CĂ©rĂ©moniecommĂ©morative du 5 dĂ©cembre. La journĂ©e nationale d’hommage aux « morts pour la France » pendant la guerre d’AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la Tunisie a Ă©tĂ© instaurĂ©e en 2003. En cette annĂ©e 2015, elle a rĂ©uni au mĂ©morial d’Afrique française du nord une centaine de personnes, issues principalement du monde La cĂ©rĂ©monie de commĂ©moration pour la journĂ©e nationale d'hommage aux morts pour la France» pendant la guerre d'AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la Tunisie aura lieu le mardi 5 dĂ©cembre, Ă  15 h 30, devant le monument aux morts de Foulayronnes. Au programme, montĂ©e des couleurs, lecture des messages, dĂ©pĂŽts de gerbes, minute de silence, Marseillaise». La population est cordialement invitĂ©e. La cĂ©rĂ©monie se clĂŽturera par le salut aux porte-drapeaux. Cette journĂ©e d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la Tunisie a Ă©tĂ© instaurĂ©e par le dĂ©cret du 26 septembre 2003. Elle a donnĂ© lieu Ă  une cĂ©rĂ©monie officielle Ă  Paris le 5 dĂ©cembre 2013 en prĂ©sence Kader Arif, ministre dĂ©lĂ©guĂ© auprĂšs du ministre de la DĂ©fense chargĂ© des Anciens Combattants, quai Branly devant le mĂ©morial national de la guerre d'AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Loto des chasseurs. La sociĂ©tĂ© de chasse foulayronnaise organise un loto ce vendredi 1er dĂ©cembre, dans la salle des fĂȘtes. Parmi les nombreux lots Ă  gagner filets garnis, volailles, canards gras avec et sans foie, 600 € de chĂšques cadeaux. 8 parties. 1 € le carton, 10 € les douze cartons. Buvette, cafĂ©, crĂȘpes. Guerred'AlgĂ©rie. modifier. Le massacre d'Oran ou massacre du 5 juillet 1962, se dĂ©roule Ă  Oran en AlgĂ©rie, le jour indiquĂ©, trois mois et demi aprĂšs la signature des accords d'Évian mettant fin Ă  la guerre d'AlgĂ©rie, deux jours aprĂšs la reconnaissance officielle a de l’indĂ©pendance, et quelques heures avant sa proclamation. Ce dimanche s’est dĂ©roulĂ©e la cĂ©rĂ©monie commĂ©morant la JournĂ©e nationale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Cette cĂ©rĂ©monie fut l’occasion pour le Maire de remettre des mĂ©dailles d’honneur Ă  3 portes-drapeaux Claude Diop en reconnaissance de 30 ans de fidĂ©litĂ© Ă  la fonction, Myriam Gasc Lognos en reconnaissance de 3 ans de fidĂ©litĂ© Ă  la fonction, Lionel Garnier en reconnaissance de 3 ans de fidĂ©litĂ© Ă  la fonction. Puis le conseiller junior MikaĂ«l Broux a lu le message officiel de l’UNC aux cĂŽtĂ©s de Louis Gasc et le maire, Yves Michel a conclu avec la lecture du discours officiel de la Ministre des armĂ©es GeneviĂšve Darrieussecq. La cĂ©rĂ©monie s’est clĂŽturĂ©e avec un dĂ©pĂŽt de gerbes devant le monument aux morts et la Marseillaise entonnĂ©e par la pĂ©na Bella Ciao.
Regarderen plein écran. il y a 11 ans. Cérémonie du 5 décembre : hommage aux morts (Vendée)

8 fĂ©vrier 20215 dĂ©cembre 2020 Samedi 05 dĂ©cembre 2020CĂ©rĂ©monie d’hommage aux morts pour la France, civils et militaires, de la guerre d’AlgĂ©rie, des combats du Maroc et de la Tunisie, en format restreint en raison de la crise sanitaire, au square David Haviland Ă  d’une gerbe avec M. Seymour Morsy, PrĂ©fet de la Haute-Vienne et M. Viroulaud adjoint au maire de

CĂ©rĂ©moniesdu 5 dĂ©cembre 2021 Ă  SĂšte et Montpellier. En ce jour frais mais ensoleillĂ© Ă  9h30 Ă  SĂšte, l’ANOCR 34-12-48 Ă©tait reprĂ©sentĂ©e par Serge Le Cloirec, son secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral, qui officiait en tant que 1er vice-prĂ©sident du CDAC 34, accompagnĂ© de Jean-Pierre Orsini et parmi les 11 porte-drapeaux prĂ©sents Jean-François Une forte dĂ©lĂ©gation du Souvenir Français, dont les jeunes porte-drapeaux, assistait le dimanche 5 dĂ©cembre 2021 Ă  la cĂ©rĂ©monie dĂ©partementale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Depuis 2003, la France consacre la journĂ©e du 5 dĂ©cembre Ă  ceux qui sont morts pour la France dans ces guerres dites de dĂ©colonisation. De 1952 Ă  1962, en AlgĂ©rie, au Maroc et en Tunisie, prĂšs de deux millions d’hommes servirent en Afrique du Nord. Plus de 25 000 d’entre eux tombĂšrent pour la France. 70 000 furent blessĂ©s Le Souvenir Français s’est engagĂ© dans une refondation de sa politique de sauvegarde des tombes des Morts pour la France. Il s’agit entre autres d’assurer une veille mĂ©morielle de ces tombes, notamment les tombes familiales, afin d’éviter que certaines d’entre elles ne disparaissent du fait de leur abandon, ou de l’impossibilitĂ© pour les familles Ă  assurer leur entretien. C’est le cas de la tombe familiale, Ă  Perpignan, d’un officier mort pour la France dans le contexte des combats au Maroc en 1957 les membres de sa famille sont trĂšs ĂągĂ©s, n’habitent plus la rĂ©gion. Ils viennent de demander au Souvenir Français d’assurer le suivi de la tombe en coordination avec la mairie.. Le comitĂ© de Perpignan et la DĂ©lĂ©gation GĂ©nĂ©rale pour les PyrĂ©nĂ©es Orientales du Souvenir Français se sont saisis du dossier. Assistaient Ă  cette cĂ©rĂ©monie pour le Souvenir Français – Le dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral dĂ©partemental, le gĂ©nĂ©ral Gilles Glin, et le dĂ©lĂ©guĂ© dĂ©partemental aux porte-drapeaux, Jean Luc Aldebert. – Le prĂ©sident du comitĂ© de Rivesaltes, RenĂ© San Nicolas, et son porte-drapeau. – Le vice- prĂ©sident du comitĂ© de Claira Jacques Bonafos. – Une forte dĂ©lĂ©gation du comitĂ© de Perpignan autour de son prĂ©sident, Ludovic Lobjois. – Plusieurs jeunes porte-drapeaux de la section Pierre Bayle, et certains de leurs aĂźnĂ©s, porte-drapeaux de diffĂ©rents comitĂ©s.
CĂ©rĂ©moniedu 5-DĂ©cembre. Le maire François Bonneau et Françoise Costa devant la tombe de Francis Costa. La cĂ©rĂ©monie en hommage aux Morts pour la France lors de la guerre d’AlgĂ©rie et
François Hollande commĂ©more pour la premiĂšre fois, samedi, le cessez-le-feu dĂ©crĂ©tĂ© le 19 mars 1962 en AlgĂ©rie au lendemain des accords d'Evian. Une initiative contestĂ©e par des associations et une partie de la classe politique."Pour qu'une commĂ©moration soit commune, il faut que la date cĂ©lĂ©brĂ©e soit acceptĂ©e par tous. Or, chacun sait qu'il n'en est rien, le 19 mars reste au cƓur d'un dĂ©bat douloureux." Dans une tribune publiĂ©e dans Le Figaro, Nicolas Sarkozy critique le choix de son successeur de participer aux cĂ©rĂ©monies commĂ©morant la fin de la guerre d'AlgĂ©rie le 19 mars. Cette date, qui fait rĂ©fĂ©rence au cessez-le-feu du 19 mars 1962, est loin de faire l'unanimitĂ©. La gauche et certaines associations d'anciens combattants dĂ©fendent cette date, tandis qu'une partie de la droite, des anciens combattants et les descendants de harkis et de pieds-noirs la rejettent. Pour ses dĂ©tracteurs, cette date nie les violences survenues aprĂšs le cessez-le-feu Depuis des dĂ©cennies, la question de la commĂ©moration de la fin de la guerre d'AlgĂ©rie divise, tant au sein de la classe politique que chez les anciens combattants. François Mitterrand avait ainsi refusĂ© de la cĂ©lĂ©brer le 19 mars. Car le cessez-le-feu actĂ© lors des accords d'Evian n'a pas, loin s'en faut, sonnĂ© la fin des violences. Dans les jours qui suivent ce 19 mars 1962, des harkis, ces AlgĂ©riens engagĂ©s dans l'armĂ©e française, sont massacrĂ©s. Trois mois plus tard, alors que l'AlgĂ©rie fĂȘte son indĂ©pendance, une manifestation organisĂ©e Ă  Oran dĂ©gĂ©nĂšre en une vĂ©ritable chasse aux EuropĂ©ens. EnlĂšvements, lynchages, exĂ©cutions sommaires
 Les atrocitĂ©s du 5 juillet font plusieurs centaines de morts parmi les EuropĂ©ens. Nombre d'anciens combattants et de pieds-noirs considĂšrent donc que le cessez-le-feu du 19 mars n'en fut pas un. Et jugent illĂ©gitime la commĂ©moration de cette date. Ainsi, la principale association d'anciens combattants, l'UNC, "refuse de participer Ă  cette commĂ©moration qui fait fi de toutes ces victimes et invite ses adhĂ©rents Ă  refuser de participer Ă  ces cĂ©rĂ©monies". Dans un souci d'apaisement, Jacques Chirac avait instituĂ© en 2003 une autre date celle du 5 dĂ©cembre, consensuelle mais dĂ©corrĂ©lĂ©e de tout repĂšre historique. Pour la gauche, elle est lĂ©gitime Ces derniĂšres annĂ©es, une grande partie de la gauche s'est ralliĂ©e Ă  la date du 19 mars. En dĂ©cembre 2012, le SĂ©nat oĂč la gauche Ă©tait majoritaire a votĂ© une proposition de loi adoptĂ©e dix ans plus tĂŽt par l'AssemblĂ©e nationale mais restĂ©e dans les cartons depuis. Ce texte "institue une journĂ©e nationale du souvenir et de recueillement Ă  la mĂ©moire des victimes civiles et militaires de la guerre d'AlgĂ©rie et des combats en Tunisie et au Maroc". Le rapporteur du texte, le sĂ©nateur socialiste Alain NĂ©ri, estimait en 2012 que le 19 mars Ă©tait "la seule date historiquement justifiable". "Elle a une signification historique forte, et le fait qu'une opposition existe n'est pas suffisant pour la disqualifier. En effet, lorsque les gĂ©nĂ©rations qui ont connu ce conflit ou des tĂ©moins de celui-ci auront disparu, comment transmettre sa mĂ©moire si ce n'est par une date correspondant Ă  l'un des tournants dĂ©finitifs de la guerre ?" interrogeait-il. Un argument largement partagĂ© Ă  gauche puisque, lors du vote, la quasi-totalitĂ© des sĂ©nateurs socialistes, communistes, Ă©cologistes et radicaux de gauche s'Ă©tait prononcĂ©e pour, tandis que la droite et le centre avaient votĂ© trĂšs majoritairement contre. Parmi les associations d'anciens combattants, la Fnaca classĂ©e Ă  gauche soutient depuis longtemps la date du 19 mars. "Sa position se fait l'Ă©cho du sentiment de nombreux appelĂ©s du contingent, qui ont vĂ©cu le 'cessez-le-feu' de mars 1962 comme un immense soulagement", explique le journaliste du Figaro Guillaume Perrault.
Dansle cadre d’une cĂ©rĂ©monie tenue Ă  huis clos en raison de la situation sanitaire actuelle, le maire RaphaĂ«l Bernardin et son adjoint en charge du devoir de mĂ©moire StĂ©phane
Divers PubliĂ© le lundi 7 dĂ©cembre 2020 Ce samedi 5 dĂ©cembre 2020 s’est tenue la cĂ©rĂ©monie d’hommage aux morts pour la France de la Guerre d’AlgĂ©rie, des combats du Maroc et de la Tunisie au Monument aux Morts en prĂ©sence de M. Pierre CHAULEUR, Sous-PrĂ©fet de ChĂąteaubriant-Ancenis, du Maire Alain Hunault, de Catherine Ciron, PremiĂšre Adjointe et ConseillĂšre dĂ©partementale, de François-Xavier Le Hecho, conseiller municipal, de Lucien Garda, PrĂ©sident du Groupement des Associations d’anciens combattants et patriotiques de ChĂąteaubriant, de Louis PRIME, PrĂ©sident de l’UNC-AFN Section ChĂąteaubriant, d’Armand DuguĂ©, PrĂ©sident de l’ACUF, de Robert Garel, responsable des porte-drapeaux et de 2 porte-drapeaux. ConformĂ©ment aux directives gouvernementales liĂ©es Ă  la pĂ©riode de confinement et aux mesures sanitaires en cours, le public ne pouvait assister Ă  cet hommage. Cette cĂ©rĂ©monie est organisĂ©e chaque annĂ©e par la MunicipalitĂ©, le Groupement des associations d’anciens combattants et patriotiques de ChĂąteaubriant et l’Union Nationale des Combattants en Afrique du Nord UNC AFN. AprĂšs l’allocution de Louis Prime, Pierre Chauleur a procĂ©dĂ© Ă  la lecture du message de Madame GeneviĂšve Darrieussecq, Ministre dĂ©lĂ©guĂ©e auprĂšs de la Ministre des ArmĂ©es, chargĂ©e de la MĂ©moire et des Anciens Combattants, avant le dĂ©pĂŽt successif de trois gerbes. La premiĂšre gerbe a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e par Louis Prime et Armand DuguĂ©, puis Alain Hunault et Catherine Ciron ont dĂ©posĂ© la suivante, suivis de M. le Sous-PrĂ©fet pour la troisiĂšme. Retour en images

Décretn°2003-925 du 26 septembre 2003 instituant une journée nationale d'hommage aux "morts pour la France" pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, le 5 décembre de chaque année. DerniÚre mise à jour des données de ce texte : 28 septembre 2003. NOR : DEFM0302085D. Accéder à la version initiale

Depuis une loi de 2012, le 19 mars est la journĂ©e nationale du souvenir des victimes de la guerre d'AlgĂ©rie. Mais cette date est critiquĂ©e par une partie de la classe politique, des rapatriĂ©s et des date douloureuse. La France commĂ©more samedi 19 mars le 60e anniversaire des accords d'Evian et du cessez-le-feu en AlgĂ©rie. Lors d'une cĂ©rĂ©monie organisĂ©e Ă  l'ElysĂ©e oĂč quelque 200 tĂ©moins de la guerre ont Ă©tĂ© conviĂ©s appelĂ©s, combattants indĂ©pendantistes, harkis et rapatriĂ©s, Emmanuel Macron a dĂ©clarĂ© que cette date "ne fut ni le dĂ©but de la paix, ni la fin de la guerre". Le candidat Ă  sa réélection a ajoutĂ© "Cette date ne peut ni ĂȘtre la seule, ni ĂȘtre reniĂ©e, bousculĂ©e, oubliĂ©e." Car depuis la loi du 6 dĂ©cembre 2012, le 19 mars est la "journĂ©e nationale du souvenir et de recueillement Ă  la mĂ©moire des victimes civiles et militaires de la guerre d'AlgĂ©rie et des combats en Tunisie et au Maroc". Mais cette date continue d'ĂȘtre rejetĂ©e parmi les harkis et rapatriĂ©s et au sein d'une partie de la droite et de l'extrĂȘme droite. Explications. Le 18 mars 1962, aprĂšs huit ans de guerre, la France et les reprĂ©sentants du gouvernement provisoire de la RĂ©publique algĂ©rienne GPRA signent les accords d'Evian dans lesquels Paris reconnaĂźt l'indĂ©pendance de l'AlgĂ©rie, l'intĂ©gritĂ© de son territoire et de son peuple. La France s'engage Ă  Ă©vacuer progressivement ses troupes d'AlgĂ©rie et Ă  instaurer un cessez-le-feu le lendemain Ă  midi. Des pieds-noirs, harkis, anciens combattants estiment cependant que ces accords ne marquent pas la fin de la guerre puisque les violences se sont poursuivies jusqu'Ă  l'indĂ©pendance de l'AlgĂ©rie le 5 juillet 1962. Le 26 mars 1962, par exemple, lors de la fusillade de la rue d'Isly, Ă  Alger, des soldats français ouvrent le feu sur des dizaines de manifestants opposĂ©s Ă  l'indĂ©pendance de l'AlgĂ©rie. Le bilan prĂ©cis de cette tuerie reste inconnu Ă  ce jour. Le 5 juillet 1962, alors que les habitants cĂ©lĂšbrent l'indĂ©pendance de leur pays, au moins 700 pieds-noirs et AlgĂ©riens ayant choisi la France sont massacrĂ©s en quelques heures Ă  Oran, sous le regard passif de l'armĂ©e française. De son cĂŽtĂ©, l'Organisation de l'armĂ©e secrĂšte OAS, qui refuse le cessez-le-feu, redouble de violence, faisant des dizaines de morts et de blessĂ©s dans des attentats et assassinats ciblĂ©s. De nombreux enlĂšvements et l'exode douloureux de milliers de rapatriĂ©s et de supplĂ©tifs musulmans ayant combattu auprĂšs de la France ont Ă©galement lieu aprĂšs le 19 mars. Entre 55 000 Ă  75 000 harkis, notamment, ne sont pas autorisĂ©s Ă  rejoindre la France et sont victimes de massacres et de reprĂ©sailles en AlgĂ©rie, rappelle France Culture. "Pour nous, cette date ne marque pas la fin de la guerre, mais le dĂ©but du gĂ©nocide harki avec des milliers de massacres", dĂ©plore HacĂšne Arfi, prĂ©sident de l'association Coordination Harka, auprĂšs 20 Minutes. "La guerre d'AlgĂ©rie a fait un nombre de victimes triple aprĂšs sa fin 'officielle' qu'avant !", dĂ©nonce dans Le Figaro le gĂ©nĂ©ral HervĂ© Longuet, prĂ©sident de l'Union nationale des combattants UNC. Au sein de la droite et de l'extrĂȘme droite, la polĂ©mique enfle dĂšs 2012. Dans une tribune publiĂ©e dans Le Figaro en 2016, l'ancien chef d'Etat Nicolas Sarkozy estime que "choisir la date du 19 mars ... c'est considĂ©rer qu'il y a dĂ©sormais un bon et un mauvais cĂŽtĂ© de l'Histoire et que la France Ă©tait du mauvais cĂŽtĂ©." Le maire de Nice, Christian Estrosi alors LR, refuse de commĂ©morer le 19 mars dans sa ville, date qu'il qualifie de "provocation inqualifiable Ă  l'Ă©gard des rapatriĂ©s et des harkis". En 2014, le maire de BĂ©ziers, Robert MĂ©nard extrĂȘme droite, dĂ©cide de dĂ©baptiser la rue du 19 mars 1962 pour lui donner le nom d'un officier partisan de l'AlgĂ©rie française. Dix ans plus tard, les critiques n'ont pas cessĂ©. La candidate LR Ă  la prĂ©sidentielle, ValĂ©rie PĂ©cresse, s'est engagĂ©e si elle Ă©tait Ă©lue Ă  trouver "une autre date" que le 19 mars pour commĂ©morer la fin de la guerre d'AlgĂ©rie, car "80% des victimes civiles sont tombĂ©es aprĂšs les accords d'Evian", a-t-elle affirmĂ© jeudi. "A l'Ă©vidence, le 19 mars ne marque pas la fin du conflit algĂ©rien. Quatre-vingts pour cent des victimes civiles sont tombĂ©es aprĂšs les accords d'Evian." ValĂ©rie PĂ©cresselors d'un dĂ©placement Ă  NĂźmes Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national, a Ă©galement rappelĂ© sur France Inter qu'elle contestait "depuis longtemps" cette date car "il y a eu des dizaines de milliers de harkis qui ont Ă©tĂ© sauvagement assassinĂ©s" aprĂšs le 19 mars 1962. Pour l'historien Gilles Manceron, ces critiques illustrent un "rĂ©veil du projet colonial". "C'est un fait qu'il y a eu encore des victimes aprĂšs le 19 mars en AlgĂ©rie et en France. Mais si elles ont existĂ©, c'est en raison du refus de l'OAS de reconnaĂźtre l'indĂ©pendance et l'application des accords d'Evian", expliquait-il Ă  France 24 en 2016. "Il y a eu aprĂšs le 8 mai 1945 encore de nombreux Français tuĂ©s dans le Pacifique, notamment dans des camps japonais. Cela ne nous empĂȘche pas de dire que le 8 mai marque la fin de la Seconde Guerre mondiale", rappelle-t-il. "C'est un affrontement trĂšs franco-français ... on ne peut pas rester dans des mĂ©moires communautaires", pointe de son cĂŽtĂ© l'historien Benjamin Stora auprĂšs de L'IndĂ©pendant. "On ne peut pas vivre Ă©ternellement dans les accusations les uns des autres." Dans son rapport sur les mĂ©moires de la guerre d'AlgĂ©rie remis Ă  Emmanuel Macron, il prĂ©conise de commĂ©morer diffĂ©rentes dates symboliques. Parmi elles, le 19 mars, mais aussi le 25 septembre hommage aux harkis ou encore le 17 octobre 1961 rĂ©pression de la manifestation des travailleurs algĂ©riens en France. Le5 dĂ©cembre, le ministĂšre des ArmĂ©es rend hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la Tunisie ainsi qu’aux rapatriĂ©s

Peu de public...Peu de public, ce dimanche 5 dĂ©cembre, au mĂ©morial Afrique du Nord BĂ©arn et Soule de BillĂšre, mais une cĂ©rĂ©monie nĂ©anmoins impressionnante par la prĂ©sence de tous les cadets de l’UNC du BĂ©arn, dĂ©jĂ  fortement mouillĂ©s par la cĂ©rĂ©monie qui s’était dĂ©roulĂ©e au prĂ©alable Ă  Pau et qui allaient poursuivre cette journĂ©e mĂ©morielle par la cĂ©rĂ©monie Ă  faut prĂ©ciser que ce 5 dĂ©cembre Ă©tait leur dernier jour de leur mission d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral dans le cadre du service national universel SNU et que tous, malgrĂ© les conditions climatiques dĂ©favorables, Ă©taient heureux de se retrouver rĂ©unis pour participer Ă  ces diffĂ©rentes cĂ©rĂ©monies. La rĂ©daction vous conseille Jeunesse impactĂ©e »Le prĂ©sident du mĂ©morial AFN de BillĂšre, François Maurice, a soulignĂ© dans son discours combien les anciens combattants d’Afrique du Nord ont vu leur jeunesse impactĂ©e par de longs mois de tension, d’inquiĂ©tude, de peur, et pour certains par le spectacle d’horreurs, de souffrances et d’injustices gĂ©nĂ©rĂ©es par cette guerre ».Et de conclure Le ciment de la cohĂ©sion nationale demeure les valeurs de la RĂ©publique libertĂ©, Ă©galitĂ©, fraternitĂ©, malgrĂ© les diffĂ©rences, les doutes et les crises. »Pour les familles, une reconnaissance importanteFrançois Maurice a par la suite dĂ©posĂ© une gerbe accompagnĂ© de Marie-Christine Baze, pupille de la nation, dont le pĂšre a Ă©tĂ© tuĂ© durant cette guerre alors qu’elle n’était qu’une enfant. Une reconnaissance importante, par ce geste, envers les familles qui ont eu Ă©galement Ă  souffrir durant ces conflits de la perte d’un prĂ©sidents d’associations prĂ©sents, dont la SociĂ©tĂ© des membres de la LĂ©gion d’honneur, le ComitĂ© d’entente des associations d’anciens combattants, victimes de guerre et mĂ©moire de la nation, les Joinvillais, l’Union nationale des combattants et le Souvenir Français, et les auditeurs de l’Institut des hautes Ă©tudes de la DĂ©fense nationale IHEDN sont allĂ©s ensuite remercier la douzaine de porte-drapeaux prĂ©sents Ă  cette cĂ©rĂ©monie.

Mardi5 dĂ©cembre 2017 a eu lieu la cĂ©rĂ©monie en hommage aux victimes de guerre des Combattants de la Guerre d'AlgĂ©rie et des Combats du Maroc et de la Tunisie au Monument aux Morts devant le parvis de l'Eglise Saint-RĂ©mi. Cette Ce site utilise javascript pour fonctionner. Pour une expĂ©rience optimale, merci de bien vouloir l' poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies ou autres traceurs pour rĂ©aliser des statistiques de visites. En savoir plus✖AAPartager la fiche par emailChaque annĂ©e, le 5 dĂ©cembre a lieu la journĂ©e nationale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie. L'occasion partout en France de se rĂ©unir dans un mĂȘme esprit de communion pour tous les anciens combattants, leurs familles et la France. Une grande cĂ©rĂ©monie officielle a lieu Ă  cette occasion dans la cour d'Honneur de l'HĂŽtel national des Invalides en prĂ©sence de Mme GeneviĂšve Darrieussecq, Ministre dĂ©lĂ©guĂ©e auprĂšs de la ministre des ArmĂ©es, chargĂ©e de la MĂ©moire et des Anciens combattants. Un peu d'Histoire Chemins de MĂ©moire Le discours officiel de Mme GeneviĂšve Darrieussecq ce 5 dĂ©cembre 2021 Vous aimerez aussiRestez informĂ©s !Souscrivez Ă  notre newsletter, et recevez nos derniĂšres nouvelles directement dans votre boĂźte connectĂ©s !Ce site a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© avec le soutien du ministĂšre des armĂ©es - direction des patrimoines, de la mĂ©moire et des archives Chaque5 dĂ©cembre, la Nation rend hommage aux Morts pour la France de la guerre d'AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Une cĂ©rĂ©monie commĂ©morative a Ă©tĂ© organisĂ©e Ă  LAPALUD hier dimanche. Cliquez pour un retour en images
Josette Letellier, prĂ©sidente de la section de Louviers, lit le message de la FNCPG-CATM-TOE. Hommage aux morts pour la France de la guerre d’AlgĂ©rie Ce dimanche 5 dĂ©cembre 2021, Louviers rendait hommage aux morts pour la France de la guerre d’AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie lors d’une cĂ©rĂ©monie officielle. AprĂšs la lecture du message de la fĂ©dĂ©ration FNCPG-CATM-TOE par Josette Letellier, sa prĂ©sidente locale, l’adjointe au maire, Anne Terlez, a lu le discours de la SecrĂ©taire d’Etat auprĂšs de la ministre des armĂ©es, Mme GeneviĂšve Darrieussecq En cette journĂ©e nationale, nous nous rassemblons pour renouveler l’hommage de la Nation aux morts pour la France » pendant la guerre d’AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la nous souvenons Ă©galement des victimes civiles. Il y a 60 ans, la guerre d’AlgĂ©rie entrait dans sa quatriĂšme annĂ©e. AprĂšs les espaces frontaliers et les paysages accidentĂ©s des AurĂšs et de la Kabylie, elle avait gagnĂ© Alger. Un pas supplĂ©mentaire dans la violence Ă©tait franchi. En 1958, cette guerre Ă©tait Ă  l’origine de la chute d’une RĂ©publique et de l’avĂšnement d’une y a 60 ans, des soldats de mĂ©tiers, des centaines de milliers de jeunes hommes appelĂ©s ou rappelĂ©s sous les drapeaux et des membres des forces supplĂ©tives combattaient pour la France. Alors que la conscription battait son plein, toute une gĂ©nĂ©ration d’appelĂ©s a eu 20 ans dans les AurĂšs ». Elle y a dĂ©couvert le visage de la guerre d’AlgĂ©rie. Une guerre Ăąpre et Ă©prouvante ! Violente ! Brutale ! Une guerre qui marque pour la de soldats combattants, tant de familles concernĂ©es, tant de consĂ©quences sur notre histoire ainsi, c’est la sociĂ©tĂ© tout entiĂšre qui a Ă©tĂ© impliquĂ©e dans ce conflit de dĂ©colonisation. De 1952 Ă  1962, en AlgĂ©rie, au Maroc et en Tunisie, prĂšs de deux millions d’hommes ont servi nos armes. 70 000 ont Ă©tĂ© blessĂ©s, 25 000 sont tombĂ©s pour la France. Ces hommes ont combattu avec courage et dĂ©vouement pour nos couleurs. Aujourd’hui, ils reposent dans la mĂ©moire nationale et la France les honore. Nous n’oublions pas les souffrances des civils, victimes de la guerre ou fauchĂ©s par un attentat. Nous pensons Ă  toutes les femmes et Ă  tous les hommes dont les destins ont Ă©tĂ© bouleversĂ©s par ces combats. Nous pensons aux Français rapatriĂ©s qui ont abandonnĂ© une terre qu’ils aimaient tant et qui ont souffert de ce pensons Ă©galement aux harkis qui ont Ă©tĂ© contraints de quitter leur terre natale et qui ont Ă©tĂ© accueillis dans des conditions indignes en pensons aux disparus. A ces hommes et Ă  ces femmes, civils et militaires, dont la trace a Ă©tĂ© perdue. Les armes se sont tues depuis 56 ans. Progressivement, l’histoire s’empare de cette pĂ©riode dont la mĂ©moire demeure, aujourd’hui encore, vive et plurielle. Afin que les jeunes gĂ©nĂ©rations aient une juste comprĂ©hension de ce conflit, il est nĂ©cessaire d’assurer par l’éducation la transmission de la connaissance et de ces cela, nous ne devons pas oublier les femmes et les hommes qui ont participĂ© ou qui ont subi ces conflits et ces combats. C’est le sens de cette journĂ©e nationale. » AprĂšs le dĂ©pĂŽt des gerbes, une minute de silence a Ă©tĂ© suivie Ă  laquelle ont Ă©tĂ© associĂ©s la mĂ©moire de Maxime Marchand, la mĂ©moire du MarĂ©chal LECLERC pour le 74Ăšme anniversaire de sa disparition tragique.
CĂ©rĂ©moniesPatriotiques du 5 dĂ©cembre – Hommage aux « Morts pour la France » de la Guerre d’AlgĂ©rie et des Combats du Maroc et de la Tunisie Communiqu Ă©. 29 nov,2020 La La JournĂ©e nationale d’Hommage aux morts pour la France lors de la guerre d’AlgĂ©rie et des combats de Tunisie et du Maroc s’est dĂ©roulĂ©e le samedi 5 dĂ©cembre 2020, Ă  la stĂšle, prĂšs du monument aux morts, situĂ© rue Jean JaurĂšs, face au lycĂ©e Lavoisier. Les conditions sanitaires ne permettaient pas d’organiser cette cĂ©rĂ©monie dans les conditions traditionnelles et c’est donc en petit comitĂ© que Philibert Berrier, maire d’Auchel prĂ©sidait cette manifestation en prĂ©sence de Marie-Pierre HolvoĂ«t, premiĂšre adjointe, Michel Vivien, 2Ăšme adjoint, VĂ©ronique ClĂ©ry, 3Ăšme adjointe, Michel Courtin, prĂ©sident des Anciens combattants prisonniers de guerre Combattant AlgĂ©rie Tunisie Maroc Territoires OpĂ©rations ExtĂ©rieures, Veuves de Guerre, et Jean-Claude Duval porte-drapeau de l’association, Bernard Casier, secrĂ©taire de l’Amicale des Officiers et Sous officiers de rĂ©serve, Sylvain BĂ©court porte-drapeau de l’amicale et Michel Delobelle prĂ©sident de l’association Devoir de MĂ©moire ». Retrouvez ci-dessous en piĂšce jointe le message officiel de Madame GeneviĂšve DARRIEUSSECQ, ministre dĂ©lĂ©guĂ©e auprĂšs de la ministre des ArmĂ©es, chargĂ©e de la MĂ©moire et des Anciens combattants i1SIU.
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