Cest donc dans l’amphithéùtre de la FacultĂ© des Sciences et Technologies de La Rochelle, plein Ă  craquer que le prĂ©fet a rĂ©uni le 2 fĂ©vrier, les Ă©lus, les « Responsables SĂ©curitĂ© », les professionnels de la route, les pompiers, les professionnels de la nuit et les Ă©ducateurs des jeunes de moins de 25 ans, les gendarmes, les policiers et Madame le
"La sĂ©curitĂ© n'est pas une compĂ©tence de la RĂ©gion, mais la rĂ©gion peut co-produire de la sĂ©curitĂ©", estime ce lundi matin Cyril Hemardinquer, tĂȘter de liste du Rassemblement National dans le Loiret aux Ă©lections rĂ©gionales et par ailleurs candidat aux Ă©lections dĂ©partementales sur le canton de Courtenay. Le syndicaliste policier, en poste dans les Yvelines, en fait son axe de campagne. Il Ă©tait l'invitĂ© de France Bleu OrlĂ©ans. Les Ă©lections dĂ©partementales tout d'abord zĂ©ro Ă©lu pour le Rassemblement National en 2015. Vous pensez rĂ©ussir Ă  faire mieux cette fois ci? En tout cas, je l'espĂšre. J'ai grand espoir de faire mieux. Le climat politique nous est quand mĂȘme assez favorable. Il faut savoir qu'on avait des cantons qui avaient dĂ©passĂ© la barre des 40% en 2015. J'espĂšre qu'avec l'Ă©volution politique actuelle, la dictature d'En Marche, le "ni gauche ni droite" de nos partis centristes et l'ensemble de l'Ă©chiquier politique, nous devrions arriver Ă  rĂ©veiller les Français et Ă  les amener Ă  rĂ©aliser que le Rassemblement National est la meilleure option pour eux, sur tous les scrutins. Une dictature d'En Marche qui vous permet tout de mĂȘme d'ĂȘtre candidat Ă  ces Ă©lections. Vous ĂȘtes d'ailleurs candidat sur le canton de Courtenay, l'un des cantons oĂč le Rassemblement National a fait le plus gros score en 2015. Vous vous dites, "je ne prends pas de risque" ? Non du tout. DĂ©jĂ , rien n'est acquis en politique. On ne peut pas aller sur un canton et se dire qu'on ne prend pas de risque. Prendre Courtenay, mĂȘme pour moi est un gros risque puisque c'est le canton qui avait fait le meilleur rĂ©sultat la derniĂšre fois, et si je ne le fais pas basculer ce coup-ci, ce sera un Ă©chec qu'il faudra que j'assume personnellement. Cela veut dire quoi ? Si vous n'ĂȘtes pas Ă©lu Courtenay, vous quittez la tĂȘte du Rassemblement National dans le Loiret ? Non, absolument pas. Le Loiret ne se rĂ©sume pas au canton de Courtenay. C'est juste que j'ai un engagement vis-Ă -vis de mes militants. J'ai un engagement vis-Ă -vis de mes sympatisants et de tous les Français qui votent Rassemblement National et donc je dois atteindre mes objectifs. Pour moi, l'Ă©chec n'est pas d'une option. Si jamais j'ai, j'Ă©tais en Ă©chec, bien Ă©videmment, il faudra rebondir pour continuer Ă  aller de l'avant avant. Nous avons l'Ă©lection prĂ©sidentielle en 2022, c'est quand mĂȘme une Ă©tape dĂ©cisive pour le pays et nous oeuvrerons en ce sens par la suite. Le Rassemblement national a du mal Ă  fidĂ©liser dans le Loiret. Sur les 42 candidats prĂ©sentĂ©s pour les dĂ©partementales, seuls quatre Ă©taient dĂ©jĂ  prĂ©sents en 2015. Ça vient d'oĂč ? C'est un problĂšme d'image, de rĂ©ussir Ă  tenir dans le temps? Non, du tout, c'est un problĂšme de turn-over des personnes. Dans un de vos articles, lĂ , il Ă©tait Ă©crit que j'avais rĂ©ussi Ă  boucler tous les cantons, non sans mal. C'est tout Ă  fait faux. Il faut savoir que j'avais un grand panel de candidats. Nous avons pu les choisir. Nous avons pu faire face aux Ă©ventuelles dĂ©fections de derniĂšre minute. Nous avons dĂ©posĂ© la liste de nos 21 cantons le premier jour oĂč c'Ă©tait possible Ă  la prĂ©fecture, je n'ai eu aucun mal Ă  trouver des candidats. C'est vrai que le dernier article qui a Ă©tĂ© fait par France Bleu indique que j'ai des couples chez moi. Je ne savais pas que c'Ă©tait interdit en politique d'avoir les deux qui s'engagent en politique. C'est une nouveautĂ©. Vous savez, quand on s'engage en politique, trĂšs souvent, c'est trĂšs chronophage, et si la famille ne suit pas ou n'adhĂšre pas au projet, c'est trĂšs compliquĂ©. Ce qui explique pourquoi nous avons tant de couples reprĂ©sentĂ©s. Vous ĂȘtes donc tĂȘte de liste pour les Ă©lections rĂ©gionales dans le Loiret. Un policier en tĂȘte de liste, ça annonce la couleur la sĂ©curitĂ©, pincipal axe de campagne du Rassemblement National ? Tout Ă  fait. La sĂ©curitĂ©, c'est un problĂšme essentiel en France aujourd'hui. La sĂ©curitĂ©, c'est aussi l'affaire de tous et on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas l'affaire des rĂ©gions. Les RĂ©gions n'ont pas vraiment la main sur la sĂ©curitĂ©. Ce n'est pas la RĂ©gion qui dĂ©cide du nombre de policiers municipaux ou de policiers nationaux dans nos rues. La sĂ©curitĂ© n'est pas une compĂ©tence de la RĂ©gion, mais la rĂ©gion peut co-produire de la sĂ©curitĂ© comme cela s'est dĂ©jĂ  vu notamment en rĂ©gion Île-de-France, par exemple. La RĂ©gion, peut subventionner ou du moins cofinancer et aider les mairies Ă  obtenir des budgets plus consĂ©quents pour recruter des policiers municipaux. La rĂ©gion a certains leviers pour pouvoir amener plus de sĂ©curitĂ©, notamment dans les transports. Elle peut ĂȘtre un acteur vraiment trĂšs important et nous avons plusieurs expĂ©rimentations en termes de sĂ©curitĂ© que nous souhaiterions mettre en place dans la rĂ©gion Centre-Val de Loire. Vous ĂȘtes donc policier dans les Yvelines, Ă©lu au conseil municipal Ă  Maintenon, en Eure et Loir, candidat aux dĂ©partementales dans le Loiret, tĂȘte de liste aux rĂ©gionales pour le Loiret. Ce dĂ©partement, c'est une Ă©tape parmi d'autres ? Non, le Loiret, c'est ma nouvelle destination. Initialement, j'aurais dĂ» m'installer dans le Loiret cette annĂ©e, Ă  cause de la Covid, tout a pris un petit peu de retard. Je suis aussi contraint par la profession de mon Ă©pouse, donc, pour l'instant, je suis toujours physiquement sur Maintenon. J'ai assumĂ© mon mandat de conseiller municipal qui est un mandat totalement bĂ©nĂ©vole, oĂč je siĂšge dans huit commissions qui ne me rapportent absolument rien, je fais ça vraiment parce que je me suis engagĂ© auprĂšs des gens qui m'ont Ă©lu. Quand je serai sur le Loiret et que je passerai la main Ă  ma seconde de liste, elle continuera l'engagement du Rassemblement National sur place.
LasĂ©curitĂ© est l’affaire de tous. L’assistance Ă  l’écoute. SociĂ©tĂ©, Saint-GĂ©nis-des-Fontaines. PubliĂ© le 06/10/2021 Ă  21:31, mis
ï»żPubliĂ© le 03/11/2017 Ă  2052 Le Figaro FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Eric Delbecque et Dan Bellaiche, le lancement d'une vaste concertation sur la police de sĂ©curitĂ© du quotidien PSQ par le gouvernement est une initiative qui va dans le bon DELBECQUE est spĂ©cialiste des questions de sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et l'auteur du Bluff sĂ©curitaire Editions du Cerf.Dan BELLAICHE est prĂ©sident de la sociĂ©tĂ© de sĂ©curitĂ© privĂ©e PROTECTIM SECURITY SERVICESLa semaine Ă©coulĂ©e fut riche en Ă©vĂ©nements sur le front de la sĂ©curitĂ© et du drame de Manhattan nous met en garde une fois de plus sur la maniĂšre dont nous pensons ledit terrorisme la menace reste prĂ©sente et des radicalisĂ©s basculant dans la violence peuvent frapper Ă  tout moment. Cela ne doit pas susciter une angoisse permanente mais nous inciter collectivement Ă  l'observation et Ă  la rĂ©activitĂ©. Face au terrorisme, nous sommes par consĂ©quent contraints de multiplier les vecteurs de vigilance, de dĂ©velopper la culture de l'anticipation et du renseignement. Nous sommes par consĂ©quent contraints de multiplier les vecteurs de vigilance, de dĂ©velopper la culture de l'anticipation et du qui nous mĂšne directement Ă  un autre fait important survenu mardi dans notre pays le lancement d'une vaste concertation sur la police de sĂ©curitĂ© du quotidien PSQ. Il s'avĂšre capital de sortir des polĂ©miques stĂ©riles sur le retour de la police de solution choisie par le MinistĂšre de l'IntĂ©rieur est la bonne solliciter l'expertise des policiers et des gendarmes, Ă©couter de façon attentive le diagnostic qu'ils dressent et s'inspirer de leurs suggestions, c'est recueillir un capital d'expĂ©riences cumulĂ©es tout Ă  fait d'autant plus que le travail conduit dans le cadre de cette expĂ©rimentation bĂątie sur le dialogue permettra de rĂ©flĂ©chir tout Ă  la fois sur la dĂ©linquance et le terrorisme, et donc sur leurs interactions, ainsi que sur le renseignement de terrain, de proximitĂ© comme le fait dĂ©jĂ  la gendarmerie avec les BTC, les brigades territoriales de contact.La dĂ©marche prĂ©sente aussi l'intĂ©rĂȘt d'associer au niveau prĂ©fectoral les Ă©lus locaux, les reprĂ©sentants des entreprises de transport collectif et les professionnels de la sĂ©curitĂ© privĂ©e. Cela tĂ©moigne de l'affirmation d'une chaĂźne de sĂ©curitĂ© nationale qui excĂšde les seules forces publiques. Ces derniĂšres demeurent bien Ă©videmment l'Ă©lĂ©ment central de notre protection collective, mais elles ambitionnent prĂ©cisĂ©ment d'ĂȘtre soulagĂ©es de missions qui entravent leur focalisation sur l'essentiel, le cƓur de mĂ©tier» comme on le dit trop rĂ©guliĂšrement commise consiste Ă  prĂ©tendre que nous marchons vers la privatisation de la sĂ©curitĂ©. C'est tout le contraire pour que l'univers rĂ©galien puisse rĂ©aliser pleinement sa tĂąche de souverainetĂ©, de maintien de l'ordre et de police judiciaire, il doit bĂ©nĂ©ficier du concours d'une plĂ©iade d'acteurs, dont certains appartiennent au secteur de certaines tĂąches, oui c'est indiscutable, nous voyons ce processus Ă  l'Ɠuvre! En revanche, il faut rĂ©affirmer que cette logique de rationalisation ne se confond pas avec une abdication des pouvoirs publics, c'est-Ă -dire avec une privatisation» de la le dispositif de rĂ©gulation et de dialogue qui a Ă©tĂ© créé ces derniĂšres annĂ©es CNAPS Conseil national des Le but du privĂ© est de faciliter l'action rĂ©galienne et de participer Ă  une meilleure sĂ©curisation des espaces, en aucun cas de se substituer Ă  des forces de l'ordre. activitĂ©s privĂ©es de sĂ©curitĂ© ; DCS DĂ©lĂ©gation aux coopĂ©rations de sĂ©curitĂ© manifeste justement la volontĂ© publique de faire concourir des entreprises spĂ©cialisĂ©es, correctement organisĂ©es et dignes de confiance Ă  l'ensemble de la dynamique de protection des individus et des reste le chef d'orchestre de la chaĂźne de sĂ»retĂ© des personnes et des biens. Quant Ă  l'ensemble de la chaĂźne pĂ©nale, magistrats au premier chef, elle s'affirme plus que jamais au centre des politiques publiques de sĂ©curitĂ© et de justice. Le but du privĂ© est de faciliter l'action rĂ©galienne et de participer Ă  une meilleure sĂ©curisation des espaces privĂ©s, des entreprises et de la sociĂ©tĂ© civile, en aucun cas de se substituer Ă  des forces de l'ordre dont nous constatons le dĂ©vouement quotidien dans des conditions souvent difficiles.La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre», vient de rappeler aujourd'hui mĂȘme le Premier ministre en rencontrant des policiers, des gendarmes, des agents de la sĂ»retĂ© de la SNCF et de la venons de sortir de l'Ă©tat d'urgence. Si nous souhaitons prĂ©server les fondamentaux de notre Etat de droit et limiter au maximum le recours Ă  des dispositifs juridiques d'exception, il faut - avec Ă©nergie - favoriser la collaboration d'un nombre substantiel d'acteurs qui possĂšdent chacun des avantages spĂ©cifiques et des compĂ©tences singuliĂšres rendant leur action fĂ©conde dans la perspective de la protection y parvenir, il convient plus que jamais de cristalliser cette chaĂźne d'intelligence collective dans la sĂ©curitĂ©, qui peut seule atteindre l'objectif vital de diffuser une culture de vigilance qui forme le meilleur rempart de la RĂ©publique et de ses idĂ©aux.
Lasécurité est l'affaire de tous - #TDFF2022. Durée : 00:43 23-07-22. PARTAGER. PARTAGER. TWEETER. PARTAGER. ENVOYER PAR E-MAIL. La sécurité est l'affaire de tous -
Bonjour Ă  tous, Cet exercice a pour but de vous accompagner dans l'analyse de la consigne du sujet. Il vient complĂ©ter le document pdf mis en ligne sur la base Dissertation n°1 la sĂ©curitĂ© est-elle l'affaire de tous?, semaine 1 analyse du sujet. Vous trouverez dans un premier temps une question vous invitant Ă  rĂ©flĂ©chir aux diffĂ©rentes composantes de la notion de sĂ©curitĂ©. Dans un second temps, vous serez invitĂ©s Ă  classer les parties du cadrage en fonction de leur pertinence au regard de la question du sujet. Bon courage Ă  tous! PrĂ©sidentdu conseil communal et intercommunal de sĂ©curitĂ© et de prĂ©vention de la dĂ©linquance et de la radicalisation de Thann-Cernay, Émile Mouheb, adjoint au maire de Cernay, dĂ©fend une

Des Citoyens agressĂ©s Ă  coups de couteau, de marteau, de barre de fer, Ă  Paris et dans plusieurs autres villes de France. Des patrouilles de Sentinelle qui subissent des attaques verbales ou physiques, la derniĂšre en date Ă  la voiture bĂ©lier. Fait tout aussi grave, une voiture qui rĂ©ussit Ă  s’introduire sur les pistes d’un aĂ©roport. Sur ce dernier cas, on ne peut que s’interroger comment le conducteur n’a pas Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© plus tĂŽt alors que par deux fois il a pris deux autoroutes en sens inverse de circulation » ? La facilitĂ© avec laquelle il est entrĂ©e sur l’aĂ©roport doit nous interroger, tout comme doit nous interroger la difficultĂ© rencontrĂ©e par la Gendarmerie Nationale, les Douanes et la Police Nationale a l’interpeller comme le montre les vidĂ©os diffusĂ©es dans les mĂ©dias. Mais ce qui nous pousse le plus Ă  nous interroger ce sont la multiplication de ces attaques et la rapiditĂ© avec laquelle l’exĂ©cutif nous dit ” pas d’amalgame” et met la piste du dĂ©sĂ©quilibrĂ© en avant quasi systĂ©matiquement. Il nous faut donc rĂ©flĂ©chir diffĂ©remment et adapter nos rĂ©ponses Ă  ce qui se trouve ĂȘtre pour l’instant non plus des attaques suicides de masse mais des actions de loups » solitaires en lien ou non avec DAESH. Le renforcement des Forces de l’Ordre, l’armement gĂ©nĂ©ralisĂ© des Polices Municipales ainsi qu’une extension en la matiĂšre pour la SĂ©curitĂ© PrivĂ© et certains citoyens sont une des prioritĂ©s d’action immĂ©diate. Il faut aussi, Ă  cĂŽtĂ© de cela, que les Citoyens se responsabilisent pour ĂȘtre en mesure d’appliquer la loi* lorsque la situation l’exige. La vĂ©ritĂ© en matiĂšre de sĂ©curitĂ© n’est plus dans l’ancien temps ». GrĂ©gory Baudouin DĂ©lĂ©guĂ© national Ă  la SĂ©curitĂ© et Ă  la DĂ©fense *Article 122-7 du Code pĂ©nal traitant de l’état de nĂ©cessitĂ©, articles 122-5 et 122-6 du Code pĂ©nal traitant de la lĂ©gitime dĂ©fense, articles 223-5/6/7 du Code pĂ©nal relatifs Ă  la non-assistance, articles 53 et 73 du Code de procĂ©dure pĂ©nale faisant rĂ©fĂ©rence au flagrant dĂ©lit ou Ă  l’interpellation.

Lamunicipalité tient à rappeler aux Montchaninois et à ceux qui tous les jours fréquentent la commune de Montchanin que la sécurité dans les espaces
Publié le 09/10/2009 à 0350 Les journées de la sécurité intérieure se dérouleront à Albi demain samedi 10 octobre. De nombreuses animations seront proposées au public, de 9h30 à 17 heures, sur la place du Vigan et sur les allées du Jardin national. Cette année, le thÚme de cette manifestation - qu'inaugurera la préfÚte du Tarn Marcelle Pierrot à 10h30 - est la sécurité, une responsabilité partagée». Cette journée sera l'occasion de présenter au public les missions, les métiers et les moyens du ministÚre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales, dans le domaine de la sécurité. Les partenaires de la sécurité civile seront également associés à la manifestation. Pour illustrer l'unité et la complémentarité des actions menées par les services intervenant dans le domaine de la sécurité publique et civile, des animations et des ateliers seront proposés par les services de police, de gendarmerie et les différents acteurs de la sécurité civile dans le département SDIS, associations de secourisme. Nous détaillons le programme ci-dessous.
LasĂ©curitĂ© aĂ©rienne Ă©tait l’affaire de tous, c’est devenu l’affaire de chacun. Mise Ă  jour : 10/06/2021 - Auteur : ArmĂ©e de lair et de lespace - Direction : ArmĂ©e de l'Air et de l'Espace. C’est accompagnĂ© de ce leitmotiv que le Bureau de sĂ©curitĂ© aĂ©rienne de l’état-major de l’armĂ©e de l’Air (EMAA) a organisĂ©, Ă 

Depuis 2019, chaque 7 juin sera l’occasion de mettre en Ă©vidence les avantages d’une alimentation sĂ»re. 7 juin 2020, Le Caire - À l’occasion de la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments JISSA, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture FAO et l’Organisation mondiale de la santĂ© OMS ont publiĂ© la dĂ©claration commune suivante pour souligner le rĂŽle crucial de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments dans la promotion de la santĂ© et l’éradication de la faim Sans accĂšs universel Ă  une alimentation sĂ»re, l’Agenda 2030 sera impossible Ă  atteindre. Toute personne a le droit Ă  une alimentation sĂ»re, nutritive et suffisante. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est essentielle pour promouvoir la santĂ© et Ă©liminer la faim, deux des 17 objectifs de l’Agenda 2030 pour le dĂ©veloppement durable. Si elle n’est pas sĂ»re, ce n’est pas de la nourriture. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est atteinte lorsque toutes les personnes, Ă  tout moment, ont un accĂšs physique et Ă©conomique Ă  une nourriture qui rĂ©pond Ă  leurs besoins alimentaires pour une vie saine et active. En effet, la sĂ©curitĂ© alimentaire est une partie fondamentale de la composante utilisation des quatre dimensions de la sĂ©curitĂ© alimentaire - disponibilitĂ©, accĂšs, utilisation et stabilitĂ©. Aujourd’hui, environ 55 millions de personnes dans les États arabes sont en situation d’insĂ©curitĂ© alimentaire. En dĂ©finitive, une alimentation saine est essentielle non seulement pour amĂ©liorer la santĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaire, mais Ă©galement pour les moyens de subsistance, le dĂ©veloppement Ă©conomique, le commerce et la rĂ©putation internationale de chaque pays de la rĂ©gion. Les maladies d’origine alimentaire entravent le dĂ©veloppement socio-Ă©conomique en mettant Ă  rude Ă©preuve les systĂšmes de soins de santĂ© et en nuisant aux Ă©conomies nationales, au tourisme et au commerce. La FAO et l’OMS unissent leurs forces dans la rĂ©gion pour assister les pays Ă  prĂ©venir, gĂ©rer et rĂ©pondre aux risques tout au long de la chaĂźne d’approvisionnement alimentaire, en travaillant avec les producteurs et les vendeurs de denrĂ©es alimentaires, les autoritĂ©s de rĂ©glementation et les acteurs de la sociĂ©tĂ© civile, que les aliments soient produits localement ou importĂ©s. La FAO aide les pays membres Ă  prĂ©venir, gĂ©rer et rĂ©pondre aux risques tout au long de la chaĂźne de production alimentaire tandis que l’OMS facilite la prĂ©vention, la dĂ©tection et la rĂ©ponse au niveau mondial aux menaces pour la santĂ© publique associĂ©es Ă  des aliments insalubres. Les deux organisations Ɠuvrent Ă  garantir la confiance des consommateurs dans leurs autoritĂ©s et dans la sĂ©curitĂ© de l’approvisionnement alimentaire. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est une responsabilitĂ© partagĂ©e entre les gouvernements, les producteurs et les consommateurs. Tout le monde a un rĂŽle Ă  jouer, de la ferme Ă  la table, pour garantir que les aliments que nous consommons sont sĂ»rs et ne causeront pas de dommages Ă  notre santĂ©. Nous appelons les gouvernements, les partenaires du dĂ©veloppement international, les donateurs et le secteur privĂ© Ă  faire une diffĂ©rence durable en matiĂšre de sĂ©curitĂ© alimentaire. Ceci peut se faire par le biais des actions suivantes Assurer la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments. Les gouvernements nationaux doivent garantir une nourriture sĂ»re et nutritive pour tous. Produire des aliments sĂ»rs. Les agriculteurs et producteurs doivent adopter de bonnes pratiques culturales. Bonnes pratiques de transformation. Les exploitants du secteur alimentaire doivent veiller Ă  ce que les aliments soient transportĂ©s, stockĂ©s et prĂ©parĂ©s sans danger pour la santĂ©. VĂ©rifier la sĂ©curitĂ© des aliments. Les consommateurs doivent avoir accĂšs en temps opportun Ă  des informations claires et fiables sur les risques nutritionnels et les risques de maladie associĂ©s Ă  leurs choix alimentaires. Faire Ă©quipe pour la sĂ©curitĂ©. Les gouvernements, les organismes Ă©conomiques rĂ©gionaux, les organisations des Nations unies, les agences de dĂ©veloppement, les organisations commerciales, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les entitĂ©s du secteur privĂ© doivent travailler ensemble sur les questions de sĂ©curitĂ© alimentaire. *** Depuis 2019, chaque 7 juin sera l’occasion de mettre en Ă©vidence les avantages d’une alimentation sĂ»re. La JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments JISSA a Ă©tĂ© adoptĂ©e par l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des Nations unies en dĂ©cembre 2018. La deuxiĂšme Ă©dition de la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments vise Ă  attirer l’attention et Ă  inspirer l’action en matiĂšre de prĂ©vention, de dĂ©tection et de gestion des risques d’origine alimentaire, contribuant ainsi Ă  la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, Ă  la santĂ© humaine, Ă  la prospĂ©ritĂ© Ă©conomique, Ă  l’agriculture, Ă  l’accĂšs aux marchĂ©s, au tourisme et au dĂ©veloppement

LaSST, c’est l’affaire de tous !? Ce guide vise Ă  soutenir les milieux de travail pour la prise en charge de la santĂ© et la sĂ©curitĂ© du travail (SST) dans leur milieu de travail. Les mesures proposĂ©es doivent ĂȘtre adaptĂ©es par les diffĂ©rents secteurs Ă  leurs spĂ©cificitĂ©s pour garantir que les activitĂ©s puissent reprendre ou continuer dans les conditions les plus sĂ»res et les
SĂ©curitĂ©/vigilance PubliĂ© le 08/01/19 et mis Ă  jour le 11/04/22 Il est le garant d’un cadre de vie plus sĂ©curisĂ©. Retour sur le Conseil Local de SĂ©curitĂ© et de PrĂ©vention de la DĂ©linquance qui s’est tenu le vendredi 9 novembre en salle du Conseil municipal. Trente personnes ont pris part au dernier Conseil Local de SĂ©curitĂ© et de PrĂ©vention de la DĂ©linquance CLSPD qui s’est dĂ©roulĂ© le vendredi 9 novembre. Chaque annĂ©e, cette sĂ©ance plĂ©niĂšre rĂ©unit les acteurs de la prĂ©vention et de la lutte contre la dĂ©linquance et permet de faire le bilan des avancĂ©es en la matiĂšre. PrĂ©sidĂ© par le Maire, le CLSPD est une instance de pilotage et de concertation entre institutions et organismes publics et privĂ©s qui permet d’affiner la stratĂ©gie mise en place pour amĂ©liorer le cadre de vie de la commune en identifiant les diffĂ©rents phĂ©nomĂšnes d’insĂ©curitĂ© dans les transports, les Ă©tablissements scolaires et dans l’habitat social. Ce dernier CLSPD a ainsi rassemblĂ© la Vice-Procureur de la RĂ©publique au Parquet de Pontoise, la Commissaire de Police d’Ermont, les renseignements territoriaux, le Sous-PrĂ©fet d’Argenteuil, les bailleurs sociaux Domaxis, BatigĂšre en IDF ex SOVAL, Val-d’Oise Habitat, Erilia et Osica, les chefs d’établissements scolaires, les cars Lacroix, la Mission locale de Val Parisis ou encore les Ă©lus Patrick BoullĂ©, Jean-Hubert Montout, Sandrine Le Moing et Monique Mavel-Maquenhem. Pour la premiĂšre fois cette annĂ©e, l’institution Jeanne-d’Arc y Ă©tait reprĂ©sentĂ©e. La sĂ©curitĂ© est une prioritĂ© sur Franconville, c’est l’une des premiĂšres villes Ă  avoir dĂ©veloppĂ© la vidĂ©oprotection », a rappelĂ© Patrick BoullĂ©, maire-adjoint. Pour rappel, le parc vidĂ©o de Franconville compte actuellement 39 camĂ©ras. Cette rĂ©union annuelle est nĂ©cessaire et je fĂ©licite Franconville, prĂ©curseur en matiĂšre de prĂ©vention de la dĂ©linquance, pour la collaboration qui s’y fait Ă  tous les niveaux et pour l’image d’unitĂ© que cela renvoie », appuie Philippe Malizard, Sous-prĂ©fet d’Argenteuil. Depuis 2015, la ville a pris des mesures fortes pour anticiper les nouveaux phĂ©nomĂšnes de dĂ©linquance et les endiguer augmentation des effectifs voir encadrĂ©, armement de la Police Municipale en catĂ©gorie B1, augmentation de l’amplitude horaire des patrouilles municipales, crĂ©ation de la brigade motorisĂ©e en mai 2017 puis de la brigade Ă©questre en mai 2018, renforcement de la collaboration entre la Police Nationale et la Police Municipale. Nous avons multipliĂ© ces deux derniĂšres annĂ©es nos modes de dĂ©placements pour amĂ©liorer la mobilitĂ© des agents dans le cadre de nos actions de prĂ©vention et Ă©galement faciliter les interpellations, explique Patrick BoullĂ©. PrĂ©vention, proximitĂ© et rĂ©pression » La brigade Ă©questre, au-delĂ  de pouvoir aller partout, est un vecteur de communication avec la population. Elle permet de lutter contre les atteintes aux biens et de renforcer la sĂ©curitĂ© aux abords des groupes scolaires. Nous sommes une vraie police de proximitĂ© au quotidien et luttons contre tous les sentiments d’insĂ©curitĂ©. Nos trois mots d’ordre Ă  Franconville sont prĂ©vention, proximitĂ© et rĂ©pression. » Depuis 2014, le nombre de cambriolages a baissĂ© sur la circonscription. La brigade motorisĂ©e mise en place en 2017 a, par ailleurs, permis de mettre fin aux rodĂ©os sauvages. Le chef de la Police Municipale a Ă©galement annoncĂ© le renouvellement complet du systĂšme de vidĂ©oprotection. Les camĂ©ras datent de 2011. Il est nĂ©cessaire que nous nous dotions de camĂ©ras derniĂšre gĂ©nĂ©ration pour suivre au mieux les faits de dĂ©linquance. » En parallĂšle du CLSPD, la municipalitĂ© met rĂ©guliĂšrement des groupes de travail en place afin de rĂ©pondre aux attentes sĂ©curitaires de chaque quartier et des diffĂ©rents partenaires. Des mesures ont Ă©galement Ă©tĂ© prises dans les transports routiers STIF-LACROIX mĂ©diation, actions de sensibilisation, contrĂŽles/verbalisation de la fraude, prĂ©vention situationnelle. De mĂȘme dans les transports ferroviaires SNCF identification des groupes de perturbateurs, renforcement des opĂ©rations de contrĂŽle par les diffĂ©rents services de police, mise en place d’un arrĂȘtĂ© municipal anti-attroupement. Des actions de prĂ©vention sont proposĂ©es chaque annĂ©e dans les Ă©coles et les bailleurs sociaux travaillent en partenariat avec les services de Police et la Politique de la ville. Parce que, comme l’a soulignĂ© le maire, Xavier Melki La sĂ©curitĂ© et la prĂ©vention de la dĂ©linquance relĂšvent de la responsabilitĂ© collective, c’est l’affaire de tous ». Augmentation des effectifs En 2015 13 agents + 8 ASVP En 2016 15 agents + 8 ASVP En 2017 19 agents + 6 ASVP En 2018 23 agents + 6 ASVP PrĂ©vision 2019 25 agents + 6 ASVP Le CSU inaugurĂ© Le Centre de Supervision Urbain CSU qui avait Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© administrativement vers l’agglomĂ©ration Val Parisis en 2015 a dĂ©mĂ©nagĂ© le 23 novembre au niveau de l’ancien site d’Arline oĂč siĂšge Ă©galement la Police MutualisĂ©e intercommunale. Pour rappel, le parc vidĂ©o de Franconville compte actuellement 39 camĂ©ras. Un renouvellement des camĂ©ras nomades a Ă©tĂ© opĂ©rĂ© l’annĂ©e derniĂšre et le parc des camĂ©ras fixes sera progressivement remplacĂ© afin d’acquĂ©rir peu Ă  peu des camĂ©ras de derniĂšre gĂ©nĂ©ration. En 2019, vingt camĂ©ras supplĂ©mentaires vont ĂȘtre installĂ©es et un rĂ©ajustement d’implantation sera alors envisagĂ© en fonction des retours d’expĂ©riences. Le CSU est unique sur le territoire et permettra le visionnage de l’ensemble des camĂ©ras dĂ©ployĂ©es dans les quinze communes de Val Parisis. Au total, prĂšs de 400 camĂ©ras seront installĂ©es sur l’ensemble du pĂ©rimĂštre d’ici 2019, rĂ©parties sur des sites dĂ©terminĂ©s au prĂ©alable avec les acteurs de la sĂ©curitĂ© par exemple aux abords des gares, des Ă©tablissements scolaires et des commerces, dans les centres villes et les quartiers sensibles.
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Affiche- La santĂ© et sĂ©curitĂ©, c'est l'affaire de tous - pictogramme (version espagnole) Illustration des meilleures pratiques en santĂ© et sĂ©curitĂ© du travail pour Ă©viter des blessures potentielles dans le secteur de l'agriculture. Ali Kahlane plaide pour "La prise en compte de la cyber sĂ©curitĂ© par l'ensemble des acteurs, au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen. "A travers le monde, pas une seule entreprise n’est Ă  l’abri d’une cyber-attaque. En quoi consiste cette menace ?Une cyberattaque est un acte de malveillance qui peut cibler diffĂ©rents dispositifs informatiques. Cela peut ĂȘtre des ordinateurs, des serveurs ou toute intelligence matĂ©rielle et numĂ©rique tels que les smartphones ou tout objet connectĂ© Ă  Internet ou pas d’ailleurs. Il existe en fait quatre types de risques ou menaces la cybercriminalitĂ©, la dĂ©stabilisation, l’espionnage et le sabotage. Ces cyber risques affectent directement ou indirectement aussi bien les particuliers que les administrations et les et son pendant visible, le World Wide Web qui a beaucoup Ă©voluĂ© au fil des ans, n’est plus le gentil rĂ©seau que l’on connaissait Ă  ses dĂ©buts. TrĂšs vite de nombreux mĂ©chants personnages ont jouĂ© sur ses vulnĂ©rabilitĂ©s pour attaquer les ordinateurs et tout ce qui s’y connecte. Dans un premier temps c’était surtout pour rĂ©cupĂ©rer des donnĂ©es sensibles auprĂšs d’utilisateurs imprudents, c’était la plus commune des menaces. Dans la plupart du temps, tout cela se faisait sans que la victime s’en rende compte, jusqu'Ă  ce qu'il soit trop tard. Mais ça c’était avant. 60% des problĂšmes de cybersĂ©curitĂ© dans l'entreprise, dans le monde viennent de l'intĂ©rieurComment ces pirates de l’informatique arrivent-ils Ă  s’infiltrer aussi facilement dans l’entreprise via le net?L’Internet est un endroit fantastique pour communiquer pour s’informer ainsi que pour travailler. C’est l’une des innovations humaines qui a le plus radicalement changĂ© jusqu’à notre façon de vivre. La quasi totalitĂ© de la population mondiale s’y connecte. Sur les 7,76 milliards d'humains sur Terre en 2020, prĂšs de 61% utilisent Internet alors que 65% d’entre eux possĂšdent un tĂ©lĂ©phone un an, le nombre d'utilisateurs du web s'est accru de prĂšs de 10 %, tandis que la population mondiale n'a progressĂ© que de 1 %. Les rĂ©seaux sociaux ont eux aussi vu leur public s'accroĂźtre et comptent plus de 3,8 milliards d'adeptes, soit 49 % de l'humanitĂ©, dont plus de 50% y est connectĂ© nuit et jour. L’AlgĂ©rie n’est pas en reste avec ces plus plus de 26 millions de connectĂ©s Ă  Internet 59% de la population dont 22 millions utilisent les rĂ©seaux sociaux avec 95% sur de connectĂ©s Ă  Internet et d’utilisateurs actifs sur les rĂ©seaux sociaux est un terrain propice pour tous les maliciels qui grouillent dans le cyber espace tel un capharnaĂŒm de germes et de bactĂ©ries infectieux, numĂ©riques. Tout cela rend tout ordinateur ou dispositif connectĂ© vulnĂ©rable. L’entreprise, encore plus que tout le reste Ă  cause des dĂ©gĂąts que cela peut occasionner en trĂšs peu de temps et Ă  moindre coĂ»t. Nous savons que 60% des problĂšmes de cybersĂ©curitĂ© dans l’entreprise, dans le monde viennent de l’intĂ©rieur. Aucun appareil, aucune entreprise n'est Ă  l'abri!En AlgĂ©rie, cela peut dĂ©passer les 80%. Cette diffĂ©rence de taux est dĂ» au peu de sensibilisation des utilisateurs aux risques qu’ils comportent, Ă  la mĂ©connaissance ou Ă  la non utilisation des outils de protection et de prĂ©caution aussi bien actifs que passifs. Mais pas que car, paradoxalement, l’instabilitĂ© de notre connexion, la faiblesse du dĂ©bit internet associĂ©es au peu de numĂ©risation des entreprises algĂ©riennes concourent Ă  l’augmentation des cyberattaques et exacerbent la vulnĂ©rabilitĂ© de nos entreprises, qui ne sont pas ou trĂšs peu protĂ©gĂ©s face aux maliciels de tout bord. Les menaces de cyberattaques sont rĂ©elles et de plus en plus dangereuses, causant de grands peut aller du fait des employĂ©s indĂ©licats ou imprudents dont la nĂ©gligence est exploitĂ©e pour subtiliser des codes d’accĂšs et compromettre des donnĂ©es ou des systĂšmes d’informations jusqu’aux attaques en bonne et due forme qui seraient effectuĂ©es par des professionnels pour eux-mĂȘmes ou pour le compte de quelqu’un qui les rĂ©tribuent pour se sont les types de menaces auxquelles nous sommes confrontĂ©s Il existe de nombreuses menaces malveillantes pouvant se dĂ©clencher ou s’installer Ă  tout moment et dans toutes les situations. Pour faire simple, on peut identifier au moins une dizaine de types menaces de cyberattaques pouvant ĂȘtre utilisĂ©es soit par des personnes rĂ©elles soit par des robots ou bots ou la combinaison des AlgĂ©rie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la mĂ©connaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutĂ©s Ă  l'instabilitĂ© rĂ©currente du rĂ©seau InternetEn AlgĂ©rie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la mĂ©connaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutĂ©s Ă  l'instabilitĂ© rĂ©currente du rĂ©seau InternetCes menaces sont les spams, Advertisement et Software ou publiciel, le cheval de Troie, les virus, les vers, le phishing ou hameçonnage, les logiciels espions ou spyware, les keyloggers ou encore KeyGrapbber, le pharming et, enfin le logiciel de sĂ©curitĂ© de type Escroc ou Rogue security software Chacune de ces menaces est expliquĂ©e en dĂ©tail dans un encartĂ©.En AlgĂ©rie l’entreprise est-elle outillĂ©e pour rĂ©pondre Ă  ces attaques? Y a-t-il une comprĂ©hension du risque par le chef d’ Loi n° 18-07 du 10 juin 2018 relative Ă  la protection des personnes physiques dans le traitement des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel qui a Ă©tĂ© promulguĂ©e le 20 janvier 2020, complĂšte et renforce l’arsenal juridique qui existait jusqu’à prĂ©sent pour encadrer le domaine numĂ©rique et ses environnements. C’est un bon dĂ©but pour mettre de l’ordre et mieux protĂ©ger le cyberespace ailleurs, nous devons reconnaĂźtre une carence manifeste de statistiques sur les dommages qu’occasionnent les cyber attaques et les maliciels d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale dans notre pays. Le manque d’implication de l’Etat dans la sensibilisation Ă  la cybersĂ©curitĂ© et surtout l’absence d’une politique nationale de cybersĂ©curitĂ© rend toute analyse difficile. Il appartient maintenant aux institutions interpellĂ©s dans cette Loi de passer Ă  l’action pour mettre en place les dispositions et dispositifs prĂ©vus. Notamment l’installation de celui relatif Ă  la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information qui prĂ©voit notamment l'Ă©laboration d'une stratĂ©gie nationale en matiĂšre de sĂ©curitĂ© des SystĂšmes d'information, incluant des investigations numĂ©riques en cas d'attaques cybernĂ©tiques ciblant les institutions nationales y compris les entreprises privĂ©s et publiques. Sans oublier la mise en opĂ©ration le plus rapidement possible de l’AutoritĂ© nationale de protection des donnĂ©es personnelles. Des outils dont l’AlgĂ©rie avait Ă©normĂ©ment besoin pour mieux protĂ©ger et promouvoir son Ă©conomie numĂ©rique une demande en la matiĂšre de la part du chef d’entreprise algĂ©rienne? De mĂȘme les compagnies d’assurance proposent-elles ce produit?Il faut poser la question Ă  un professionnel des Assurances pour la deuxiĂšme partie de votre question. Par contre je peux dire que la confiance et la cybersĂ©curitĂ© sont les deux piliers de l'entreprise de demain. Nous sommes dans une Ă©conomie mondialisĂ©e, il est important de souligner que tout au long de l'histoire Ă©conomique, c'est bien la confiance qui a contribuĂ© Ă  favoriser l'Ă©closion de l'Ă©conomie marchande. C'est donc la prise en compte de la cybersĂ©curitĂ© par l'ensemble des acteurs - au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen - qui assurera l'Ă©mergence de l’économie numĂ©rique au niveau d’un pays. L’AlgĂ©rie n’a jamais Ă©tĂ© aussi proche d’une bonne fenĂȘtre de tir pour rĂ©ussir sa transition recueillis par Meriem Chibane de la revue CNAPubliĂ© la premiĂšre fois par la Revue du Conseil National des Assurances CNA, dans son dossier Cyber-Assurances, Page 18-21, mars 2020. PĂ©riphĂ©riquedangereux : pourquoi la sĂ©curitĂ© de l’impression est l’affaire de tous les revendeurs. PĂ©riphĂ©rique dangereux : pourquoi la sĂ©curitĂ© de l’impression est l’affaire de tous les revendeurs . mars 21, 2022. L’enjeu n’a jamais Ă©tĂ© aussi important pour sensibiliser les clients aux pratiques de l’impression non sĂ©curisĂ©es. » Une imprimante

Et de trois ! Le dĂ©putĂ© Thomas Gassilloud poursuit sa sĂ©rie de dĂ©bats publics, dans la 10e circonscription de Lyon. Objectif donner la parole aux citoyens et renforcer le lien entre le local et le national ». AprĂšs l’éducation Ă  Saint-Genis-Laval puis le numĂ©rique Ă  CharbonniĂšres-les-Bains, le comitĂ© de circonscription animĂ© par Fabienne Tirtiaux, a rĂ©uni la population Ă  l’espace culturel Éole, Ă  Craponne. À l’ordre du jour la sĂ©curitĂ© au quotidien, un thĂšme sensible et ĂŽ combien d’actualitĂ©, aprĂšs cette terrible attaque au couteau perpĂ©trĂ©e quelques jours auparavant Ă  Paris. Si la rĂ©union citoyenne a Ă©tĂ© suivie, dans la salle, par quelque 160 personnes, le dĂ©bat continue en ligne, sur la page facebook de Thomas Gassilloud oĂč l’enregistrement complet a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© visionnĂ© prĂšs de 800 fois. Face Ă  la menace terroriste omniprĂ©sente, la sĂ©curitĂ© nationale est devenue l’une des prioritĂ©s de l’État. Pas un hasard si le ministĂšre de l’IntĂ©rieur est l’un des rares Ă  voir son budget augmenter +9%, tient Ă  prĂ©ciser, d’emblĂ©e, Thomas Rudigoz, dĂ©putĂ© du RhĂŽne et membre de la commission des lois. Tout en rappelant, au passage, la rĂ©activitĂ© du gouvernement en la matiĂšre, avec notamment la mise en application de la loi Silt SĂ©curitĂ© intĂ©rieure et lutte contre le terrorisme qui a fait suite Ă  l’État d’urgence prorogĂ© jusqu’en novembre dernier, un Ă©tat exceptionnel qui ne pouvait plus durer », explique l’élu ; le vote d’un autre texte sur l’assignation Ă  rĂ©sidence et les visites domiciliaires » et la dĂ©cision de recruter, d’ici Ă  la fin du mandat d’Emmanuel Macron, 10 000 hommes et femmes pour complĂ©ter les effectifs de police et de gendarmerie. Depuis 15 mois, 22 attentats ont Ă©tĂ© dĂ©jouĂ©s », souligne-t-il. Pas de quoi, pourtant, rassurer les citoyens. Dans la salle, l’un d’eux s’interroge sur le nombre de fichĂ©s S »  Cinq cents, souffle-t-on, dans le dĂ©partement du RhĂŽne. A la tribune, le maire de Craponne, Alain Galliano, vice-prĂ©sident de la mĂ©tropole de Lyon, serait d’avis d’en connaĂźtre les identitĂ©s sur sa commune de 12 000 habitants. Je comprends cette demande, c’est un vrai dĂ©bat », reconnaĂźt Thomas Rudigoz. Reste Ă  savoir comment une telle rĂ©vĂ©lation serait apprĂ©hendĂ©e par un Ă©lu, compte tenu des peurs qu’elle peut susciter. Le risque Ă©tant qu’un ou une maire un peu fĂ©brile, panique et crĂ©e plus d’émois et d’inquiĂ©tudes dans sa commune », relĂšve-t-il. Comme le rappelle le colonel Thibault Lagrange, commandant du groupement de gendarmerie du RhĂŽne, un fichĂ© S est une personne signalĂ©e dans un cadre prĂ©ventif du risque terroriste ». Par dĂ©finitions, les fichĂ©s S peuvent, par leur activitĂ© ou leur entourage, reprĂ©senter un risque de trouble Ă  l’ordre public ou une atteinte Ă  la sĂ»retĂ© de l’État. Dans ce fichier, on estime la dangerositĂ© d’humains, or cette estimation est humaine et n’est donc, par essence, pas parfaite », tempĂšre le colonel. A la question de rendre public un tel fichier, Thomas Gassilloud se montre, avec le recul, dubitatif, l’intĂ©rĂȘt de la fiche S Ă©tant que l’individu ne sait pas qu’il est sous surveillance », commente-t-il. A l’échelle locale, Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle – l’une des deux compagnies avec celle de Givors, dans la 10e circonscription de Lyon qui compte 6 brigades territoriales – dresse un Ă©tat des lieux de la dĂ©linquance. MĂȘme si le territoire reste plutĂŽt privilĂ©giĂ©, l’insĂ©curitĂ© se traduit par une dĂ©linquance au spectre trĂšs large », de la petite dĂ©linquance du quotidien Ă  la fermeture, il y a trois ans, d’une mosquĂ©e salafiste sur le secteur de l’Arbresle, rouverte depuis avec un imam modĂ©rĂ©. En 2017, le nombre d’interventions variait selon les communes, entre 800 Ă  Saint-Laurent-de-Chamousset, et 2160 Ă  Saint-Genis-Laval, avec, un point noir dans l’Ouest lyonnais les cambriolages ». Le maire de Craponne, le reconnaĂźt Les incivilitĂ©s, la petite dĂ©linquance, les cambriolages ou les vols Ă  l’arrachĂ©e, arrivent chez nous depuis une quinzaine d’annĂ©es », lĂąche-t-il, amer. Dans ce contexte, la commune a notamment investi 400 000 € pour rapprocher sa police municipale dans le centre-ville et a fait installer 16 camĂ©ras fixes et 4 mobiles. Nous travaillons Ă©troitement avec la gendarmerie », confirme le maire. Le commandant Rigal l’assure la vidĂ©oprotection apporte une aide dans la rĂ©solution des affaires », pour repĂ©rer par exemple un numĂ©ro d’immatriculation. Pour autant, de l’avis des intervenants, la sĂ©curitĂ© reste l’affaire de tous ». Aussi, la gendarmerie lance-t-elle un appel, par la voix du commandant de la brigade de l’Arbresle On a besoin de la population vos yeux et vos oreilles nous permettent d’orienter nos recherches, insiste-t-il. N’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter ». Le mieux Ă©tant d’appeler directement le 17, lorsque vous repĂ©rez un comportement suspect ». Les dispositifs de participation citoyenne c’est le cas Ă  Craponne, comme le rappelle le maire, avec 20 rĂ©fĂ©rents dans 9 quartiers de la commune » entrent pleinement dans cette dĂ©marche. Nous sommes aussi sur le point de crĂ©er, Ă  dĂ©faut d’un Conseil local de sĂ©curitĂ© et de prĂ©vention de la dĂ©linquance CLSPD, un comitĂ© de veille de la dĂ©linquance avec toutes les parties prenantes dont une synergie entre la police municipale et la gendarmerie pour assurer le bien vivre ensemble », poursuit M. Galliano. Le lancement rĂ©cent de la police de sĂ©curitĂ© du quotidien par GĂ©rard Collomb, ministre de l’IntĂ©rieur, a pour objectif de recrĂ©er cette proximitĂ© avec la population, les commerçants, les Ă©lus, les partenaires, bailleurs sociaux et autres
 », explique Thomas Rudigoz. Dans le RhĂŽne, en zone police, le quartier des Minguettes, Ă  VĂ©nissieux, et celui de Mermoz, Ă  Lyon, ont Ă©tĂ© retenus par le gouvernement, ainsi que quelques autres dans le 8e arrondissement. Des quartiers avec de grosses problĂ©matiques de dĂ©linquance la volontĂ© est de renforcer ici, les effectifs de police avec, aussi, des moyens supplĂ©mentaires en matiĂšre d’équipements modernes pour l’ensemble des Ă©quipages. » Les bailleurs sociaux se doivent, eux aussi, de jouer un rĂŽle actif, pour prĂ©server la tranquillitĂ© de nos rĂ©sidents et leur assurer un environnement paisible », tĂ©moigne CĂ©line Naquin, chef du projet sĂ»retĂ© Ă  Lyon MĂ©tropole Habitat. A l’échelle du Grand Lyon, quatorze bailleurs se mobilisent au sein d’un dispositif visant Ă  amĂ©liorer la tranquillitĂ© de leurs locataires. Cela passe par la mise en place d’agents de mĂ©diation et d’agents de sĂ©curitĂ© dans des rĂ©sidences ciblĂ©es ; des agences de proximitĂ© ; des actions de dĂ©veloppement social et de prĂ©vention », Ă©numĂšre-t-elle. Mais aussi des rĂ©amĂ©nagements, dans les immeubles, des halls traversants ou des recoins plus ou moins sombres
 Dans le Grand Lyon, 4408 intervention ont ainsi Ă©tĂ© menĂ©es l’an dernier. Mais tout cela a un coĂ»t », reconnaĂźt Mme Naquin. En tant qu’acteurs de la sĂ©curitĂ©, les bailleurs sociaux prĂ©conisent des Ă©volutions lĂ©gislatives. Nous avons demandĂ© que le dĂ©lit d’occupation des parties communes, passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amendes, trĂšs difficile Ă  caractĂ©riser et donc Ă  appliquer, bascule en contravention la sanction serait immĂ©diate dĂšs lors que les forces de l’ordre constateraient l’infraction », Ă©voque-t-elle. Autre proposition des bailleurs sociaux obtenir un droit de rĂ©siliation du bail pour des locataires investis dans des trafics de stupĂ©fiants, dans leur rĂ©sidence ou dans leur logement ; ainsi que la possibilitĂ© de dĂ©poser une plainte en cas d’agression d’un collaborateur. Or, aujourd’hui, ils ne le font pas car ils ont peur des reprĂ©sailles, et les bailleurs ne peuvent pas se substituer Ă  eux car ils ne sont pas les victimes directes ». Et de proposer, dans la foulĂ©e, la mise en place de rĂ©fĂ©rents bailleurs » auprĂšs des tribunaux afin de mieux suivre les plaintes, leurs suites judiciaires et de traiter avec eux sur des secteurs relativement sensibles ». Le commandant Rigal se montre pragmatique. Deux tiers des infractions n’ont pas d’auteurs identifiĂ©s. Sur le tiers des infractions avec auteurs identifiĂ©s, moins de la moitiĂ© font l’objet de poursuites. Sur la moitiĂ© des auteurs d’infractions identifiĂ©s et poursuivis, moins de 10% sont incarcĂ©rĂ©s. Des rĂ©ponses alternatives sont apportĂ©es pour tout le reste. Et malgrĂ© tout, les prisons sont pleines
 » De lĂ  Ă  imaginer des stages de rééducation au bon civisme », selon l’expression de Thomas Gassilloud
 Certes, les tribunaux peuvent condamner les petits dĂ©linquants Ă  des travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Mais les procĂ©dures sont longues, avec le sentiment, pour la population, que rien ne se passe », souffle quelqu’un dans l’assistance
 Peut-ĂȘtre faudrait-il simplifier tout cela et permettre aux maires d’infliger des travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral ? », s’interroge Thomas Gassilloud. Le Cdt Rigal rappelle au passage la comparution immĂ©diate », une des rares procĂ©dures judiciaires dans laquelle on a une quasi-immĂ©diatetĂ© de la sanction pĂ©nale par rapport Ă  la commission des faits. Existe aussi le rappel Ă  la loi par officier de police judiciaire le magistrat nous prescrit de rappeler Ă  l’intĂ©ressĂ© ce qu’il encourt en cas de rĂ©cidive ». C’est cette nouvelle forme de petite dĂ©linquance qui crĂ©e ce sentiment d’insĂ©curitĂ© et qui pourrit la vie au quotidien, conclut le maire de Craponne. Comment ramener les auteurs de ces actes sur le droit chemin ? Je suis prĂȘt Ă  leur tendre la main, mais cette main, ils n’en veulent pas ! On n’en peut plus ! » Le service national universel, appelĂ© de ses vƓux par le PrĂ©sident de la RĂ©publique, serait-il l’une des solutions, glisse le dĂ©putĂ© Thomas Gassilloud. Ce sera le mot de la fin
 et peut-ĂȘtre l’objet d’un prochain dĂ©bat ? Mathieu Girandola Les autres questions de l’assistance Comment combattre les armes blanches ? Comment interdire l’arme blanche, alors qu’on en a tous, chez soi ? Le lĂ©gislateur, dans sa grande sagesse, a posĂ© le principe du trouble Ă  l’ordre public », rĂ©pond Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle. En matiĂšre de sĂ©curitĂ© sur internet, comment Ă©viter les escroqueries ? Le thĂšme a fait l’objet d’un prĂ©cĂ©dent dĂ©bat public. Le colonel Lagrange met en garde Internet est un espace de vie exactement comme le monde rĂ©el. Chaque fois que vous vous posez une question sur Internet, demandez-vous comment vous feriez dans le monde rĂ©el. » Autrement dit, ne faites pas sur Internet ce qu’il ne vous viendrait mĂȘme pas Ă  l’idĂ©e de faire dans la vie rĂ©elle
 comme, par exemple, publier des photos de famille dans un magazine ! sic L’état d’urgence a-t-il permis de rĂ©duire le nombre d’armes lourdes circulant en ville ? Des perquisitions ont amenĂ©, dans une minoritĂ© de cas, Ă  la dĂ©couverte d’armes, dont des armes lourdes », reconnaĂźt Olivier Rigal. Quant au trafic d’armes, il se fait Ă  bas bruit, Ă  bas niveau, Ă  trĂšs faible volume on doit saisir en France, une centaine de kalachnikovs par an, c’est relativement faible comparativement au nombre d’armes saisies, entre 5 et 8 000. Le trafic d’armes lourdes est trĂšs difficile Ă  entraver. » Quelle est l’efficacitĂ© des camĂ©ras de vidĂ©oprotection ? La vidĂ©o-protection fonctionne de deux façons, rĂ©pond Olivier Rigal. La premiĂšre avec un opĂ©rateur derriĂšre qui est capable de renseigner Ă  l’instant T, quand les faits se produisent, et donc d’alerter le coĂ»t est important. Ce systĂšme fonctionne trĂšs bien pour les incivilitĂ©s. La deuxiĂšme façon de travailler est celle de l’enregistrement. On ne pourra pas procĂ©der Ă  une interpellation immĂ©diatement mais on va pouvoir rĂ©cupĂ©rer les Ă©lĂ©ments de preuves qui permettront de confondre l’individu et de le sanctionner pĂ©nalement, et cela fonctionne trĂšs bien. Les camĂ©ras sont un apport trĂšs important dans la rĂ©solution d’affaires. » Beaucoup d’automobilistes roulent sans permis et ne sont punis que d’une amende de 800€
 La justice peut prononcer une confiscation du vĂ©hicule, note le commandant Rigal. Mais la sanction effectivement n’est pas immĂ©diate et l’auteur de ce dĂ©lit repartira, avec une convocation en justice pour une date ultĂ©rieure. Une campagne de la PrĂ©vention routiĂšre essaie en ce moment de sensibiliser ces conducteurs sur les consĂ©quences financiĂšres d’un accident causĂ© en cas de dĂ©faut d’assurance ou de permis c’est une consĂ©quence pĂ©cuniaire Ă  vie. Malheureusement, c’est un message qu’on a du mal Ă  faire passer aux dĂ©linquants routiers qui sont totalement hermĂ©tiques Ă  ce sujet. »

Lasécurité au Maghreb est l'affaire de tous - La Nouvelle République
InvitĂ© de l’émission “Ça se passe” de l’ORTM, le ministre de la SĂ©curitĂ© et de la Protection civile, le gĂ©nĂ©ral de division Salif TraorĂ©, a rappelĂ© l’importance de la bonne collaboration entre les populations et les forces de l’ordre pour maintenir la sĂ©curitĂ© et la quiĂ©tude. Comme lui, les deux autres invitĂ©s de l’émission, Pr Mamadou SamakĂ© et Dr Mariam Djibrilla MaĂŻga, ont insistĂ© sur la coopĂ©ration civilo-militaire. Mieux impliquer la population dans sa propre sĂ©curitĂ©. C’est la stratĂ©gie privilĂ©giĂ©e par le ministre de la SĂ©curitĂ© et de la Protection civile, gĂ©nĂ©ral de division Salif TraorĂ©. Samedi, au cours de l’enregistrement de l’émission “Ca se passe” de l’ORTM, il a invitĂ© les Maliens Ă  plus d’implication et de collaboration avec les forces de l’ordre pour maintenir la sĂ©curitĂ© dans les villes et les campagnes. Selon lui, depuis plusieurs annĂ©es, son dĂ©partement Ɠuvre pour une police de proximitĂ© efficace. En plus, le ministĂšre a misĂ© sur une bonne collaboration entre la population et les forces de l’ordre avec l’instauration d’un dialogue intra-communautaire et intercommunautaire, l’instauration des journĂ©es nationales de fĂȘte chez les forces de l’ordre pour faciliter le rapprochement avec la population, etc. “Nous devons savoir que les policiers, gendarmes, gardes ou pompiers sont de nos familles. Ils ne viennent pas d’un autre pays. Ce sont des Maliens qui savent que leur bonheur passe par celui de tous les Maliens. Nous sommes conscients des dĂ©fis et des difficultĂ©s, mais nous devons travailler ensemble pour que nos forces soient efficaces”, a-t-il lancĂ©, insistant sur l’importance de l’information. “Nous devons tous jouer notre rĂŽle d’informateur et de vigile. Nous avons des numĂ©ros vert gratuit que tout le monde peut utiliser”, prĂ©cise-t-il. Dans le cadre du plan de sĂ©curisation intĂ©grĂ©, rappelle le gĂ©nĂ©ral, il y a quatre piliers sĂ©curitĂ©, dĂ©veloppement, gouvernance et communication. “ Dans le cadre du dialogue, pour la dĂ©fense et la sĂ©curitĂ© il nous a Ă©tĂ© demandĂ©, Ă  certains endroits prĂ©cis, d’ouvrir des postes de sĂ©curitĂ© et dorganiser des patrouilles dans ses endroits pour rassurer la population. C’est ainsi que des postes ont Ă©tĂ© créés dans la rĂ©gion de Mopti et Ă  SĂ©gou. Beaucoup de choses sont faites, mĂȘme si nous continuerons Ă  rĂ©flĂ©chir. Car, il y a encore des actes d’insĂ©curitĂ© qui cachent tous ces efforts consentis”. [A lire] LE GENERAL DE DIVISION SALIF TRAORE, MINISTRE DE LA SECURITE ET DE LA PROTECTION CIVILE Nos seuls objectifs trouver des ressources et des stratĂ©gies » AprĂšs avoir reconnu les efforts des autoritĂ©s dans le cadre de la sĂ©curisation, Pr Mamadou SamakĂ© et Dr Mariam D. MaĂŻga, ont demandĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© civile de pleinement jouer son rĂŽle de veille et d’informateur. “Il y a vraiment le besoin d’une prise de conscience au niveau national pour que tout le monde sache que nous n’avons que ce pays. Nous devons tous accompagner les forces de l’ordre et que ceux-ci aussi travaillent en respectant bien la dĂ©ontologie”, a souhaitĂ© Pr SamakĂ©. “Il faut aussi impliquer tous les leaders, les chauffeurs de taxi, etc, dans le processus d’information de la police”, propose Dr MaĂŻga. L’émission “Ca se passe” est organisĂ©e par l’ORTM chaque mois pour informer les Maliens de l’actualitĂ© et des rĂ©alitĂ©s du pays. Elle est animĂ©e par Mark Coulibaly. 20 octobre 2019
Chacunest en droit d’avoir accĂšs Ă  des aliments sĂ»rs et nutritifs en suffisance. Or, encore aujourd’hui dans le monde, prĂšs d’une personne sur dix tombe malade aprĂšs avoir consommĂ© des aliments contaminĂ©s. Si les aliments ne sont pas salubres, les enfants ne sont pas en mesure d’apprendre, les adultes ne sont pas en mesure de travailler, et aucun
, RĂ©gion du [...] Golfe, vient rappeler aux pĂȘcheurs que la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous. , Gulf Region, wishes to remind fishers that safety is everyone's business. La sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous, avec des intĂ©rĂȘts et des responsabilitĂ©s [...]partagĂ©s. Security concerns everyone; it is a matter of shared interests [...]and shared responsibilities. La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, depuis l'entrepreneur [...]qui travaille sur le chantier jusqu'Ă  l'employĂ© en poste dans [...]les bureaux de la pipeliniĂšre. From the contractor working in the field to the pipeline [...]company employees in a downtown office tower, safety is everyone's responsibility. Pour Mobilegov, la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous les prestataires de service [...] tout utilisateur d'un service sĂ©curisĂ© doit ĂȘtre [...]authentifiĂ© Ă  la fois par ce qu'il connaĂźt son code PIN et par ce qu'il possĂšde un objet matĂ©riel. To Mobilegov, security is every service providers' business each secured service [...]user need to be authentified by what he knows [...]its PIN code and by what he holds a piece of hardware. La sĂ©curitĂ© est l'affaire de Implementing a security Enfin, une nouvelle campagne d'affichage est [...] dĂ©ployĂ©e dans l'ensemble du [...] Groupe pour interpeler et sensibiliser les Ă©quipes, en rappelant que la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous. Finally, a new poster campaign is rolled out [...] group-wide to raise awareness among our teams, reminding them that safety is everybody's concern. De mĂȘme, les responsabilitĂ©s en ce qui concerne [...] la sĂ©curitĂ© ont Ă©tĂ© dĂ©finies [...] Ă  tous les niveaux de la sociĂ©tĂ© pour nous assurer que la sĂ©curitĂ© soit l'affaire de tous. Also, safety responsibilities have been set from [...] the top down to make sure that, throughout the whole company, safety is everyone's business. La sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous. Safety is everyone's business. Selon nous, chaque personne a des responsabilitĂ©s diffĂ©rentes, mais la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous et chacun. From our standpoint, each person has different responsibilities, but safety is everyone's responsibility. arce que la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous et parce que [...]le respect de rĂšgles d'hygiĂšne strictes est un prĂ©alable Ă  toute [...]activitĂ© agroalimentaire, le Groupe Doux travaille en permanence Ă  l'amĂ©lioration des conditions d'hygiĂšne et de sĂ©curitĂ© dans l'entreprise et Ă  la formation et la sensibilisation de ses salariĂ©s. ince safety is everybody's business and since compliance [...]with strict hygiene rules is a precondition for any agrifood activity, [...]the Groupe Doux is constantly working to improve health and safety conditions within the company, while training up its employees and raising their awareness. La sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous police, autoritĂ©s, associations, acteurs du secteur privĂ© mais aussi [...]des citoyens. Everybody [...] must get involved in security police, authorities, associations, private sector and, of course, the citizens. La sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous et c'est en travaillant [...]en Ă©quipe que nous pourrons changer les choses et amĂ©liorer la [...]sĂ©curitĂ© des gens que nous soignons. Safety belongs to all of us and only through a [...]team approach will we make any impact on the lives of those for whom we care. La sĂ©curitĂ©, c'est l'affaire de tous Ă  l'Halloween! Safety on Halloween - Not Just Kids' Stuff, Halifax, Parce que la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous, ces conventions seront gĂ©nĂ©ralisĂ©es Ă  l'ensemble des sites du Groupe [...]Doux en France d'ici Ă  la fin de l'annĂ©e 2009. Since safety is something which concerns everyone, these agreements will be rolled out over all the Doux Sites [...]in France between now and the end of 2009. Comme la QualitĂ©, la SĂ©curitĂ© est l'affaire de Safety like Quality is everybody's responsibility Prenez en charge votre sĂ©curitĂ© [...] et celles de vos collĂšgues de travail, la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous ! Take charge of your safety and those of your colleagues, safety concerns all us! DJL prĂŽne la sĂ©curitĂ© de ses mĂ©thodes de travail et le [...] dĂ©veloppement d'attitudes qui prĂ©servent un milieu sĂ»r et efficace. [...] La santĂ© et et la sĂ©curitĂ©, c'est l'affaire de tous. Construction DJL promotes health and safety in her [...] operating procedures and through the development of attitudes that [...] promote the maintenance of a safe and efficient workplace. La sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous. Security is the responsibility of everyone. La sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous les jours et [...]engage la responsabilitĂ© de tous. Safety is a permanent concern and involves everybody's [...]responsibility. Accueil > [...] Nouvelle-Écosse > Salles des nouvelles > La sĂ©curitĂ©, c'est l'affaire de tous Ă  l'Halloween! Home > Nova Scotia > Newsroom > Safety on Halloween - Not Just Kids' Stuff, Halifax, L'environnement et la sĂ©curitĂ©, c'est l'affaire de tous ! Environment and safety are everyone's business ! La campagne s'adresse directement aux PME en [...] leur dĂ©livrant un message fort [...] La santĂ© et la sĂ©curitĂ© sont l'affaire de tous. Elles sont importantes [...]pour vous et votre entreprise! It's good for you and good for business! L'Union europĂ©enne considĂšre que la sĂ©curitĂ© nuclĂ©aire est l'affaire de tous, et pas seulement des États dotĂ©s des plus [...]grands programmes nuclĂ©aires. The European Union believes that nuclear security is a matter of concern for all States and is not limited to those with [...]large nuclear programmes. La sĂ©curitĂ© des piscines est l'affaire de tous, notamment les [...]consommateurs, les fabricants, les propriĂ©taires et les installateurs, [...]les sociĂ©tĂ©s de maintenance et les responsables de la santĂ© publique. Pool safety is a responsibility shared by many, including consumers, [...]manufacturers, owners and installers, maintenance companies, and public health officials. À Turbomeca, la sĂ©curitĂ© et la protection de l'environnement sont l'affaire de tous et constituent [...]une vĂ©ritable source de progrĂšs. Their sound management is a real source of progress for Turbomeca, emphasising the values it upholds as [...]a corporate citizen. Selon lui, la crise mondiale de l'emploi est l'une des plus grandes menaces pour notre sĂ©curitĂ© aujourd'hui et doit ĂȘtre l'affaire de tous. According to him, the international labour crisis is one of the greatest current security threats and should be everybody's business. La sĂ©curitĂ© de l'information n'est donc plus le fief exclusif des services de renseignements et de sĂ©curitĂ©, mais bien l'affaire de tous. Consequently, information security is no longer the sole preserve of intelligence and security services, but is everyone's business. Nous avons une lĂ©gislation, et je pense qu'elle [...] est bonne, mais la sĂ©curitĂ©, Monsieur le PrĂ©sident, est une affaire de personnes, en [...]mer aussi. We have legislation - and I [...] believe we have laid down sound legislation - but safety, including at sea, is man-made. La vĂ©ritĂ©, c'est que le premier [...] ministre a manquĂ© de jugement dĂšs le [...] dĂ©part en tentant de minimiser toute l'affaire alors que la sĂ©curitĂ© d'État Ă©tait en jeu. The truth is that the Prime Minister showed a lack of judgment from the [...] very beginning by seeking to downplay the matter when national security was at issue. Il n'est pas nĂ©cessaire d'imposer des tests de sĂ©curitĂ© supplĂ©mentaires pour tous les additifs alimentaires, mais il faut garder en mĂ©moire cette affaire lorsqu'il s'agit de la sĂ©curitĂ© des additifs [...]alimentaires. Not all food additives may need to pass the extra safety tests, but this case must be considered when regulating food additive safety.
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