă  la seule charge de certains copropriĂ©taires les dĂ©penses d'entretien et de fonctionnement entraĂźnĂ©es par certains services collectifs ou Ă©lĂ©ments d'Ă©quipements, il peut prĂ©voir que ces copropriĂ©taires prennent seuls part au vote sur les dĂ©cisions qui concernent ces dĂ©penses. Chacun d'eux dispose d'un nombre de voix proportionnel Ă  sa participation auxdites dĂ©penses. Ladivision d’un immeuble en lots de copropriĂ©tĂ© n’est pas incompatible avec l’établissement de servitudes entre les parties privatives de deux l Lire la suite. servitude syndicat des copropriĂ©taires article 637 du code civil article 1er de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 article 3 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 article
La loi n°65-557 du 10 juillet 1965 fixe le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles ou groupes d’immeubles bĂątis dont la propriĂ©tĂ© est rĂ©partie entre plusieurs personnes, par lots comprenant chacun une partie privative et une quote-part de parties communes code de la copropriĂ©tĂ©. CommunĂ©ment appelĂ©e loi du 10 juillet 1965, il s’agit de la loi fondatrice rĂ©gissant le fonctionnement et l’organisation des copropriĂ©tĂ©s en France. Ce texte de loi a Ă©voluĂ© au fil des annĂ©es, en s’adaptant aux Ă©volutions des besoins des copropriĂ©taires. En tout, on compte une quarantaine de modifications de la loi. Les deux Ă©volutions les plus rĂ©cente sont issues de la loi ALUR en 2014 et de la loi ELAN en 2018. Cette loi est composĂ©e de 5 grands chapitres Chapitre 1 DĂ©finition et organisation d’une copropriĂ©tĂ© articles 1 Ă  16 dĂ©finition, dĂ©signation et rĂ©glementation des parties privĂ©es et communes, rĂ©partition des charges, existence du budget prĂ©visionnel, rĂšglement de copropriĂ©tĂ©, personnalitĂ© juridique, missions et responsabilitĂ© du syndicat des copropriĂ©taires Chapitre 2 Administration de la copropriĂ©tĂ© articles 17 Ă  29 syndic, assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, rĂšgles de majoritĂ© articles 24, 25, 26, procĂ©dures de copropriĂ©tĂ© en difficultĂ© Chapitre 3 AmĂ©liorations, additions de locaux privatifs et exercice du droit de surĂ©lĂ©vation articles 30 Ă  37 travaux modifiant la structure de l’immeuble Chapitre 4 et 4bis Reconstruction et rĂ©sidences-services articles 38 Ă  41 en cas de copropriĂ©tĂ© dĂ©truite et cas particulier des rĂ©sidences-services Chapitre 5 Dispositions gĂ©nĂ©rales articles 42 Ă  50 contestations d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale ou de rĂ©glement, procĂ©dures, etc. Les mesures phares de la loi du 10 juillet 1965 👉 La loi du 10 juillet 1965 a dĂ©finit le concept de copropriĂ©tĂ©, une pratique dĂ©jĂ  en vigueur depuis plus d’un siĂšcle. Elle dĂ©finit alors la copropriĂ©tĂ© comme tout immeuble bĂąti ou groupe d’immeubles bĂątis dont la propriĂ©tĂ© est rĂ©partie entre plusieurs personnes, par lots comprenant chacun une partie privative et une quote-part de parties communes, lesquelles sont indissociables ». GrĂące aux dĂ©finitions des parties privatives et des parties communes, la loi du 10 juillet 1965 met en perspective le besoin de garantir le droit individuel Ă  la propriĂ©tĂ©, tout en prĂ©servant l’intĂ©rĂȘt collectif. Ainsi, les copropriĂ©taires peuvent ainsi jouir librement de leurs lots sous la condition de ne porter atteinte ni aux droits des autres copropriĂ©taires, ni Ă  la destination de l’immeuble. 👉 Le deuxiĂšme chapitre de la loi concerne l’administration de la copropriĂ©tĂ© et dĂ©finit notamment le fonctionnement des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales, le rĂŽle du syndicat des copropriĂ©taires, du conseil syndical et du syndic de copropriĂ©tĂ©. En outre, il dĂ©finit les majoritĂ©s applicables. À SAVOIR – La loi du 10 juillet 1965 prĂ©voit qu’un syndic de copropriĂ©tĂ© est obligatoire. Par consĂ©quent, une copropriĂ©tĂ© ne peut ĂȘtre dĂ©pourvue de syndic ! GrĂące Ă  la loi du 10 juillet 1965, il n’est plus nĂ©cessaire de recueillir l’accord de l’ensemble des copropriĂ©taires pour la rĂ©alisation de travaux. La majoritĂ© simple, la majoritĂ© absolue ou la double majoritĂ© peuvent ĂȘtre nĂ©cessaire pour adopter certaines rĂ©solutions articles 24, 25, 26. majoritĂ© simple de l’article 24 elle ne prend pas en compte les abstentions et les copropriĂ©taires non-reprĂ©sentĂ©s. Elle concerne les dĂ©cisions relatives Ă  la gestion courante de la copropriĂ©tĂ© comme le vote du budget prĂ©visionnel, les travaux d’entretien, etc. ; majoritĂ© abolue de l’article 25 elle prend en compte les abstentions et les non-reprĂ©sentĂ©s. Cette majoritĂ© absolue est utilisĂ©e pour les dĂ©cisions relatives aux organes de la copro et la sĂ©curitĂ© de l’immeuble ; double majoritĂ© de l’article 26 une rĂ©solution relevant de la double majoritĂ© doit regrouper la majoritĂ© de tous les copropriĂ©taires de l’immeuble et cette derniĂšre doit Ă©galement reprĂ©senter 2/3 des tantiĂšmes de la copropriĂ©tĂ©. L’utilisation de la double majoritĂ© concerne la modification de l’organisation de l’immeuble. 👉 Enfin, la loi prĂ©voit Ă©galement que la dĂ©cision de surĂ©lever l’immeuble ou de cĂ©der le droit de surĂ©lever le bĂątiment doit ĂȘtre votĂ© lors de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires, Ă  la majoritĂ© de l’article 26 majoritĂ© des copropriĂ©taires reprĂ©sentant les 2/3 des tantiĂšmes. Les apports de la Loi ALUR de 2014 La loi du 24 mars 2014 pour l’accĂšs au logement et un urbanisme rĂ©novĂ© ALUR prĂ©voit notamment les missions du syndic sont encadrĂ©es par un contrat conforme Ă  un modĂšle type, qui comprend une partie forfaitaire pour les actes de gestion courante, et une liste limitative de prestations pouvant faire l’objet d’une rĂ©munĂ©ration supplĂ©mentaire; le syndic a l’obligation d’ouvrir un compte bancaire ou postal sĂ©parĂ© au nom du syndicat sauf si l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale en dĂ©cide autrement pour les plus petites copropriĂ©tĂ©s de moins de 15 lots ; les majoritĂ©s applicables afin de faciliter la prise de dĂ©cision en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale et la rĂ©alisation de travaux sont abaissĂ©es ; le syndic doit impĂ©rativement procĂ©der Ă  l’immatriculation de l’immeuble au registre des copropriĂ©tĂ©s, pour permettre aux pouvoirs publics d’amĂ©liorer leur connaissance de l’état des copropriĂ©tĂ©s et, le cas Ă©chĂ©ant, de mettre en Ɠuvre des actions destinĂ©es Ă  prĂ©venir leurs difficultĂ©s ; les immeubles Ă  destination totale ou partielle d’habitation doivent bĂ©nĂ©ficier d’un fonds de travaux qui permet le financement de travaux qui ne sont pas couverts par le budget prĂ©visionnel. Ce fonds est alimentĂ© par une cotisation annuelle dont le montant ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă  5 % du budget prĂ©visionnel votĂ© chaque annĂ©e. Les apports de la Loi ÉLAN de 2018 En 2018, la loi consacrĂ©e Ă  l’évolution du logement, de l’amĂ©nagement et du numĂ©rique ELAN est votĂ©e. Elle a Ă©galement pour objectif d’amĂ©liorer le droit des copropriĂ©tĂ©s. L’article 215 de la loi Elan permet au gouvernement de prendre deux ordonnances afin de rendre le droit de la copropriĂ©tĂ© plus accessible, plus lisible et plus simple. Ces deux ordonnances prĂ©voient de regrouper et d’organiser l’ensemble des rĂšgles rĂ©gissant le droit de la copropriĂ©tĂ© au sein d’un code relatif Ă  la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, dans un dĂ©lais de deux ans Ă  compter du 23 novembre 2018 ; de rĂ©former les rĂšgles applicables Ă  compter du 1er juin 2020n afin d’amĂ©liorer la gestion des immeuble et prĂ©venir les contentieux. Par ailleurs, les articles 203 Ă  214 modifient la loi du 10 juillet 1965 et prĂ©voient la possibilitĂ© d’une participation des copropriĂ©taires Ă  l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale par visioconfĂ©rence ou par tout autre moyen de communication Ă©lectronique, afin de rĂ©duire l’absentĂ©isme aux assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales de copropriĂ©taires ; le renvoi Ă  un dĂ©cret pour prĂ©ciser la liste minimale des documents devant figurer dans l’espace dĂ©matĂ©rialisĂ© sĂ©curisĂ© de la copropriĂ©tĂ© extranet copropriĂ©tĂ© gĂ©rĂ© par le syndic ; l’élargissement du dispositif de lutte contre les impayĂ©s de charges courantes aux dĂ©penses de travaux ; la mise en place de pĂ©nalitĂ©s financiĂšres imputĂ©es sur les honoraires de base du syndic qui ne transmet pas les piĂšces demandĂ©es par le conseil syndical dans un dĂ©lai d’un mois Ă  compter de la demande. Qu’est-ce que le code de la copropriĂ©tĂ© ? Le Code de la copropriĂ©tĂ© est un document qui recense l’ensemble des textes rĂ©gissant l’organisation et le fonctionnement de la copropriĂ©tĂ©. C’est l’outil de rĂ©fĂ©rence des professionnels comme des particuliers impliquĂ©s dans la gestion d’un immeuble. C’est la clef de voĂ»te du droit de la copropriĂ©tĂ©. Le code de copropriĂ©tĂ© est l’unique rĂ©fĂ©rence pour Ă©tablir les rĂšgles de fonctionnement d’un immeuble partagĂ© par des propriĂ©taires. Il est utilisĂ© aussi bien par les syndics, les notaires, avocats et juges. C’est aussi une rĂ©fĂ©rence pour les particuliers qui s’impliquent dans l’administration d’une copro en tant que copropriĂ©taire, prĂ©sident du conseil syndical ou parce qu’il est syndic bĂ©nĂ©vole. Le rĂ©gime juridique de la copropriĂ©tĂ© est essentiellement basĂ© sur deux textes la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 qui prĂ©cise le statut de copropriĂ©tĂ© pour les immeubles; le dĂ©cret n°67-223 du 17 mars 1967.
Loin°65-557 du 10 juillet 1965 : article 18-1 Consultation des piĂšces justifiant les charges de copropriĂ©tĂ© DĂ©cret n°67-223 du 17 mars 1967 : article 7 Convocation par le syndic N° 3430 _____ ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE EnregistrĂ© Ă  la PrĂ©sidence de l’AssemblĂ©e nationale le 11 mai 2011. PROPOSITION DE LOI relative Ă  la modification de l’article 22 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, RenvoyĂ©e Ă  la commission des affaires Ă©conomiques, Ă  dĂ©faut de constitution d’une commission spĂ©ciale dans les dĂ©lais prĂ©vus par les articles 30 et 31 du RĂšglement.prĂ©sentĂ©e par Mme Christine MARIN, dĂ©putĂ©e. EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Majoritairement urbaines, les copropriĂ©tĂ©s rassemblent aujourd’hui plus de sept millions et demi de logements sur notre territoire. C’est une organisation qui fonctionne sous le rĂ©gime de l’indivision forcĂ©e et qui permet de planifier, d’entretenir, et d’organiser un immeuble bĂąti ou un groupe d’immeubles bĂątis. La copropriĂ©tĂ© joue un rĂŽle important dans l’intĂ©gration des nouveaux propriĂ©taires, elle crĂ©e donc du lien social entre l’ensemble des rĂ©sidents. Ce rĂ©gime s’est dĂ©veloppĂ© durant le XXe siĂšcle, suite Ă  la revente d’immeubles Ă  diffĂ©rents propriĂ©taires qui appartenaient jusque lĂ  qu’à un seul individu. La loi du 28 juin 1938 est le premier texte qui reconnaĂźt le statut de la copropriĂ©tĂ© et il sera remplacĂ© par la loi du 10 juillet 1965. ConformĂ©ment Ă  ce texte, toutes les dĂ©cisions concernant la copropriĂ©tĂ© sont prises en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, votĂ©es par les propriĂ©taires directement ou leurs mandataires. Pourtant on remarque que des personnes peuvent recevoir dĂ©lĂ©gation sans rĂ©sider dans l’immeuble bĂąti et sans avoir aucun lien de parentĂ© avec le propriĂ©taire. L’article 22 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis prĂ©cise que tout copropriĂ©taire peut dĂ©lĂ©guer son droit de vote Ă  un mandataire, que ce dernier soit ou non membre du syndicat ». On peut alors s’étonner de voir que des mandataires qui n’ont aucun intĂ©rĂȘt Ă  adopter, ou Ă  rĂ©futer une proposition puissent, s’ils ont eu dĂ©lĂ©gation, participer au vote de la copropriĂ©tĂ©. Pour garantir le bon fonctionnement et assurer la pĂ©rennitĂ© de cette organisation, il semble important de modifier cet article pour que ce soit les propriĂ©taires membres du syndicat exclusivement qui puissent voter lors des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales. PROPOSITION DE LOI Article unique L’article 22 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 est ainsi rĂ©digĂ© Art. 22. – Le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© dĂ©termine les rĂšgles de fonctionnement et les pouvoirs des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales, sous rĂ©serve des dispositions du prĂ©sent article, ainsi que de celles des articles 24 Ă  26 ci-dessous. Chaque copropriĂ©taire dispose d’un nombre de voix correspondant Ă  sa quote-part dans les parties communes. Toutefois, lorsqu’un copropriĂ©taire possĂšde une quote-part des parties communes supĂ©rieure Ă  la moitiĂ©, le nombre de voix dont il dispose est rĂ©duit Ă  la somme des voix des autres copropriĂ©taires. Tout copropriĂ©taire peut dĂ©lĂ©guer son droit de vote Ă  un mandataire, membre du syndicat ou de la copropriĂ©tĂ©. Chaque mandataire ne peut, Ă  quelque titre que ce soit, recevoir plus de trois dĂ©lĂ©gations de vote. Toutefois, un mandataire peut recevoir plus de trois dĂ©lĂ©gations de vote si le total des voix dont il dispose lui-mĂȘme et de celles de ses mandants n’excĂšde pas 5 p. 100 des voix du syndicat. Le mandataire peut, en outre, recevoir plus de trois dĂ©lĂ©gations de vote s’il participe Ă  l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale d’un syndicat principal et si tous ses mandants appartiennent Ă  un mĂȘme syndicat secondaire. Le syndic, son conjoint, le partenaire liĂ© Ă  lui par un pacte civil de solidaritĂ©, et ses prĂ©posĂ©s ne peuvent prĂ©sider l’assemblĂ©e ni recevoir mandat pour reprĂ©senter un copropriĂ©taire. » Laloi n°65-557 du 10 juillet 1965 permet au syndic de faire procĂ©der de sa propre initiative, en cas d'urgence, Ă  tous les travaux nĂ©cessaires Ă  la sauvegarde de l’immeuble. Il est parfois difficile pour un syndic de prendre l'initiative d'engager des travaux de rĂ©paration ou de rĂ©fection de parties communes dont la dĂ©cision de les entreprendre relĂšve de la compĂ©tence Les copropriĂ©taires sont tenus de participer aux charges entraĂźnĂ©es par les services collectifs et les Ă©lĂ©ments d'Ă©quipement commun en fonction de l'utilitĂ© que ces services et Ă©lĂ©ments prĂ©sentent Ă  l'Ă©gard de chaque lot. Ils sont tenus de participer aux charges relatives Ă  la conservation, Ă  l'entretien et Ă  l'administration des parties communes et de verser au fonds de travaux mentionnĂ© Ă  l'article 14-2 la cotisation prĂ©vue au mĂȘme article, proportionnellement aux valeurs relatives des parties privatives comprises dans leurs lots, telles que ces valeurs rĂ©sultent des dispositions de l'article 5. Le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© fixe la quote-part affĂ©rente Ă  chaque lot dans chacune des catĂ©gories de charges. Tout rĂšglement de copropriĂ©tĂ© publiĂ© Ă  compter du 31 dĂ©cembre 2002 indique les Ă©lĂ©ments pris en considĂ©ration et la mĂ©thode de calcul permettant de fixer les quotes-parts de parties communes et la rĂ©partition des charges. Laloi ALUR prĂ©voit que les honoraires du syndic affĂ©rents aux prestations qu’il doit effectuer pour l’établissement de l’état datĂ© Ă  l’occasion de la mutation Ă  titre onĂ©reux d’un lot ou d’une fraction de lot ne peuvent excĂ©der un montant fixĂ© par dĂ©cret (Loi n° 65-557, 10 juill. 1965, art. 10-1, b), modifiĂ© en dernier lieu par l’ordonnance du 30 octobre 2019 Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expĂ©rience sur notre site. Si vous continuez Ă  utiliser ce dernier, nous considĂ©rerons que vous acceptez l'utilisation des policy m4lKg.
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  • article 10 1 de la loi du 10 juillet 1965